écrits Juin-juillet
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écrits Juin-juillet
Dans l'empyrée de ton emprise :
Les vents en rugissant sur les cieux en torsade
Arrachent en hurlant d'imposantes tornades
Tout ce que l'on pensait pouvoir tenir à terre
Est happé et défait désintègré en l'air
quand, d'un geste instinctif saccadé de ses spasmes
Une femme s'élève allumée au défi
de mordre le tumulte enluminé d'envie
que son éruption ruissèle en sa lave d'orgasme
Sa force torrentielle au bouillon de syphons
Déploie un cri cruel dans l'extermination
Du soleil qu'elle éclypse à le mettre en charpie
À l'ombre d'un Je T'Aime avouant qu'elle jouit
Chutant après son vol un mur se défenestre
Les vitraux d'une église emportés par des foudres
Auréolent l'élan de l'oeil bleu de l'azur
Perlant en ascension ses éclats avalés
Jeu set et match :
1.
Mêlant obscurité et rouge conquérant
Un royaume de bleu aux deux millards de gens
Craint la révolution des couleurs autour d'eux
Que l'ancestral dragon n'aille mordre sa queue
Quand 400 millions de chinois en folie
Vibrent à l'unisson des coups droits de Na Li
Dans leur chambre assignés les dissidents regardent
Les voisins s'exulter sous le rictus des gardes
En pleine partie de gain au Gold Farming
Pour s'arrêter soudain devant tous ces lemmings
Avançant raquette en main sur Hu Jintao
Prêt à servir balles reelles sur Xiaobo
Pendant que l'Occident applaudit le prodige
D'une Femme levant son trophé' qu'elle érige
Sans qu'ils aient monnayé un nouveau tgv
Pour le jardin des fonctionnaires haut gradés
2.
Les japonnaises championnes du monde de foot !
Effaçant le cauchemard d'une énorme dette publique
À coup de transversales et de tacles rageurs
Onze athlètes japonnaises montent sur le mont Fuji
Avec sur leur drapeau une balle de soccer
Même la suprématie alliant force et grandeur
De ces americaines superstar au pays
S'est inclinée au tir des pénaltys
Quand une gardienne dragonne avait le feu au cœur
Et voici tout un peuple au chevet de leurs paires
Faisant de cette Cup une urne funéraire
Dispersant dans le vent l'affront fait aux nippons
Dont l'amère série de cataclysmes à terre
Entre des tremblements et des innondations
Marquera l'histoire et les conteurs Geiger
3.
Les descendants d'esclaves filant à travers champs
Lui lèguèrent cette force que l'on a en fuyant
Quand Usain Bolt enjambe les records mondiaux
En mettant des coups de reins pour coiffer au poteau
La mort encagoulée en jogging noir et blanc
Croyant marquer la piste en neuf seconde huit cent
Quand elle se brûle les yeux de sa boulette de taille
L'ayant pris pour un pauvre et lent rastafari
Dès le départ fumée elle vit l'écart de classe
À peine déplié son sprint était de grâce
De colère elle claqua sur un autre son dépit
Quand elle foudroya son rêve en hémorragie
Cuisses arrachées tel des javelots qui cassent
La faucheuse s'en alla son quota lui suffit :
Un raciste dopé figé d'une grimace
De voir un black voler le condamnant à vie !
Dis papa :
- Dis moi papa pourquoi des étoiles la nuit
brillent j'ne comprends pas pourtant tout est noirci ?
- Mon cheri c'est à cause et cela remonte loin
d'un énorme big-bang qui fit notre destin
- Ha bon...dis moi papa maintenant je suis grand
allez dis papa, comment on fait des enfants ?
- Et bien vois tu pourquoi le soir tout se noirci
bien que la lumière y est toujours la nuit
Au battement subtil d'un papillon bleuté
Alors qu'il se distille aux couleurs d'une orée
Elle vient et lévite à son froissement d'ailes
Quand elle sollicite au couché du soleil
Qu'il prenne dans l'envol de son grand éventail
La lune qui l'éclaire Elle qui tout avale
Sans autre explication Il part du nord et sud
À terre son cocon quand il prend l'altitude
Tiédis sous des fleurs l'implorant de laisser
Leur source de blancheur en cette obscurité
Il réfléchit le temps flanche et son ralenti
en déclenche le chant des ruisseaux qui s'ecrient
alors tous revêtus d'une maille d'argent
qu'il serait impromptu et voir même indigent
quand leur costume y erre en volant dans l'azur
qu'elle leurs brode l'air sur leurs revers d'usure
d'énlever à jamais cet éclairage opale
eux qui s'y modelaient dans son trajet bancal
le papillon hésite et vite arrête avant
qu'il ne se précipite et que son jugement
du bout de l'aile gauche ombre toute la terre
quand de son aile droite il eut un flash éclair
sa réponse éblouie entre des fulgurances
renvoya à la nuit ne voulant de brillances
le voile de lueurs que des prunelles couvent
depuis on peut à l'heure où l'infini s'entrouve
observer dans les cieux des étoiles nombreuses
grâce au papillon bleu et ta maman heureuse
Ha fiston donc voilà pourquoi ses artifices
va t'habiller fissa un coup de dentifrice
c'est l'heure de l'école et hop hop maintenant
mais avant qu'on décolle embrasse ta maman !
- oki papa ! En plus aujourd'hui dans la classe
on a cours d'anatomie plus, c'est trop classe,
un grand cours sur la reproduction sexuelle !
n'hésite pas si t'as des questions éventuelles !
