écrits Juin-juillet
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Re: écrits Juin-juillet
Mon bb n'a as d'heure pour se la jouer crooner :
La miss si on allait se coucher sur la dune
Admirer les étoiles nous conter de leurs rhunes
La naissance des big-bang l'achèvement de la vie
Sous une coupe de Tang où pétillent nos envies
Et la plaine de l'espace qu'un soleil désavoue
Nous révélera les traces réverbérant ton cou
Des chaos en tumulte sur l'infini sondable
Des peaux qui se percutent de caresses friables
Battant dans son berceau son manque maternel
Bras potelés au tempo d'un enième rappel
Bébé fait ses dada ses parents spectateurs
S'invitent à la danse de ce chanteur trognon
Qui d'un sourire baba sous un regard crooner
Contemple l'assistance acquise à sa chanson
La miss si on allait se coucher sur la dune
Admirer les étoiles nous conter de leurs rhunes
La naissance des big-bang l'achèvement de la vie
Sous une coupe de Tang où pétillent nos envies
Et la plaine de l'espace qu'un soleil désavoue
Nous révélera les traces réverbérant ton cou
Des chaos en tumulte sur l'infini sondable
Des peaux qui se percutent de caresses friables
Battant dans son berceau son manque maternel
Bras potelés au tempo d'un enième rappel
Bébé fait ses dada ses parents spectateurs
S'invitent à la danse de ce chanteur trognon
Qui d'un sourire baba sous un regard crooner
Contemple l'assistance acquise à sa chanson
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
La bise vitesse smack neuf de lèvres en cerfvolant :
Sous l’été compromis des cerfs-volants affrontent
Les grâces du ciel gris que leurs couleurs confrontent
Que de beaux tatouages le vent fort les anime
Quand le sol avance ça remonte en fusé
Vers les monts des nuages aux drapeaux sur leurs cimes
Quelle ronde en alternance sur écarts et piqués
Ce juillet est bien morne les cirés sont douteux
La mer se retire dépassée par ses vagues
C’est déjà l’automne sous des denrées de bleu
Là où les mots chavirent le vent même les drague
Graviers à raz de terre des grains qui s’assimilent
Nous marchons bien en l’air les flaques nous distillent
Quel pluvieux rendez-vous sous ce midi maussade
La pluie dilettante miroite sur le sol lisse
Ma main sur ta joue brille à la cantonade
D'une vision envoûtante venant de tes iris
Dans des rifts de speed aussi rapides qu'un squale
Roulent et foncent des bolides tous bardés d'une grande voile
Surgis de l'extreme sur une piste de sable
C'est au meilleur qui sème sur cette plage instable
Quand tout nous préfigure aux dires de nos regards
Nous en suivons l’allure par nos mains qui s’emparent
Dans la brume libre de dissiper notre aveu
Aux récifs que fissure l’océan tout hagard
Tant sa valse s'épure au sel de part en part
En des flots susceptibles d'argenter tes cheveux
Près d'une fontaine d'étoiles promontant le muret
De lampions en saroual que l'horizon revêt
Les fenêtres à la chaîne des bâtisses sémaphores
Font des lueurs urbaines au belvédère d'un port
Où cette obscurité dévoile les secrets
Des ombres dans la traîne des lumières sur nos corps
l'ultra violet fermé éclaire un autre pôle
Des courbes galactiques profilent sur ton épaule
L'espace qui se dévoile quand son exosquelette
Vient fondre ses lueurs où mes baisers s'accolent
Aimant se fusionner contre nos silhouettes
Filant à sMac neuf sur ta bouche qu'ils interfrôlent
Sous l’été compromis des cerfs-volants affrontent
Les grâces du ciel gris que leurs couleurs confrontent
Que de beaux tatouages le vent fort les anime
Quand le sol avance ça remonte en fusé
Vers les monts des nuages aux drapeaux sur leurs cimes
Quelle ronde en alternance sur écarts et piqués
Ce juillet est bien morne les cirés sont douteux
La mer se retire dépassée par ses vagues
C’est déjà l’automne sous des denrées de bleu
Là où les mots chavirent le vent même les drague
Graviers à raz de terre des grains qui s’assimilent
Nous marchons bien en l’air les flaques nous distillent
Quel pluvieux rendez-vous sous ce midi maussade
La pluie dilettante miroite sur le sol lisse
Ma main sur ta joue brille à la cantonade
D'une vision envoûtante venant de tes iris
Dans des rifts de speed aussi rapides qu'un squale
Roulent et foncent des bolides tous bardés d'une grande voile
Surgis de l'extreme sur une piste de sable
C'est au meilleur qui sème sur cette plage instable
Quand tout nous préfigure aux dires de nos regards
Nous en suivons l’allure par nos mains qui s’emparent
Dans la brume libre de dissiper notre aveu
Aux récifs que fissure l’océan tout hagard
Tant sa valse s'épure au sel de part en part
En des flots susceptibles d'argenter tes cheveux
Près d'une fontaine d'étoiles promontant le muret
De lampions en saroual que l'horizon revêt
Les fenêtres à la chaîne des bâtisses sémaphores
Font des lueurs urbaines au belvédère d'un port
Où cette obscurité dévoile les secrets
Des ombres dans la traîne des lumières sur nos corps
l'ultra violet fermé éclaire un autre pôle
Des courbes galactiques profilent sur ton épaule
L'espace qui se dévoile quand son exosquelette
Vient fondre ses lueurs où mes baisers s'accolent
Aimant se fusionner contre nos silhouettes
Filant à sMac neuf sur ta bouche qu'ils interfrôlent
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
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poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
La maison fait crédit où pas :
- La maison fait crédit où pas ?
