Ballade du Ciel et de la Terre et de celui qui les chanta

Je vous escris du fond des bois,
Par bonne mocque de l'hiver,
Car plus n'ay amour que pour moi,
Comme l'ivrogne pour le verre,
Et le caspitan à la mer.
Je ne sauroi, dolent esprit,
Jamais de mes refrains complaire
Les cieux que le malheur desdit.

Et par bonne mocque des lois,
Qui, pour vivre de leurs ribauldes,
Usent du clerc qui ne sauroit,
Jamais faire le mal qu'en odes !
Je n'ay plu goût de rimes chaudes
Et des amoureuses ballades.
De leurs joyeulsetés maraudes
Mon coeur en aura chu, malade.

Cependant, les yeulx du mendiant,
Comme escouvillons n'aiment guère
Permettre cécité aux dents :
Jaloux qui revient de la guerre.
De sa blessure est chascun fier.
Moi, je veuil écouter, sans ruse,
Jusqu'à ma seconde dernière :
J'aurais aimé que forces s'usent.

Magnifique

une fois tu m'as demandé en message privé si je pouvais écrire un sonnet sur un roi rentrant chez lui, sur le moment et encore aujourd'hui j'ai pas trop saisi n'ayant jamais eu aucun autre rapport de quoi que ce soit avec toi, me suis dis tiens mais veut il m'estourdir le bougre, bien sur dans une veine direct j'en procurasse un mais une fois à demi fini j'ai zappé depuis je sais plus où il est dans toutes cette paperasse de word
alors je passais comme ça pour te le préciser.

Merci.