Près d'une rive : ( je le remets là )
de sa voix jade et or le soleil interprête
la lyre de la vie ombrée de ses notes
ravissant ce qui luit sous sa harpe despote
dans ce charme en essor que ses rayons fleurètent
sur toute architexture où ses chuchots complotent
pour qu'il s'évapore entre leur sève violette
et qu'un baiser photophore enfin effeuillette
l'embouchure étourdie où deux corps le sirotent
l'herbe à moitié rose imbibe la blancheur
d'un tapis que posent des cerisiers en fleurs
les papillons en cheville auprès de tourteraux
préparent leur osmose avant le bal d'honneur
de trilles dans la vrille en duo d'un anneau
pour tout accord qui ose unir pire et meilleur
...............................Et je
...................................rame entre
................................un des colverts
....................................en cueillant sur la rive
.......d'une.......................des pommes vives
.................................glorifiant
............longue..............ta beauté
........aile..........................quand je
.......................en...............me sens
..................l'air........................tout tarte
................................me sentant déjà fier de me
.........................savoir ton homme en cancanant
..................d'un rhizome essayant de te plaire
.......en te montrant mes chromes je t'invite
.............au verger des guerriers de
............................sparte...le
.................................long.....du
....................................ventre...bleu
..................................des....vagues
................................qui........se
..................................moirent...aux pétales
......................................de lys et leur voile imago
.........reflétant des en/je la passion à valoir
............le temps que l'on existe au choeur d'un
...............................................................même écho
les regards amoureux font des ronds dans la mare
en troublant leurs iris sur la berge aux roseaux
regardant dans leurs yeux le fond de deux miroirs
dont une onde améthyste effile son faisceau
..tel un
..serpent qui
..rampe un colibri
..roublard n'ayant
.....manger l'hiver........................que
.....nèfles et bonnets...............escalade\______
....la rampe où piaffent.........les regards.=====
........piquant du bec un......vers digne de
.............grands gourmets..son desaroi
....................contemple au sournois
....................desespoir les plats
.....................et les desserts
.................placés sur le
..........banquet lappant
......la langue ample
....un tit punch du
...pressoir
..........il feint d'être des pairs devant ce grand buffet
en station sur le bal devant toute l'élite
il fait mine joviale allant cosmopolite
prétextant à qui veut son lien de parenté
un vide intestinal gazouillant explicite
son projet ambitieux de tarir le hoquet
d'une faim abyssale au festin qui l'excite
un
rossignol
fixé sur son
arbre à palabre
.s'installe en chef
..d'orchestre invitant
..ses amis pour l'en-
...tendre clamer en....................................la______
....brise nomade son.........................chant à........../
.....tue-tête alors en........................inertie de son/
........cœur enflammé aux braises d'une aubade
..........lui donnant le prétexte informant
............la prairie d'extraire spontané
...............à son cou qui se cabre
................les notes au concept
................des aveux d'être épris
.............................\..\..........\..\
...............................\..\..........\..\
.................................\..\..........\..\
quand sortie une poule au milieu des ambages
cocloquant toute en feu les spectateurs au ciel
dont un coucou coucoule en haut de son corsage
en tombant amoureux raide entre ses dentelles
les hourras de la foule entre les jabotages
zinzolinent heureux dans les claquements d'ailes
de ceux qui roucoulent brandissant leur ramage
dans le chant merveilleux des amours éternels
Le silence surpris d'être enfin entendu
perplexe et ébahis se tait alors ému
emporté sur la voie aux moments opportuns
faisant place aux stries des aveux reconnus
consentant dans la foi un destin en commun
quand deux êtres lient leur âme mise à nue
..................dès........................................lors
............s'approchant..........................de la rive
.........vinrent vêtus de................parures brillantes
......deux grands cygnes.........majestueux fendant
....les ondes..........voilées....dont..........les vagues
......fragilisent.............l'éternel.............brassage
............du vent..................................la lueur
................semée.............................du ciel........vibrant
...reflétant......éclos......................au sein...libre contre
les attractions...même............des yeux..le plaisir duo
les échos similaires.épris..chacun...l'un aux autres et
..regardant dans la même direction s'adonner en la
.....brulure lente du temps qui découle entre tous les
..........émoluments sous la participation de divines
..............épousailles du destin en concordance
...l'enivrement unis à l'intempérance de cœurs mariés
près du bar de la plage au siège de l'eau
un coude sur la vague et l'autre sur mon dos
tu admires l'univers danser sur sa scène
son spectacle aux flambeaux laisse sur ton visage
des claps de lumière aux etoiles mécènes
applaudissant des flots la lune au miel sauvage
Après l'orage l'éclaircie :
Chaque éclair au loin marque en quelques secondes
Une griffe éphémère au sang de soude blanche
Allant en déchirant cette obscure avalanche
Roulant des âcres d'arcs les cieux flashés qui grondent
L'impact ramifié d'une danse électrique
Se sabre sur la cîme au colisée d'arbres
Balancés dans l'abime où des chaos les cabrent
Dans un air foudroyé de moiteurs frénétiques
La pluie sur ta peau coule où nos corps se collent
Confondant ce qui mouille en ton écorce folle
Aux frissons torrentiels des éclats de ta voix
L'orage passionnel s'éloigne au fond de toi
Et tes rayons sereins propagent au ciel bleu
Un grand soleil coquin souriant de tes yeux
Entre karaokeurs :
J'écoute inconsciemment tous tes mots que je souffle
Porté par un vertige au tourbillon de l'être
Clapant ta persistance où tes courbes solubles
Régulent l'eurythmie amplifiée à l'amour
Partout où je pourlèche en des perles le slam
Des vibrations créant l'écho que tu sussures
J'enregistre ton corps chanter sous mes rappels
Où ma verve oscillante équalize ta bouche
une main qui te joue une autre en ton refrain
j'accorde ton courroux roulant timbre satin
dans le debit d'ébats des dB de ta glotte
les spotlights de tes yeux qui tant t'acculent hot
induisent ton striptease au show libérateur
d'un chant où l'on s'aiguise entre carat au cœur
( Aujourd'hui les nuages font de belles montagnes,
On pourrait presque les gravir en rêvant debout..
En habit de poète et l’amour pour compagne
Sur ce tapis mousseux, on irait jusqu’au bout
Jusqu'au bout du ciel clair colportant en son pagne
Les regards sur la fresque des étoiles frou-frou
Voltant éclats volants quand elles accompagnent
Nos âmes sur leurs facettes brillant contre leur cou
En cette danse instable où l'infini oscille
La grâce chaloupée où nos ombres vacillent
Quand tes lueurs vaillantes font ma constellation
Dans la nuit amplifiée accordant nos raisons
Le soleil aux platines scratche le firmament
Où ta peau de vinyle suit ton cœur de diamant )
Qu'au battement de cils un rêve enchâsse un autre :
Répandez-vous souvent au désir d'outres songes
Votre encre indélébile à ma plume en idylle
Embarbelée aux mots par où votre cœur plonge
Créant du ruisseau d'en face un delta du Nil ?
