Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
4 participants
Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
Nous tendons à la lumière.
Ici, ailleurs, toujours, il y aura cette présence infinie de la rose à l'instant de sa brisure, cette fascination de la pluie d'or que les chemins chantèrent.
J'ai connu le firmament infiltré de ses plus hautes branches, comme le tonneau versatile du couchant.
J'ai dansé la saison aiguê des architectures, rivière des oiseaux sous le marbre qu'ils rêvent.
Cisaillé,cisaillé, dans l'inflexion de la page. Ô marche vers la tentation infernale de la Princesse...
Ici, ailleurs, toujours, il y aura cette présence infinie de la rose à l'instant de sa brisure, cette fascination de la pluie d'or que les chemins chantèrent.
J'ai connu le firmament infiltré de ses plus hautes branches, comme le tonneau versatile du couchant.
J'ai dansé la saison aiguê des architectures, rivière des oiseaux sous le marbre qu'ils rêvent.
Cisaillé,cisaillé, dans l'inflexion de la page. Ô marche vers la tentation infernale de la Princesse...
Eärendil- Nombre de messages : 96
Age : 32
Date d'inscription : 18/11/2007
Re: Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
Magnifique. Quel ressenti!
F.d'Alayrac
F.d'Alayrac
Re: Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
La deuxième dure 9 minutes.
Ecriture automatique ?
Ecriture contrôlée.
Ecriture automatique ?
Ecriture contrôlée.
Re: Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
L'écriture dure 10 pages.
Le reste n'est pas lisible par moi, donc par personne.
J'ai préféré arrêter là que de remplir la page de points, voyez-vous.
Le reste n'est pas lisible par moi, donc par personne.
J'ai préféré arrêter là que de remplir la page de points, voyez-vous.
Eärendil- Nombre de messages : 96
Age : 32
Date d'inscription : 18/11/2007
Re: Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
En 9 minutes, vous faîtes 10 pages.
Mais vous écrivez avec quel type de stylo ?
Mais vous écrivez avec quel type de stylo ?
Re: Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
d'où l'importance du titre...
cela me remémore la période où chaque titre sur Supplément était une citation et où certains commentaires portaient non plus sur le texte mais seulement sur le titre, parfois sans en avoir perçu la dérision
cela me remémore la période où chaque titre sur Supplément était une citation et où certains commentaires portaient non plus sur le texte mais seulement sur le titre, parfois sans en avoir perçu la dérision
Re: Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
Aude... Je sais lire le mot "automatique", mais je vous mets au défi de me faire 10 pages sur un cahier de 30 lignes... et ce, en 9 minutes... Sujet libre.
Je trouve que ma blague tient toujours.
Lol, puisqu'elle ne fait rire que moi.
il n'y a donc pas de dérision dans le titre, puisque c'était vraiment de l'écriture automatique, apparemment.
Ce qui, du coup, ne me fait pas du tout comprendre votre remarque, très chère...
Cordialement et tout le tralala...
Je trouve que ma blague tient toujours.
Lol, puisqu'elle ne fait rire que moi.
il n'y a donc pas de dérision dans le titre, puisque c'était vraiment de l'écriture automatique, apparemment.
Ce qui, du coup, ne me fait pas du tout comprendre votre remarque, très chère...
Cordialement et tout le tralala...