- Pour cette somme ?
- Oui c'est assez rare pour dix neuf euros, une demande de prêt, mais j'avoue qu'en ce moment je course après,
- Non désolé je préfère cash même l'échec je ne prends plus, alors cash toi ?
- Elle est peut-être telechargeable gratos ?
- Oui bien sûr ! pour un abonnement de 19 euros
- Et bien gardez là votre méthode à 19 euros sur Comment évacuer son stress lorsque l'on vit de façon borderline dès le début du mois ! Ma femme m'attend dans ses plus beaux apprêts, c'est bien là l'essentiel, et n'allez pas croire que je me sois ruiné en lingerie pour courir à prêt après après 19 euros !
- Alors pourquoi tu me saoules ?
- Pour soulager mon stress et ça marche de vous voir courir pour moi
- Ça fera 19 euros pour la course
- Je vous sens tendu ?
- Vous y êtes arrivé
- Votre théorie à ses limites ?
- Vous y êtes arrivé
- Vous me rappelez mon GPS à 19 euros !
- C'est dans le premier chapitre
- De quoi Comment trouver un GPS à 19 euros ?
- Utilisez le premier trait d'humour sous le coude comme celui de répétition en tiroir pour désacraliser une envie de distribuer des baffes gratuitement dès que quelqu'un l'ouvre trop
- Vous y êtes arrivé ?
- Maintenant je les fais payer 19 euros
- On achète donc votre livre 19 euros pour éviter de distribuer des baffes gratuitement ?
- Finalement, je peux vous offrir quelques baffes si vous voulez
- C'est 19 euros le lot d'une baffe
- Je vous l'échange contre un livre
- Très peu pour moi je ne sais pas lire et je porte des lunettes sur mes joues
- Les lignes de ma main sont traduisibles par toutes les joues
- Vous n'oseriez ?
- La haine comme l'amour est un language universel, clore cette discution me serait un poing d'honneur
- C'est dans le chapitre deux ?
- Non, c'est tiré du deuxième volume en cours d'édition sur ta tronche
- 19 euros que vous n'en êtes pas chiche !
- La maison fait crédit où pas !
- La maison fait crédit où pas ?
- Pour cette somme ?
- Oui c'est assez rare pour dix neuf euros, une demande de prêt, mais j'avoue qu'en ce moment je course après,
- Non désolé je préfère cash même l'échec je ne prends plus, alors cash toi ?
- Elle est peut-être telechargeable gratos ?
- Oui bien sûr ! pour un abonnement de 19 euros
- Et bien gardez là votre méthode à 19 euros sur Comment évacuer son stress lorsque l'on vit de façon borderline dès le début du mois ! Ma femme m'attend dans ses plus beaux apprêts, c'est bien là l'essentiel, et n'allez pas croire que je me sois ruiné en lingerie pour courir à prêt après après 19 euros !
- Alors pourquoi tu me saoules ?
- Pour soulager mon stress et ça marche de vous voir courir pour moi
- Ça fera 19 euros pour la course
- Je vous sens tendu ?
- Vous y êtes arrivé
- Votre théorie à ses limites ?