Aux ferveurs de la nuit cherchant la symbiose
Par où un bleu-saumon plonge dans l'eau de rose
Des tours de tout autour d'orées et d'aurores
Les heures en orbite à leur pendule d'or
Vrombissent en bordant quand elles s'illuminent
Votre regard bouillant leur illusion sublime...
Qu'au battement de cils un rêve enchâsse un autre
L'infini vous surligne et mon cœur désinvolte
Sous votre aura au voile émeraude éternel
Contemple le dessein de votre âme aquarelle !
J'ai tant cherché l'amour pour y trouver ma femme
Jusqu'à faire le tour de tout ce qui m'enflamme
Sans y trouver vraiment les brûlures parfaites
du cœur s'en rougissant de troubles qui s'entêtent...
Et vous voici gracile aux lèvres prévenantes
dont la moue extensible au rire d'une amante
affole cet espoir secret d'admiration
de vous voir au miroir de toutes les saisons
Vous regarder frémir sous les oiseaux sifflant
Votre robe au zephir annonçant le printemps
Reblasant de couleurs quand elle papillonne
Les arbres et les fleurs que votre air émulsionne
Vous confondre au mirage étourdissant d'une ange
Me tendant son breuvage au bout de mes phalanges
Un cocktail de fraicheur de votre peau pressée
Aux pulpes des moiteurs des orages d'été
Écouter sur la flaque ocre où vos pas raisonnent
L'amertume délicate au chant de l'automne
Dont chaque écorce ivre entre leurs engelures
Laissent un peu de givre embellir votre allure
Souffler sur vos je voeux crépitant près d'un âtre
l'hiver sur vos cheveux sous des diamants de nacre
fondant en spiralant dans la senteur boisée
des chaleurs vaporant des empreintes glacées
Sous une pluie fine aux fèves parallèles
Votre musc robore entre lavande et miel
D'un arrière goût de neige et de jacinthe
Parfumant votre cou d'une effluve de sainte
Par où vais-je et conjugue auprès de cette ardeur
Tout ce qui me subjugue avec force et douceur
Quand votre nuancier flotte sur vos dentelles
Un soleil myosotis aux rouges pimprenelles
Où la frivolité de vos métamorphoses
Des explosivités de votre envie éclose
Tressaile à soutenir vos pulsions ébahies
Aimant à dévêtir enfer et paradis
Ainsi supplantez vous l'herbe violacée
Près d'un tronc à genoux vous contant effeuillé
Dans l'arc circonstanciel d'un désir extatique
La foudre démentielle en vos yeux magnétiques
C'est quoi cette tartine ?
Aurais-je l'air crétine ?
Ne vous ais-je tenu de façon élégante
Un discours qui voulu sans réponse intrigante
Vous tenir éloigné du drame qui me voile
Le temps de retrouver mon souffle qui fait mal ?
Vas donc tu t'arrêter et me lâcher la grappe
Mon mari est tombé alors dans sa varappe
Je suis encore en deuil mes larmes violines
Égouttent de chaque œil cette perte assassine
Vous serais-je une muse et cela m'est fort aise
Que votre plume m'use et que cela vous plaise
Faites en des postits et collez les au mur
Votre verve m'irrite Ô moi reine des mûres
Pour qui me prenez vous ! Vous me créez malaise
Vous n'êtes qu'un voyou avec votre air de fraise
Hum peut-être que j'eu coulé à vos sirops
Mais vous êtes d'un cru vraiment des plus idiots !
Ma cousine Myrtille, Ô innocente sotte...,
Fut charmée en votre île aux rives de charlotte,
Y fuyant écarlate et son rêve blanchi
Au premier contact où vous fûtes chantilly !
Stop ton film triste je ne suis ton actrice
Si jamais t'insistes mon père de cassis
Viendra péter avec mon grand frère Pruno
Jusqu'à ce que soient sec tes mots toujours de trop !
Ramène plus ta fraise où je t'hache en morceaux,
Tu feras moins balèze en confiture au pot !
Les vents en rugissant sur les cieux en torsade
Arrachent en hurlant d'imposantes tornades
Tout ce que l'on pensait pouvoir tenir à terre
Est happé et défait désintègré en l'air
quand, d'un geste instinctif saccadé de ses spasmes
Une femme s'élève allumée au défi
de mordre le tumulte enluminé d'envie
que son éruption ruissèle en sa lave d'orgasme
Sa force torrentielle au bouillon de syphons
Déploie un cri cruel dans l'extermination
Du soleil qu'elle éclypse à le mettre en charpie
À l'ombre d'un Je T'Aime avouant qu'elle jouit
Chutant après son vol un mur se défenestre
Les vitraux d'une église emportés par des foudres
Auréolent l'élan de l'oeil bleu de l'azur
Perlant en ascension ses éclats avalés
Jeu set et match :
1.
Mêlant obscurité et rouge conquérant
Un royaume de bleu aux deux millards de gens
Craint la révolution des couleurs autour d'eux
Que l'ancestral dragon n'aille mordre sa queue
Quand 400 millions de chinois en folie
Vibrent à l'unisson des coups droits de Na Li
Dans leur chambre assignés les dissidents regardent
Les voisins s'exulter sous le rictus des gardes
En pleine partie de gain au Gold Farming
Pour s'arrêter soudain devant tous ces lemmings
Avançant raquette en main sur Hu Jintao
Prêt à servir balles reelles sur Xiaobo
Pendant que l'Occident applaudit le prodige
D'une Femme levant son trophé' qu'elle érige
Sans qu'ils aient monnayé un nouveau tgv
Pour le jardin des fonctionnaires haut gradés
2.
Les japonnaises championnes du monde de foot !
Effaçant le cauchemard d'une énorme dette publique
À coup de transversales et de tacles rageurs
Onze athlètes japonnaises montent sur le mont Fuji
Avec sur leur drapeau une balle de soccer
Même la suprématie alliant force et grandeur
De ces americaines superstar au pays
S'est inclinée au tir des pénaltys
Quand une gardienne dragonne avait le feu au cœur
Et voici tout un peuple au chevet de leurs paires
Faisant de cette Cup une urne funéraire
Dispersant dans le vent l'affront fait aux nippons
Dont l'amère série de cataclysmes à terre
Entre des tremblements et des innondations
Marquera l'histoire et les conteurs Geiger
3.