Re: Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
AUTOMATIQUE SUR DEUXIÈME RHAPSODIE
pointé sur l’azur en décrochements rebordés de noires
où le tempo recomprime les volettes aux yeux débordés
reprises des renaissances encyclées aux utérus
dans le besoin animal des vivacités romantiques
défrisement des incertitudes devant les trilles remontés
appogiatures maximales pour enfoncer les canons mélodiques
cavalcades des histoires individuelles butant sur les façades
criblées des doutes surassortis aux envolées accordées
empoignement des griffures main gauche spasmophile
humour éclaboussant de sérieux les échancrures mélodiques
les rhapsodies étincellent sur les jardins d’azur
en émiettant le son passé aux oubliettes historiques
inflexion sous contrindication et rebelote à l’espoir
crissement cacophonique d’une gouttelette éclatée
une perle d’horreur sur le ressac lissé de la plage
pour enfermer l’horizon dans le sac recloîtré
temporisation indocile d’une longue hors tempo
fortissimo indélébile sur les démembrements structurels
l’azur timbre une mélopée lyrique sur la voûte de l’iris
éclatant d’une grêle d’infortune pour émouvoir le reste
combat nucléophile d’abscons endormissements
virage millénaire contre la Campanella
mettant dos à dos les échappements et les marteaux repiqueurs
contretemps contrapuntique des dictions romantiques
émiettant un peu de mesure trouée comme ça
d’une sarabande sur les touches immesurées de l’amour
timbrement d’amour sur les sensations vibratiles du son
à l’orée des crépuscules de fin de partition repagée en bis
compte à rebours nucléaire des notes atomisées dans l’espace
au pavillon de bonheur qui pénètre l’âtre de l’être
torticolis sensoriel des pulsions de joie suprématiste
vocabularisation endorphine des glaces blanchies
contraste azur sur l’émeraude reperlée des icebergs sombrés
inconscience métempsychotique de la raison par-delà
recroquevillement pulmonaire lors d’un passage ternaire
pointé sur l’azur en décrochements rebordés de noires
où le tempo recomprime les volettes aux yeux débordés
reprises des renaissances encyclées aux utérus
dans le besoin animal des vivacités romantiques
défrisement des incertitudes devant les trilles remontés
appogiatures maximales pour enfoncer les canons mélodiques
cavalcades des histoires individuelles butant sur les façades
criblées des doutes surassortis aux envolées accordées
empoignement des griffures main gauche spasmophile
humour éclaboussant de sérieux les échancrures mélodiques
les rhapsodies étincellent sur les jardins d’azur
en émiettant le son passé aux oubliettes historiques
inflexion sous contrindication et rebelote à l’espoir
crissement cacophonique d’une gouttelette éclatée
une perle d’horreur sur le ressac lissé de la plage
pour enfermer l’horizon dans le sac recloîtré
temporisation indocile d’une longue hors tempo
fortissimo indélébile sur les démembrements structurels
l’azur timbre une mélopée lyrique sur la voûte de l’iris
éclatant d’une grêle d’infortune pour émouvoir le reste
combat nucléophile d’abscons endormissements
virage millénaire contre la Campanella
mettant dos à dos les échappements et les marteaux repiqueurs
contretemps contrapuntique des dictions romantiques
émiettant un peu de mesure trouée comme ça
d’une sarabande sur les touches immesurées de l’amour
timbrement d’amour sur les sensations vibratiles du son
à l’orée des crépuscules de fin de partition repagée en bis
compte à rebours nucléaire des notes atomisées dans l’espace
au pavillon de bonheur qui pénètre l’âtre de l’être
torticolis sensoriel des pulsions de joie suprématiste
vocabularisation endorphine des glaces blanchies
contraste azur sur l’émeraude reperlée des icebergs sombrés
inconscience métempsychotique de la raison par-delà
recroquevillement pulmonaire lors d’un passage ternaire
Re: Ecriture automatique sur la danse hongroise numéro 2 de lisz
Dix pages d'un carnet...
Eärendil- Nombre de messages : 96
Age : 32
Date d'inscription : 18/11/2007
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
Ven 15 Jan - 16:40 par poeteric
» Eros
Mar 26 Aoû - 13:09 par pendantce
» Premier Moment de l'Instant
Mar 26 Aoû - 13:07 par pendantce
» Amour Besoin
Mar 26 Aoû - 13:06 par pendantce
» Laissons Tout Reposer
Mar 26 Aoû - 13:05 par pendantce
» Etouffement
Mar 26 Aoû - 13:03 par pendantce
» Les goëlands
Mar 26 Aoû - 13:02 par pendantce
» Le Drapeau et le Paravent
Mar 26 Aoû - 13:01 par pendantce
» La Terre et le Propos
Mar 26 Aoû - 13:00 par pendantce