- Vous y êtes arrivé
- Vous me rappelez mon GPS à 19 euros !
- C'est dans le premier chapitre
- De quoi Comment trouver un GPS à 19 euros ?
- Utilisez le premier trait d'humour sous le coude comme celui de répétition en tiroir pour désacraliser une envie de distribuer des baffes gratuitement dès que quelqu'un l'ouvre trop
- Vous y êtes arrivé ?
- Maintenant je les fais payer 19 euros
- On achète donc votre livre 19 euros pour éviter de distribuer des baffes gratuitement ?
- Finalement, je peux vous offrir quelques baffes si vous voulez
- C'est 19 euros le lot d'une baffe
- Je vous l'échange contre un livre
- Très peu pour moi je ne sais pas lire et je porte des lunettes sur mes joues
- Les lignes de ma main sont traduisibles par toutes les joues
- Vous n'oseriez ?
- La haine comme l'amour est un language universel, clore cette discution me serait un poing d'honneur
- C'est dans le chapitre deux ?
- Non, c'est tiré du deuxième volume en cours d'édition sur ta tronche
- 19 euros que vous n'en êtes pas chiche !
- La maison fait crédit où pas !
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Sous des flashs mis en boucle comme des pubs à la con :
L'onde des éclats de chocs transperce chaque seconde
Une nouvelle catastrophe meurtrière déjà-vue
Dans le concert mondial des scories hurlantes
Sous des flashs mis en boucle comme des pubs à la con
Babylon burn menu maxi best of the end
Servi par la vache folle certifiée virus
Mattant sur le mac drive les arrières trains passer
La faim roule en guenille sous la chenille des tanks
La peur agglomère l'homme et sa rage de survivre
Invente des stratagèmes sur des bases atomiques
histoire de détruire le plus de personnes viables
à expérimenter des déchets nucléaires
sur l'échelle des valeurs boursières toutes vos souffrances
ne dépassent pas la courbe des profits corrompus
si tu n'as pas la chance d'être du mauvais côté
tu peux toujours courir après ton innocence
Toute façon même Bruxelles s'est perdue à Strasbourg
Manhattan à Kaboul et Tokyo à Tcherno
Tout se répète en double du début à la fin
Les gisements sous tes reins valent plus cher que tes os
Les tracés que dessinent les chemtrails des cargos
investissent dans l'azur les contrées à soumettre
aux dernières aventures des villes safaris
dans une jungle urbaine aux rennes du plus brûtal
à l'assaut d'un espace vital pour l'enrichi
l'obligation de violence en reponse directe
d'une élection fantoche entre votes falsifiés
suit l'accord bénéfique d'un mandat cash en vue
Les doom doom eclatées dans des corps au formol
Rouillent du sang des victimes gisant dans le ruisseau
qu'enjambent des rescapés baionnette à la gueule
avant de recracher leur dernière bile de sang
les trottoirs dégueulassent où les ombres pourissent
dissous dans l'eclipse infanticide de leur âme
regardent l'oeil crevé des rêveurs qui les souillent
tombant de haut de la falaise des canniveaux
Junkie aux démesures d'une dose d'adrénaline
L'excédent de cervelle d'un trouble à cent pour cent
Collabore avec les larmes de corps échoués à terre
S'enroulant dans un drame qu'il prend pour pécadilles
Il envoya des gosses au camp des nostalgies
Où les souvenirs d'été cicatrisent des albums
Que tiennent des parents cheminant dans leur cœur
Leurs ambitions perdues un jour de fusillade
Même le désert a plus de vie que leur tourment
La frousse guide des zéros qui luttent contre le vent
Convaincus qu'un massacre en portera leur croix
La mort est en vadrouille les armes se revendent
C'est dans un gouffre scabreux que les hommes se broient
Dès qu'un fou a les boules ses balles se répandent
L'onde des éclats de chocs transperce chaque seconde
Une nouvelle catastrophe meurtrière déjà-vue
Dans le concert mondial des scories hurlantes
Sous des flashs mis en boucle comme des pubs à la con
Babylon burn menu maxi best of the end
Servi par la vache folle certifiée virus
Mattant sur le mac drive les arrières trains passer
La faim roule en guenille sous la chenille des tanks
La peur agglomère l'homme et sa rage de survivre
Invente des stratagèmes sur des bases atomiques
histoire de détruire le plus de personnes viables
à expérimenter des déchets nucléaires