Les descendants d'esclaves filant à travers champs
Lui lèguèrent cette force que l'on a en fuyant
Quand Usain Bolt enjambe les records mondiaux
En mettant des coups de reins pour coiffer au poteau
La mort encagoulée en jogging noir et blanc
Croyant marquer la piste en neuf seconde huit cent
Quand elle se brûle les yeux de sa boulette de taille
L'ayant pris pour un pauvre et lent rastafari
Dès le départ fumée elle vit l'écart de classe
À peine déplié son sprint était de grâce
De colère elle claqua sur un autre son dépit
Quand elle foudroya son rêve en hémorragie
Cuisses arrachées tel des javelots qui cassent
La faucheuse s'en alla son quota lui suffit :
Un raciste dopé figé d'une grimace
De voir un black voler le condamnant à vie !
Dis papa :
- Dis moi papa pourquoi des étoiles la nuit
brillent j'ne comprends pas pourtant tout est noirci ?
- Mon cheri c'est à cause et cela remonte loin
d'un énorme big-bang qui fit notre destin
- Ha bon...dis moi papa maintenant je suis grand
allez dis papa, comment on fait des enfants ?
- Et bien vois tu pourquoi le soir tout se noirci
bien que la lumière y est toujours la nuit
Au battement subtil d'un papillon bleuté
Alors qu'il se distille aux couleurs d'une orée
Elle vient et lévite à son froissement d'ailes
Quand elle sollicite au couché du soleil
Qu'il prenne dans l'envol de son grand éventail
La lune qui l'éclaire Elle qui tout avale
Sans autre explication Il part du nord et sud
À terre son cocon quand il prend l'altitude
Tiédis sous des fleurs l'implorant de laisser
Leur source de blancheur en cette obscurité
Il réfléchit le temps flanche et son ralenti
en déclenche le chant des ruisseaux qui s'ecrient
alors tous revêtus d'une maille d'argent
qu'il serait impromptu et voir même indigent
quand leur costume y erre en volant dans l'azur
qu'elle leurs brode l'air sur leurs revers d'usure
d'énlever à jamais cet éclairage opale
eux qui s'y modelaient dans son trajet bancal
le papillon hésite et vite arrête avant
qu'il ne se précipite et que son jugement
du bout de l'aile gauche ombre toute la terre
quand de son aile droite il eut un flash éclair
sa réponse éblouie entre des fulgurances
renvoya à la nuit ne voulant de brillances
le voile de lueurs que des prunelles couvent
depuis on peut à l'heure où l'infini s'entrouve
observer dans les cieux des étoiles nombreuses
grâce au papillon bleu et ta maman heureuse
Ha fiston donc voilà pourquoi ses artifices
va t'habiller fissa un coup de dentifrice
c'est l'heure de l'école et hop hop maintenant
mais avant qu'on décolle embrasse ta maman !
- oki papa ! En plus aujourd'hui dans la classe
on a cours d'anatomie plus, c'est trop classe,
un grand cours sur la reproduction sexuelle !
n'hésite pas si t'as des questions éventuelles !
Près d'une rive : ( je le remets là )
de sa voix jade et or le soleil interprête
la lyre de la vie ombrée de ses notes
ravissant ce qui luit sous sa harpe despote
dans ce charme en essor que ses rayons fleurètent
sur toute architexture où ses chuchots complotent
pour qu'il s'évapore entre leur sève violette
et qu'un baiser photophore enfin effeuillette
l'embouchure étourdie où deux corps le sirotent
l'herbe à moitié rose imbibe la blancheur
d'un tapis que posent des cerisiers en fleurs
les papillons en cheville auprès de tourteraux
préparent leur osmose avant le bal d'honneur
de trilles dans la vrille en duo d'un anneau
pour tout accord qui ose unir pire et meilleur
...............................Et je
...................................rame entre
................................un des colverts
....................................en cueillant sur la rive
.......d'une.......................des pommes vives
.................................glorifiant
............longue..............ta beauté
........aile..........................quand je
.......................en...............me sens
..................l'air........................tout tarte
................................me sentant déjà fier de me
.........................savoir ton homme en cancanant
..................d'un rhizome essayant de te plaire
.......en te montrant mes chromes je t'invite
.............au verger des guerriers de
............................sparte...le
.................................long.....du
....................................ventre...bleu
..................................des....vagues
................................qui........se
..................................moirent...aux pétales
......................................de lys et leur voile imago
.........reflétant des en/je la passion à valoir
............le temps que l'on existe au choeur d'un
...............................................................même écho
les regards amoureux font des ronds dans la mare
en troublant leurs iris sur la berge aux roseaux
regardant dans leurs yeux le fond de deux miroirs
dont une onde améthyste effile son faisceau
..tel un
..serpent qui
..rampe un colibri
..roublard n'ayant
.....manger l'hiver........................que
.....nèfles et bonnets...............escalade\______
....la rampe où piaffent.........les regards.=====
........piquant du bec un......vers digne de
.............grands gourmets..son desaroi
....................contemple au sournois
....................desespoir les plats
.....................et les desserts
.................placés sur le
..........banquet lappant
......la langue ample
....un tit punch du
...pressoir
..........il feint d'être des pairs devant ce grand buffet
en station sur le bal devant toute l'élite
il fait mine joviale allant cosmopolite
prétextant à qui veut son lien de parenté
un vide intestinal gazouillant explicite
son projet ambitieux de tarir le hoquet
d'une faim abyssale au festin qui l'excite
un
rossignol
fixé sur son
arbre à palabre
.s'installe en chef
..d'orchestre invitant
..ses amis pour l'en-
...tendre clamer en....................................la______
....brise nomade son.........................chant à........../
.....tue-tête alors en........................inertie de son/
........cœur enflammé aux braises d'une aubade
..........lui donnant le prétexte informant
............la prairie d'extraire spontané
...............à son cou qui se cabre
................les notes au concept
................des aveux d'être épris
.............................\..\..........\..\
...............................\..\..........\..\
