danse
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L'aube sort de sa bouche, comme un baiser aux fragrances minérales, dans le désir imperlé qu'elle compose, au flanc d'une multitude de soleils béants comme des rives aux joues nacrées qu'elle aura ébloui.
Il est des éblouissements comme des portes, les poignets rongées par le soleil, au milieu d'un temple d'émeraude aux murailles rougies, et qui ne demandent qu'à être là, aux confins évanescents d'un insoluble rêve.
Il est des éblouissements comme des portes, les poignets rongées par le soleil, au milieu d'un temple d'émeraude aux murailles rougies, et qui ne demandent qu'à être là, aux confins évanescents d'un insoluble rêve.
Eärendil- Nombre de messages : 96
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