sur l'échelle des valeurs boursières toutes vos souffrances
ne dépassent pas la courbe des profits corrompus
si tu n'as pas la chance d'être du mauvais côté
tu peux toujours courir après ton innocence
Toute façon même Bruxelles s'est perdue à Strasbourg
Manhattan à Kaboul et Tokyo à Tcherno
Tout se répète en double du début à la fin
Les gisements sous tes reins valent plus cher que tes os
Les tracés que dessinent les chemtrails des cargos
investissent dans l'azur les contrées à soumettre
aux dernières aventures des villes safaris
dans une jungle urbaine aux rennes du plus brûtal
à l'assaut d'un espace vital pour l'enrichi
l'obligation de violence en reponse directe
d'une élection fantoche entre votes falsifiés
suit l'accord bénéfique d'un mandat cash en vue
Les doom doom eclatées dans des corps au formol
Rouillent du sang des victimes gisant dans le ruisseau
qu'enjambent des rescapés baionnette à la gueule
avant de recracher leur dernière bile de sang
les trottoirs dégueulassent où les ombres pourissent
dissous dans l'eclipse infanticide de leur âme
regardent l'oeil crevé des rêveurs qui les souillent
tombant de haut de la falaise des canniveaux
Junkie aux démesures d'une dose d'adrénaline
L'excédent de cervelle d'un trouble à cent pour cent
Collabore avec les larmes de corps échoués à terre
S'enroulant dans un drame qu'il prend pour pécadilles
Il envoya des gosses au camp des nostalgies
Où les souvenirs d'été cicatrisent des albums
Que tiennent des parents cheminant dans leur cœur
Leurs ambitions perdues un jour de fusillade
Même le désert a plus de vie que leur tourment
La frousse guide des zéros qui luttent contre le vent
Convaincus qu'un massacre en portera leur croix
La mort est en vadrouille les armes se revendent
C'est dans un gouffre scabreux que les hommes se broient
Dès qu'un fou a les boules ses balles se répandent
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
D'où viennent les héros :
Déjà huit heure, difficile de rester assis toute une nuit sur des cailloux sans avoir de courbatures au dos le lendemain. Mais lui il s'en foutait parcequ'il n'avait pas dormi. Il avait veillé devant une banque en observant son plan d'attaque à l'arrache. poussé à bout il avait pris le jouet en plastique imitation gun de rue de son fils resté bloqué à six ans. Six ans de bonheur innefacable effacés par le silence d'un docteur faisant d'une fraction de seconde le précipice d'une éternité. Il aurait été dans l'ordre des choses de mourir avant lui. Huit heure cinq. Les premiers employés s'attroupent devant la porte. Il a du mal à se relever. Il repense aux créanciers, les dettes vaccantes, le jour où le suicide de sa femme le laissa comme un vulgaire cow-boy solitaire. Ça y est il est prêt à se lancer, il laisse Joly s'attacher au poteau. concentré par la fureur qui l'anime, plus rien ne pourra le stopper. Le sas ouvert elle l'apperçu en première, il était parmi la liste des mauvais clients à gérer, elle s'en rappelle très bien le pauvre avait perdu sa famille, il n'arrivait plus à refaire surface. Mais les directives sont ce qu'elles sont, et elle même avait du mal à joindre les deux bouts, elle en avait pleuré toute une semaine en n'osant pas se regarder de peur du dégoût d'elle-même. Un suppléant du shérif et trois commerciaux le reconnurent aussi tôt qu'ils virent l'étonnement de leur collègue bloquant l'entrée, le regard mortifié sur leur épaule. Quand ils se retournèrent, un flingue croisait leur regard. La peur est ronde comme le canon d'un calibre huit millimètres, sauf que le métal est plus brûlant que le plastique. Au stage de préparation contre les attaques de banque, il était question de reconnaitre où pas la véracité d'une arme de poing, les guichetiers se faisant souvent avoir par des pistolets à bouchon. Ils levèrent les mains, coopérant sans broncher, Quand un gang de quatre personnes encagoulées se précipitèrent à l'intérieur en menaçant l'assemblée.
-Mais t'es QUI tOi ! Pose ton arme !
Il obéit d'instinct en s'applatissant
- À terre ! TOUT le monde les mains en l'air !
- Mais t'es con où quoi Averell !
- Okay puisque c'est toi le petit cerveau bah vas-y Joe ! Dit-il en s'asseyant sur un bureau.