.................................\..\..........\..\
quand sortie une poule au milieu des ambages
cocloquant toute en feu les spectateurs au ciel
dont un coucou coucoule en haut de son corsage
en tombant amoureux raide entre ses dentelles
les hourras de la foule entre les jabotages
zinzolinent heureux dans les claquements d'ailes
de ceux qui roucoulent brandissant leur ramage
dans le chant merveilleux des amours éternels
Le silence surpris d'être enfin entendu
perplexe et ébahis se tait alors ému
emporté sur la voie aux moments opportuns
faisant place aux stries des aveux reconnus
consentant dans la foi un destin en commun
quand deux êtres lient leur âme mise à nue
..................dès........................................lors
............s'approchant..........................de la rive
.........vinrent vêtus de................parures brillantes
......deux grands cygnes.........majestueux fendant
....les ondes..........voilées....dont..........les vagues
......fragilisent.............l'éternel.............brassage
............du vent..................................la lueur
................semée.............................du ciel........vibrant
...reflétant......éclos......................au sein...libre contre
les attractions...même............des yeux..le plaisir duo
les échos similaires.épris..chacun...l'un aux autres et
..regardant dans la même direction s'adonner en la
.....brulure lente du temps qui découle entre tous les
..........émoluments sous la participation de divines
..............épousailles du destin en concordance
...l'enivrement unis à l'intempérance de cœurs mariés
près du bar de la plage au siège de l'eau
un coude sur la vague et l'autre sur mon dos
tu admires l'univers danser sur sa scène
son spectacle aux flambeaux laisse sur ton visage
des claps de lumière aux etoiles mécènes
applaudissant des flots la lune au miel sauvage
Après l'orage l'éclaircie :
Chaque éclair au loin marque en quelques secondes
Une griffe éphémère au sang de soude blanche
Allant en déchirant cette obscure avalanche
Roulant des âcres d'arcs les cieux flashés qui grondent
L'impact ramifié d'une danse électrique
Se sabre sur la cîme au colisée d'arbres
Balancés dans l'abime où des chaos les cabrent
Dans un air foudroyé de moiteurs frénétiques
La pluie sur ta peau coule où nos corps se collent
Confondant ce qui mouille en ton écorce folle
Aux frissons torrentiels des éclats de ta voix
L'orage passionnel s'éloigne au fond de toi
Et tes rayons sereins propagent au ciel bleu
Un grand soleil coquin souriant de tes yeux
Entre karaokeurs :
J'écoute inconsciemment tous tes mots que je souffle
Porté par un vertige au tourbillon de l'être
Clapant ta persistance où tes courbes solubles
Régulent l'eurythmie amplifiée à l'amour
Partout où je pourlèche en des perles le slam
Des vibrations créant l'écho que tu sussures
J'enregistre ton corps chanter sous mes rappels
Où ma verve oscillante équalize ta bouche
une main qui te joue une autre en ton refrain
j'accorde ton courroux roulant timbre satin
dans le debit d'ébats des dB de ta glotte
les spotlights de tes yeux qui tant t'acculent hot
induisent ton striptease au show libérateur
d'un chant où l'on s'aiguise entre carat au cœur
( Aujourd'hui les nuages font de belles montagnes,
On pourrait presque les gravir en rêvant debout..
En habit de poète et l’amour pour compagne
Sur ce tapis mousseux, on irait jusqu’au bout
Jusqu'au bout du ciel clair colportant en son pagne
Les regards sur la fresque des étoiles frou-frou
Voltant éclats volants quand elles accompagnent
Nos âmes sur leurs facettes brillant contre leur cou
En cette danse instable où l'infini oscille
La grâce chaloupée où nos ombres vacillent
Quand tes lueurs vaillantes font ma constellation
Dans la nuit amplifiée accordant nos raisons
Le soleil aux platines scratche le firmament
Où ta peau de vinyle suit ton cœur de diamant )
Qu'au battement de cils un rêve enchâsse un autre :
Répandez-vous souvent au désir d'outres songes
Votre encre indélébile à ma plume en idylle
Embarbelée aux mots par où votre cœur plonge
Créant du ruisseau d'en face un delta du Nil ?
Aux ferveurs de la nuit cherchant la symbiose
Par où un bleu-saumon plonge dans l'eau de rose
Des tours de tout autour d'orées et d'aurores
Les heures en orbite à leur pendule d'or
Vrombissent en bordant quand elles s'illuminent
Votre regard bouillant leur illusion sublime...
Qu'au battement de cils un rêve enchâsse un autre
L'infini vous surligne et mon cœur désinvolte
Sous votre aura au voile émeraude éternel
Contemple le dessein de votre âme aquarelle !
J'ai tant cherché l'amour pour y trouver ma femme
Jusqu'à faire le tour de tout ce qui m'enflamme
Sans y trouver vraiment les brûlures parfaites
du cœur s'en rougissant de troubles qui s'entêtent...
Et vous voici gracile aux lèvres prévenantes
dont la moue extensible au rire d'une amante
affole cet espoir secret d'admiration
de vous voir au miroir de toutes les saisons
Vous regarder frémir sous les oiseaux sifflant
Votre robe au zephir annonçant le printemps
Reblasant de couleurs quand elle papillonne
Les arbres et les fleurs que votre air émulsionne
Vous confondre au mirage étourdissant d'une ange
Me tendant son breuvage au bout de mes phalanges
Un cocktail de fraicheur de votre peau pressée
Aux pulpes des moiteurs des orages d'été
Écouter sur la flaque ocre où vos pas raisonnent
L'amertume délicate au chant de l'automne
Dont chaque écorce ivre entre leurs engelures
Laissent un peu de givre embellir votre allure
Souffler sur vos je voeux crépitant près d'un âtre
l'hiver sur vos cheveux sous des diamants de nacre
fondant en spiralant dans la senteur boisée
des chaleurs vaporant des empreintes glacées
Sous une pluie fine aux fèves parallèles
Votre musc robore entre lavande et miel
D'un arrière goût de neige et de jacinthe
Parfumant votre cou d'une effluve de sainte
Par où vais-je et conjugue auprès de cette ardeur
Tout ce qui me subjugue avec force et douceur
Quand votre nuancier flotte sur vos dentelles
Un soleil myosotis aux rouges pimprenelles
Où la frivolité de vos métamorphoses
Des explosivités de votre envie éclose
Tressaile à soutenir vos pulsions ébahies
Aimant à dévêtir enfer et paradis
Ainsi supplantez vous l'herbe violacée
Près d'un tronc à genoux vous contant effeuillé
Dans l'arc circonstanciel d'un désir extatique
La foudre démentielle en vos yeux magnétiques
C'est quoi cette tartine ?
