la ballade du métro sexuel
la ballade du métro sexuel
Le temps marionnettiste
Tient les fils du masque
Aux théâtres des parades
Les acteurs jouent leur vie
les paroles sont déjà écrites
Aux aires de l’ère du rapide
Où errent les hier en astique
D’un aspic prêt à aspirer
Les venins de vos cœurs
Qui se polissent aux précipices
Des palisses de vos pâleurs
Pullulées à la pilule prêt
Des pustules en pistils de pu
Des cicatrices qui pourrissent
Jugulés dans les sutures ouvertes
Des souvenirs en plaies
Alors Le métro sexuel s’aère
De ses entrailles en station
Ses passions voulant libre
La collision des contrastes
Sur les lignes androgynes
Des sentiments d’amour
Des vertiges en balance
Aux tranchés de Damoclès
Où des anges de flèches
Ne visent plus le cœur
Mais bien les pulsions
Voyageant au sens interdits
Dans les coins de Paris
Où des corps se droguent
De sexe en aiguilles
Aux carrefours déplaisirs
Les phares en globules
Se minéralisent aux réverbères
En lumières de papillons
Des clameurs en routes
Aux battements frêles
De l’âme or en veine
Cherchant le soleil noir
À travers l’opacité
Des rives illusoires
De l’être de lino sang
Qui pour un instant
Achète ce qui se fonde
Le plus naturellement
Les dogmes s’y falsifient
En cachant les visas
Des noctambules et garés
Parlants à des arbres nus
Qui vendent leurs branches
Pour donner racines à l’existence
Des fantasmes du besoin
Générés aux dérives d’inégalités
Atrophiées dans les stéréotypes
Des vies passées en plastifie
Qui tronquent à l’éternité
Le toujours pour l’éphémère
Continuant sa ballade des sens
Funambulant de faubourgs
Aux avenues des pas vifs
Se mélangeant aux discours
Des archives d’architectures
où la foule compacte s’écume
Sur les immeubles en falaises
faisant le chants des médinas
Aux mégalopoles insatisfaites
Parmi les lambdas classiques
D’une ville touristique
Sous le soleil autiste
Éclatant ses rayons
Sur les pierres blanches
Du destin qui trace
Des chemins aux sourires
Aux passantes de charmes
Certaines mêmes en couple
En visages à la dérobée
S’émoustillent à leur radar
Le monde veut se permettre
Des croyances de liberté
Qu’exégète des écrans de mode
Pour chirurgier les agonies
En dynamiques numériques
Digitalisant les analogies
Aux extrêmes des entités
Pour soulever les anatomies
Des envies muselées au musée
Du mausolée des plus beaux étés
Qui s’évaporent dans les grâces
D’une essence de demoiselle
Qui se plisse au vent léger
D’un vol d’aura boréal
Où les oboles mystérieuses
De son voile transparent
Perlent de cristaux humides
Les secrets de l’amour
Qu’une pudeur arlequine
Carnaval en acquiescant
Telles gondoles à l’orient
aux flots de regards en éveil
Levant leurs continents sensuel
Il l’invite à continuer cote à côte
Elle lui répond tac-au-tac
Où que ce soit
Dans quoi que ce soit
À quel niveaux que ce soit
L’Homme à un prix
Alors étant donné cette époque
Qui se veut conquête par le fric
Certains en profitent
D’autres en sont esclaves,
pour les premiers font ce qu'ils veulent.
pour ceux qui en soufrent,c'est inhumain.
Tient les fils du masque
Aux théâtres des parades
Les acteurs jouent leur vie
les paroles sont déjà écrites
Aux aires de l’ère du rapide
Où errent les hier en astique
D’un aspic prêt à aspirer
Les venins de vos cœurs
Qui se polissent aux précipices
Des palisses de vos pâleurs
Pullulées à la pilule prêt
Des pustules en pistils de pu
Des cicatrices qui pourrissent
Jugulés dans les sutures ouvertes
Des souvenirs en plaies
Alors Le métro sexuel s’aère
De ses entrailles en station
Ses passions voulant libre
La collision des contrastes
Sur les lignes androgynes
Des sentiments d’amour
Des vertiges en balance
Aux tranchés de Damoclès
Où des anges de flèches
Ne visent plus le cœur
Mais bien les pulsions
Voyageant au sens interdits
Dans les coins de Paris
Où des corps se droguent
De sexe en aiguilles
Aux carrefours déplaisirs
Les phares en globules
Se minéralisent aux réverbères
En lumières de papillons
Des clameurs en routes
Aux battements frêles
De l’âme or en veine
Cherchant le soleil noir
À travers l’opacité
Des rives illusoires
De l’être de lino sang
Qui pour un instant
Achète ce qui se fonde
Le plus naturellement
Les dogmes s’y falsifient
En cachant les visas
Des noctambules et garés
Parlants à des arbres nus
Qui vendent leurs branches
Pour donner racines à l’existence
Des fantasmes du besoin
Générés aux dérives d’inégalités
Atrophiées dans les stéréotypes
Des vies passées en plastifie
Qui tronquent à l’éternité
Le toujours pour l’éphémère
Continuant sa ballade des sens
Funambulant de faubourgs
Aux avenues des pas vifs
Se mélangeant aux discours
Des archives d’architectures
où la foule compacte s’écume
Sur les immeubles en falaises
faisant le chants des médinas
Aux mégalopoles insatisfaites
Parmi les lambdas classiques
D’une ville touristique
Sous le soleil autiste
Éclatant ses rayons
Sur les pierres blanches
Du destin qui trace
Des chemins aux sourires
Aux passantes de charmes
Certaines mêmes en couple
En visages à la dérobée
S’émoustillent à leur radar
Le monde veut se permettre
Des croyances de liberté
Qu’exégète des écrans de mode
Pour chirurgier les agonies
En dynamiques numériques
Digitalisant les analogies
Aux extrêmes des entités
Pour soulever les anatomies
Des envies muselées au musée
Du mausolée des plus beaux étés
Qui s’évaporent dans les grâces
D’une essence de demoiselle
Qui se plisse au vent léger
D’un vol d’aura boréal
Où les oboles mystérieuses
De son voile transparent
Perlent de cristaux humides
Les secrets de l’amour
Qu’une pudeur arlequine
Carnaval en acquiescant
Telles gondoles à l’orient
aux flots de regards en éveil
Levant leurs continents sensuel
Il l’invite à continuer cote à côte
Elle lui répond tac-au-tac
Où que ce soit
Dans quoi que ce soit
À quel niveaux que ce soit
L’Homme à un prix
Alors étant donné cette époque
Qui se veut conquête par le fric
Certains en profitent
D’autres en sont esclaves,
pour les premiers font ce qu'ils veulent.
pour ceux qui en soufrent,c'est inhumain.
poeteric- Nombre de messages : 933
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Date d'inscription : 11/02/2008
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