Il avait bien vu sur le sol le tremblement des yeux de son ancienne conseillère, au milieu de ses comparses attérés par la soudaineté du hold-up. Deux d'entre eux furent recquisionnés pendant que le silence transpirait la peur.
- Vous avez deux minutes pour remplir les sacs d'espèces, sinon on la butte !
Elle faisait moins la maligne maintenant avec un colt braqué sur sa tempe, se dit-il en mesurant l'inversion des rôles.
- Une minute !
Ils restaient deux caisses à vider. Prendrait il plaisir à la voir se faire assassiner ?
- Trente secondes !
Non c'est du bluff.
- 10 secondes !
Allez dépêchez-vous ! Pensait-il
- 9
Je ne suis pas un meurtrier j'ai juste un dégoût de l'injustice
- 8
Je voulais les braquer mais sans mort
- 7
Le regard horrifié elle était prête à s'évanouir
- 6,5,4
Il ne pouvait pas laisser faire ça, et puis c'était son braquage !
- 3,2
- Non arrêtez ! Se jeta t'il
- Qui a tiré, Joe ?
- Ce n'est pas moi William !
- Qui a déclenché l'alarme Jack ?
- C'est pas moi j'ai juste appuyé sur un bouton !
- tais-toi Averell
- la ferme Averell
- je vais le tuer retenez-moi !
Quand le fourgon du pénitencier s'en alla avec eux dedans à travers les collines, sur le sentier menant à la prison d'état, Elle regarda cet ange déchu grimper sur sa monture, le soleil couchant droit dans ses yeux, il les avait sauvés eux et elle d'une mort certaine, en un éclair, qui lui fit aussi l'effet d'un coup de foudre, l'éclairant encore quand la nuit s'installa au-dessus des prairies sans barbelés...
Ainsi commença la légende de Lucky Luke
Déjà huit heure, difficile de rester assis toute une nuit sur des cailloux sans avoir de courbatures au dos le lendemain. Mais lui il s'en foutait parcequ'il n'avait pas dormi. Il avait veillé devant une banque en observant son plan d'attaque à l'arrache. poussé à bout il avait pris le jouet en plastique imitation gun de rue de son fils resté bloqué à six ans. Six ans de bonheur innefacable effacés par le silence d'un docteur faisant d'une fraction de seconde le précipice d'une éternité. Il aurait été dans l'ordre des choses de mourir avant lui. Huit heure cinq. Les premiers employés s'attroupent devant la porte. Il a du mal à se relever. Il repense aux créanciers, les dettes vaccantes, le jour où le suicide de sa femme le laissa comme un vulgaire cow-boy solitaire. Ça y est il est prêt à se lancer, il laisse Joly s'attacher au poteau. concentré par la fureur qui l'anime, plus rien ne pourra le stopper. Le sas ouvert elle l'apperçu en première, il était parmi la liste des mauvais clients à gérer, elle s'en rappelle très bien le pauvre avait perdu sa famille, il n'arrivait plus à refaire surface. Mais les directives sont ce qu'elles sont, et elle même avait du mal à joindre les deux bouts, elle en avait pleuré toute une semaine en n'osant pas se regarder de peur du dégoût d'elle-même. Un suppléant du shérif et trois commerciaux le reconnurent aussi tôt qu'ils virent l'étonnement de leur collègue bloquant l'entrée, le regard mortifié sur leur épaule. Quand ils se retournèrent, un flingue croisait leur regard. La peur est ronde comme le canon d'un calibre huit millimètres, sauf que le métal est plus brûlant que le plastique. Au stage de préparation contre les attaques de banque, il était question de reconnaitre où pas la véracité d'une arme de poing, les guichetiers se faisant souvent avoir par des pistolets à bouchon. Ils levèrent les mains, coopérant sans broncher, Quand un gang de quatre personnes encagoulées se précipitèrent à l'intérieur en menaçant l'assemblée.
-Mais t'es QUI tOi ! Pose ton arme !
Il obéit d'instinct en s'applatissant
- À terre ! TOUT le monde les mains en l'air !
- Mais t'es con où quoi Averell !
- Okay puisque c'est toi le petit cerveau bah vas-y Joe ! Dit-il en s'asseyant sur un bureau.
Il avait bien vu sur le sol le tremblement des yeux de son ancienne conseillère, au milieu de ses comparses attérés par la soudaineté du hold-up. Deux d'entre eux furent recquisionnés pendant que le silence transpirait la peur.