Aurais-je l'air crétine ?
Ne vous ais-je tenu de façon élégante
Un discours qui voulu sans réponse intrigante
Vous tenir éloigné du drame qui me voile
Le temps de retrouver mon souffle qui fait mal ?
Vas donc tu t'arrêter et me lâcher la grappe
Mon mari est tombé alors dans sa varappe
Je suis encore en deuil mes larmes violines
Égouttent de chaque œil cette perte assassine
Vous serais-je une muse et cela m'est fort aise
Que votre plume m'use et que cela vous plaise
Faites en des postits et collez les au mur
Votre verve m'irrite Ô moi reine des mûres
Pour qui me prenez vous ! Vous me créez malaise
Vous n'êtes qu'un voyou avec votre air de fraise
Hum peut-être que j'eu coulé à vos sirops
Mais vous êtes d'un cru vraiment des plus idiots !
Ma cousine Myrtille, Ô innocente sotte...,
Fut charmée en votre île aux rives de charlotte,
Y fuyant écarlate et son rêve blanchi
Au premier contact où vous fûtes chantilly !
Stop ton film triste je ne suis ton actrice
Si jamais t'insistes mon père de cassis
Viendra péter avec mon grand frère Pruno
Jusqu'à ce que soient sec tes mots toujours de trop !
Ramène plus ta fraise où je t'hache en morceaux,
Tu feras moins balèze en confiture au pot !
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Épouser une mûre ainsi voulut la fraise
Mais un cliché qui dure en empêcha son rêve...
En le croisant plus tard aux bras d'une fadasse
Trainant au boulevard sa copine ananas
Elle se dit que mince il était un butor
Chance qu'elle l'évince avant qu'il la dévore !
Un fantasme à l'allure en bas de fantaisie
sur les reflets sucrés de peaux rose bonbon
caramélisées de pommes et citrons
enrobe une cambrure à son grand appétit.
Du sorbet fruit nature au nappage d'envie,
la pulpe érotisée ascendant l'air des monts,
deux bergamotes pétries d'ebullition
suent sur l'ossature un goût de sucrerie...
Je t'ai bien vue fendre un sourire rêveur
entre tes yeux d'amande au croquant de ton cœur
sous une peau de pêche à l'arôme explicit
d'une amertûme tendre en désir ravageur
dont la brûlure fraîche enflamme au point de split
la passion de t'épandre au soupir impulseur
En mission :
Considérez l'infini comme une carte routière, sur un parchemin sans fin, cela est fort possible, l'imagination sait dépasser les frontières de l'acquis en regardant au dessus de ses barrières ce que l'on nomme l'inné, dans un amas de matière grise, donc mettez en troisd les innombrables voies lactées enrobées dans leur gelée de matière moire, recouvrant tel de grands champs de coton pourpre la plupart d'un néant fertile, où picorent des Phoenix nébuleux entre des sillons remplis de météores, et vous êtes à bord du vaisseau mère, fendant l'écume des galaxies dans un océan d'éther turquoise dark, vous naviguez entre des décennies sur l'asphalte du temps, depuis la disparition de votre planète, avalée par un trou noir en même temps que son soleil, vous êtes en mission de reconnaissance proche de deux années lumières de la constellation du Detroit d'un univers inconnu, flottant dans les ramifications d'une nouvelle dimension, découverte lors d'un repérage inopiné du système de balayage de nouvelles planètes, aptes à remplir, d'oxygène et de parfums, vos poumons habitués à inhaler l'odeur fade d'une vapeur à l'arrière goût métallique, comme la nourriture en gellules énergétiques, ils trainent dans des palais les souvenirs de fruits juteux, enfin surtout pour les plus anciens, ayant eu la chance de croquer la peau pulpeuse d'une mangue où d'un abricot; le temps n'étant plus soumis au cycle des pendules solaires, ils décrétèrent inadéquate de continuer un calendrier désuet, vue la disparition des saisons et des repères diurnes, le premier jour fut donc le dernier, n'ayant de fin que sa continuité nocturne, ainsi chacun portait son propre métabolisme d'horloge interne, ils devinrent eux même la mesure du temps, les rendez vous se donnaient donc au compte-à-rebours, comme toute évaluation spatio temporelle, vous êtes à bord du vaisseau mère, le reste de la flotille est déjà sur place, vous admirez soufflé le vent stellaire souffler sur les vagues de l'hyperespace, le long des volutes de chaos, vous frissonnez au diapason du spectacle de l'immensité au velours de pierres précieuses, avec en mire la fin de ce voyage annonçant le début de votre mission.
'avis au personnel naviguant, vous êtes demandé sur la passerelle d'embarcation dans trente secondes, 30 29 28...'
Passé le meandre des passerelles, la foule ordonnée se presse sous les tankers, parés à décoller; les pistes se vident de tout mouvement, tandis que les transporteurs s'agitent devant les portes du hangar. Dans l'aeronef numéro sept, vous contemplez hagard depuis le cockpit l'ouverture des sas automatique, vous offrant graduellement la vue béante de cette mappe réelle étalant devant vous les échos du cosmos parsemé de reflets rubis, dans toute la splendeur de facettes améthystes.
- alors, petit, c'est ta première surprise party ?!
Vous ne répondez pas, la petite assemblée s'esclaffe déjà devant votre air novice, subjugué, le panorama vous attirant de sa beauté irréssistible, qu'importe leur rire moqueur, vous profitez béat des points de vue luminescents, scintillants dans leur mousseline angora dans ce bal auburn.
- sur quel simulateur t'as eu ton brevet ?
Vous aimeriez lui répondre sardoniquement et lui dire aucun, que vous êtes là par hasard, parachuté avec des forces d'élite sans vraiment savoir vers quelle destination le vent astral vous porte, mais d'un regard imperturbable, vous fermez votre ceinture de sécurité, pointant d'un doigt votre honneur envers votre co-pilote un peu trop chambreur, sous l'hilarité nerveuse de la trentaine de personnes guettant la moindre de vos manœuvres.