- Vous avez deux minutes pour remplir les sacs d'espèces, sinon on la butte !
Elle faisait moins la maligne maintenant avec un colt braqué sur sa tempe, se dit-il en mesurant l'inversion des rôles.
- Une minute !
Ils restaient deux caisses à vider. Prendrait il plaisir à la voir se faire assassiner ?
- Trente secondes !
Non c'est du bluff.
- 10 secondes !
Allez dépêchez-vous ! Pensait-il
- 9
Je ne suis pas un meurtrier j'ai juste un dégoût de l'injustice
- 8
Je voulais les braquer mais sans mort
- 7
Le regard horrifié elle était prête à s'évanouir
- 6,5,4
Il ne pouvait pas laisser faire ça, et puis c'était son braquage !
- 3,2
- Non arrêtez ! Se jeta t'il
- Qui a tiré, Joe ?
- Ce n'est pas moi William !
- Qui a déclenché l'alarme Jack ?
- C'est pas moi j'ai juste appuyé sur un bouton !
- tais-toi Averell
- la ferme Averell
- je vais le tuer retenez-moi !
Quand le fourgon du pénitencier s'en alla avec eux dedans à travers les collines, sur le sentier menant à la prison d'état, Elle regarda cet ange déchu grimper sur sa monture, le soleil couchant droit dans ses yeux, il les avait sauvés eux et elle d'une mort certaine, en un éclair, qui lui fit aussi l'effet d'un coup de foudre, l'éclairant encore quand la nuit s'installa au-dessus des prairies sans barbelés...
Ainsi commença la légende de Lucky Luke
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
De Locksley devint AA lorqu'il failli tuer par inadvertance petit Jean, après avoir descendu d'une flèche quinze bouteille de vodka, depuis, Robin déboit...
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
L'univers de tes yeux :
Sur ta plastique d'ébène la nuit en contre ajours
Traverse l'idée folle de l'anéantissement
D'une pâle réalité dont les assombrissements
Délimitent leur usure sur tes courbes de velours
C'est à la panoplie d'une eclipse faite d'amour
Pendant qu'elle centrifuge tes gènes passionnément
Qu'une force me guide en toi intarrissablement
Vers la source d'où jaillissent des lumières alentours
À la mouvance fortuite d'un hamac maladroit
Je t'observe depuis l'herbe dessiner que pour moi
Ma vue où se constelle ton regard qu'illumine
Dans ton sourire offert d'étoiles en plein éclat
Tu t'épanches et le ciel à mes bras qui s'alignent
Tombe en de mille baisers où ma bouche les reçoit
Version deux :
Ta plastique d'ébène où la nuit fait ajours
Fond d'une idée folle au concept du néant
Pâle réalité assombrissant le temps
Des limites d'usure aux courbes de velours
À la panoplie d'une éclipse d'amour
Quand elle centrifuge à leurs jaillissements
L'obscurité qu'envoile un éclaircissement
Ton regard est la source aux lueurs tout autour
Du mouvement fortuit d'un hamac maladroit
Je t'observe de l'herbe et ton visage accroit
Ma vue constellée où tes yeux m'illuminent
Dans ton sourire offert d'étoiles en éclats
Tu t'épanches le ciel à mes bras qui s'alignent
Tombe en mille baisers quand ma bouche les reçoit
Sur ta plastique d'ébène la nuit en contre ajours
Traverse l'idée folle de l'anéantissement
D'une pâle réalité dont les assombrissements
Délimitent leur usure sur tes courbes de velours
C'est à la panoplie d'une eclipse faite d'amour
Pendant qu'elle centrifuge tes gènes passionnément
Qu'une force me guide en toi intarrissablement
Vers la source d'où jaillissent des lumières alentours
À la mouvance fortuite d'un hamac maladroit
Je t'observe depuis l'herbe dessiner que pour moi
Ma vue où se constelle ton regard qu'illumine
Dans ton sourire offert d'étoiles en plein éclat
Tu t'épanches et le ciel à mes bras qui s'alignent
Tombe en de mille baisers où ma bouche les reçoit
Version deux :
Ta plastique d'ébène où la nuit fait ajours
Fond d'une idée folle au concept du néant
Pâle réalité assombrissant le temps
Des limites d'usure aux courbes de velours
À la panoplie d'une éclipse d'amour
Quand elle centrifuge à leurs jaillissements
L'obscurité qu'envoile un éclaircissement
Ton regard est la source aux lueurs tout autour
Du mouvement fortuit d'un hamac maladroit
Je t'observe de l'herbe et ton visage accroit
Ma vue constellée où tes yeux m'illuminent
Dans ton sourire offert d'étoiles en éclats
Tu t'épanches le ciel à mes bras qui s'alignent
Tombe en mille baisers quand ma bouche les reçoit
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Version trois :
Sur la colline de l'horizon, la prairie absorbe le soleil. La nuit emprunte tes courbes, et sillonnent le monde resté vaccant, remplacé par ta silhouette qui s'evase. Les pluralités des couleurs s'harmonisent sur ta peau en essor, le crépuscule danse déjà en savourant d'avance les lueurs dans tes yeux. Dans le hamac de nos bras, nos corps en balancelle s'enroulent sur l'herbe faite d'étoiles, là où notre chute se prolonge dans l'effervescence de mille baisers météores.