Qui n'en veut de mes salades :
- Qui puis-je piges tu toi pourquoi mon sang m'érige
Tu passes solennelle pas même un seul clin d'oeil
Ajustant tes dentelles me rendant presque aveugle
Remuant devant moi tes courbes que je fige ?
- Et ben oui moque Toi ! Toi tout ce que tu piges
Quand moi en plein ménage je trime toute seule
Et que je suis en âge et Toi rippant les feuilles
C'est de me croire là ta colle-girl aux vertiges !!!
- Mais ! Ma belle suave ! J'allais et sans manière
Donner un coup de bave sur le sol plein de terre
Laisse moi donc le temps d'arriver sur le site !
- T'as vu comme t'es lent ! Si un jour je te quitte
Je serais déjà loin tes pleurs commenceront
À noyer de chagrin ton cœur dans son dos rond !!!
Donc, amis qui me lisent, il faut, si vous voulez
Éviter une crise, prévoir de tout ranger !
Afin que l'on profite, nous pauvres escargots,
D'amour hermaphrodite sans clichés inégaux !!!
Sans titre :
Imprimant sa buée aux aveux des non-dit
Pourtant prêt à s'absoudre en se mettant à jour
Derrière les grandes vitres de l'espace de mes yeux
Mon cœur tape aux carreaux en hurlant son amour
Dans la complexité de ses sollicitudes
La perte des moyens par trop grande émotion
Fait souvent bégayer à demi-mot timide
Le regard soutenu d'envies confondantes
Et te voilà coquine abordant sans complexe
Ton balcon d'où je tombe en proposant un verre
Quand ton sourire répand ma pulsion maladroite
Prêt du tapis trempé d'une bouteille à terre
À genoux devant toi tu te baisses pour m'aider
À éviter deux fois de tout refaire tomber
Quand enserrant mes mains tu te colles contre moi
M'insufflant à l'oreille un calme toi viens là
Sur le divan d'étoiles au coussin de ton cuir
Où le rideau constelle un pan de murs sans fin
Ton regard halogène aux bougies mousseline
Pondère entre nos courbes un mouvement d'airain
La nuit passe et son flux dissipe entre nos doigts
Les caresses posées depuis le bruissement
D'une déclaration de frottements nomades
Offrant au cri d'un trouble un silence érotique
Le retour d'un écho traversant l'univers
Porte en son escarcelle une mort impatiente
De retrouver les ailes du désir de survivre
Au rythme de ton pouls qui bat contre ma peau
Dans la pièce ombragée à ton costume d'éclats
Tes lèvres déboutonnent la fièvre lumineuse
D'une vapeur des sens où se revitalise
Le corps spirituel des auras qui se charment
Travailler c'est trop dur :
Dans l'abysse insatiable aux ténèbres éventrées
Une braise d'aureoles fait un flot torrentiel
D'une lave convertie d'amours résiduelles
Au consortium de vie et de mort empilés.
S'effondrant de ses cendres entre flammes déployées,
Midi s'efface, des ombres, depuis des milliers d'elle
Aux soupirs de démone, en avalent le soleil,
Il pleut des anges autour de mon âme dénudée.
L'élégie des fureurs foule la rivière pérenne
Des cieux dont des torsades faites de sciures d'adn
S'assimilent pour former une créature sauvage
Quand la foudre elliptique me traverse de lumen
Je fixe l'époustouflante beauté de son visage
Avant que le réveil ne m'arrache de la scène
Je rassemble mes yeux Il est six heures du mat'
Le monde est silencieux mon rêve encore éclate
Quand surgit furtivement par des reflets obscurs
un grincement inquiétant depuis la couverture
Par un réflexe primaire je me dégage du lit
N'étais-je célibataire avant d'être endormi ?
En fait j'ai beau tenter de réfléchir à tout
Ma mémoire a filé tout se ferme dans un trou
Un mur un interrupteur avant que je ne chute
La lampe explose l'ampoule disperse ses filaments
Des torches devoilent la chambre et l'air phosphorescent
Montre les diformités d'une couette qui se mute
Les contours d'une silhouette en feu se répandirent
Le plafond rayonna d'une lumière intense
Faite d'un carisme évangélisant mes sens
Avant de toucher terre et de m'évanouir
Je rassemble mes yeux il est sept heures du mat'
La nuit fait place à l'aube et les couleurs éclatent
Suis-je conscient inconscient je cherche mais rien n'est sûr
Je sens le corps brûlant d'une femme qui me ceinture
J'ouvre les yeux les siens resplendissaient déjà
Un de ses soupirs tombe je sens ses seins durcirent
La pointe de son regard supplante mon désir
Ma vie reprit naissance quand elle vint contre moi
D'une apparente adresse aux troubles qui s'enclenchent
Elle dérive sur mes cuisses sa perte ascentionnelle
Amadouant de vice ses sens intentionnels
Au souffle chaud alerte qu'embuscade mes hanches
En susurant mon nom tout en froissant sa nuque
Sa colonne de frissons, cavalcade de suc,
Se cambre les reins offerts sous une nuisette satine
Ensemble frôlant sa chair sur des reflets intimes
La posture scandaleuse il est huit heures du mat'
Ses cheveux lissent mes doigts qui les débouclent intacts
Le réveil sonne j'émerge elle étend une main
Assourdissant l'alarme d'une caresse qui m'étreint
Je découvre sans stupeur mon auriculaire gauche
Scintiller de lueurs ma paume qui la chevauche
Me serais-je marié avec cette femme sublime
Suis-je vraiment réveillé où dans un grand abime
Le sonnerie ne s'obstine plus à changer la donne
Il est neuf heures du mat' le soleil arraisonne
Deux corps rompant leur lutte ouverte à leur élan
Percutant ombre et ambre où les caresse le temps
Et puis c'est la grosse baffe je ne l'attendais plus
C'est l'heure d'aller au taf j'ai la barbe velue
Et cette empreinte magique l'odeur particulière
D'une trace empirique m'envoûtant de mystère
Mais j'ai beau me lever déjà je me recouche
Je ne peux résister je laisse tomber la douche
J'appelle mon patron espérant marchander
Il me reste quasiment dix jours de rtt
Il me répond t'es ouf ! Raccroche et tu t'habilles
Enlève donc tes pantoufles Ramène toi et qu'ça brille !