Sur la colline de l'horizon, la prairie absorbe le soleil. La nuit emprunte tes courbes, et sillonnent le monde resté vaccant, remplacé par ta silhouette qui s'evase. Les pluralités des couleurs s'harmonisent sur ta peau en essor, le crépuscule danse déjà en savourant d'avance les lueurs dans tes yeux. Dans le hamac de nos bras, nos corps en balancelle s'enroulent sur l'herbe faite d'étoiles, là où notre chute se prolonge dans l'effervescence de mille baisers météores.
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Version quatre :
Ta plastique d'ébène où la nuit fait ajours
Pâle réalité assombrissant le temps
La limite d'usure aux courbes de velours
Fond d'une idée folle au concept du néant
Pâle réalité assombrissant le temps
À la panoplie d'une éclipse d'amour
Fond d'une idée folle au concept du néant
Ton regard est la source des lueurs tout autour
À la panoplie d'une éclipse d'amour
Quand elle centrifuge à ses jaillissements
Ton regard est la source des lueurs tout autour
L'obscurité s'envoile à l'éclaircissement
Quand elle centrifuge à ses jaillissements
Le mouvement fortuit d'un hamac maladroit
L'obscurité s'envoile à l'éclaircissement
Je t'observe de l'herbe où ton visage accroit
Le mouvement fortuit d'un hamac maladroit
Ma vue constellée où tes yeux m'illuminent
Je t'observe de l'herbe où ton visage accroit
Tu t'épanches du ciel à mes bras qui s'alignent
Ma vue constellée où tes yeux m'illuminent
Dans ton sourire offert d'étoiles en éclats
Tu t'épanches le ciel à mes bras qui s'alignent
Tombe en mille baisers que ma bouche reçoit
Dans ton sourire offert d'étoiles en éclat
La limite d'usure aux courbes de velours
Tombe en mille baisers que ma bouche reçoit
Ta plastique d'ébène où la nuit fait ajours
Ta plastique d'ébène où la nuit fait ajours
Pâle réalité assombrissant le temps
La limite d'usure aux courbes de velours
Fond d'une idée folle au concept du néant
Pâle réalité assombrissant le temps
À la panoplie d'une éclipse d'amour
Fond d'une idée folle au concept du néant
Ton regard est la source des lueurs tout autour
À la panoplie d'une éclipse d'amour
Quand elle centrifuge à ses jaillissements
Ton regard est la source des lueurs tout autour
L'obscurité s'envoile à l'éclaircissement
Quand elle centrifuge à ses jaillissements
Le mouvement fortuit d'un hamac maladroit
L'obscurité s'envoile à l'éclaircissement
Je t'observe de l'herbe où ton visage accroit
Le mouvement fortuit d'un hamac maladroit
Ma vue constellée où tes yeux m'illuminent
Je t'observe de l'herbe où ton visage accroit
Tu t'épanches du ciel à mes bras qui s'alignent
Ma vue constellée où tes yeux m'illuminent
Dans ton sourire offert d'étoiles en éclats
Tu t'épanches le ciel à mes bras qui s'alignent
Tombe en mille baisers que ma bouche reçoit
Dans ton sourire offert d'étoiles en éclat
La limite d'usure aux courbes de velours
Tombe en mille baisers que ma bouche reçoit
Ta plastique d'ébène où la nuit fait ajours
poeteric- Nombre de messages : 933
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Date d'inscription : 11/02/2008
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Ven 15 Jan - 16:40 par poeteric
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