Un super gros boulot t'attend dépèche toi
Fais gaffe à toi mon gros je crains pour ton emploi !
En raccrochant mon phone je rampe sur le matelas
Il est dix heures du mat' et nos humeurs frétillent
De rires à pleines lèvres nombril contre nombril
Aux subtilités dignes d'un sensuel ébat
Afin que je l'embrasse je soulève le drap
Sauf qu'en frôlant ses joues une barbe virile
Me traitait de pauvre fou qu'une sirène égosille
Mon chef avec horreur criait c'est l'heure Lève Toi !
Putain quel cauchemard il est sept heures patrac
Ce réveil en fanfare me met la gueule en vrac
Un tapis de cashmere réceptionne mon sursaut
M'ayant fait attérir sur le sol sans bobo
C'est quoi cet endroit là suis-je vraiment réveiller
En tout cas il fait froid est-ce la réalité
Une voix m'appelle mais je ne la reconnais pas
Je doute ais-je déjà eu un tapis brodé moi ?
À bout d'énervement et d'exaspération
Je me lève bondissant de ce trouble profond
Criant comme un taré dans cette chambre inconnue
En m'habillant vite fait encore super émue
Chemise chaussettes slip et pantalon, un string dépasse
D'une de mes poches à qui peut il appartenir
Quand une voix féminine à souhait se mit à rire
M'invitant où vas-tu ? il faut que j'aille au taf !
Elle s'assoit et son visage prend le meilleur angle
Entre un halo sauvage que sa beauté harrangue
Et moi émerveillé qu'admire désemparé
Sa douce voix cristalline chantant c'est jour ferié !
Tout se remet en place mes souvenirs perdus
Remontent à la surface quand je n'y croyais plus
Ma légitime épouse et notre voyage de noce
J'ai dû trop boire Ma belle J'ai la tête pleine de boss !!!
De son grand paréo aux couleurs électriques
Ouvert en bas du dos où flottent les tropiques
Elle poussa les volets dévoilant une crique
Où un lagon turquoise trempait comme idyllique
Sur la table de chevet un bonhomme en bambou
Me nargue et disparaît sous un sourire vaudou
Quand un éclair passa entre elle et le soleil
C'est midi qui flamboie sur ses ailes d'ange du ciel
Suis-je encore dans un rêve un groom qui me devise
M'apporte sur un plateau le petit-déjeuné
Il me parle j'suis ko il dit s'appeler Cambyse
En me tendant des mots que j'avais peine à lier
Il porte près de son badge une figurine bambou
Il lit sur mon visage ma surprise sur le coup
Et me demande, furieux, si j'ai déjà croisé
Ce tit bonhomme, curieux et d'un air affolé
Je répondis que non tranquille fut la nuit
Mais mon œil furibond m'avait hélas trahi
Il pouvait percevoir ma peur et mon malaise
Vous ! Vous avez bu le rhum de Tante Thérèse !
C''est un mélange de tout y'a même de la sardine !
Son talent de vaudou tue en vous votre djinn !
Mais un cliché qui dure en empêcha son rêve...
En le croisant plus tard aux bras d'une fadasse
Trainant au boulevard sa copine ananas
Elle se dit que mince il était un butor
Chance qu'elle l'évince avant qu'il la dévore !
Un fantasme à l'allure en bas de fantaisie
sur les reflets sucrés de peaux rose bonbon
caramélisées de pommes et citrons
enrobe une cambrure à son grand appétit.
Du sorbet fruit nature au nappage d'envie,
la pulpe érotisée ascendant l'air des monts,
deux bergamotes pétries d'ebullition
suent sur l'ossature un goût de sucrerie...
Je t'ai bien vue fendre un sourire rêveur
entre tes yeux d'amande au croquant de ton cœur
sous une peau de pêche à l'arôme explicit
d'une amertûme tendre en désir ravageur
dont la brûlure fraîche enflamme au point de split
la passion de t'épandre au soupir impulseur
En mission :
Considérez l'infini comme une carte routière, sur un parchemin sans fin, cela est fort possible, l'imagination sait dépasser les frontières de l'acquis en regardant au dessus de ses barrières ce que l'on nomme l'inné, dans un amas de matière grise, donc mettez en troisd les innombrables voies lactées enrobées dans leur gelée de matière moire, recouvrant tel de grands champs de coton pourpre la plupart d'un néant fertile, où picorent des Phoenix nébuleux entre des sillons remplis de météores, et vous êtes à bord du vaisseau mère, fendant l'écume des galaxies dans un océan d'éther turquoise dark, vous naviguez entre des décennies sur l'asphalte du temps, depuis la disparition de votre planète, avalée par un trou noir en même temps que son soleil, vous êtes en mission de reconnaissance proche de deux années lumières de la constellation du Detroit d'un univers inconnu, flottant dans les ramifications d'une nouvelle dimension, découverte lors d'un repérage inopiné du système de balayage de nouvelles planètes, aptes à remplir, d'oxygène et de parfums, vos poumons habitués à inhaler l'odeur fade d'une vapeur à l'arrière goût métallique, comme la nourriture en gellules énergétiques, ils trainent dans des palais les souvenirs de fruits juteux, enfin surtout pour les plus anciens, ayant eu la chance de croquer la peau pulpeuse d'une mangue où d'un abricot; le temps n'étant plus soumis au cycle des pendules solaires, ils décrétèrent inadéquate de continuer un calendrier désuet, vue la disparition des saisons et des repères diurnes, le premier jour fut donc le dernier, n'ayant de fin que sa continuité nocturne, ainsi chacun portait son propre métabolisme d'horloge interne, ils devinrent eux même la mesure du temps, les rendez vous se donnaient donc au compte-à-rebours, comme toute évaluation spatio temporelle, vous êtes à bord du vaisseau mère, le reste de la flotille est déjà sur place, vous admirez soufflé le vent stellaire souffler sur les vagues de l'hyperespace, le long des volutes de chaos, vous frissonnez au diapason du spectacle de l'immensité au velours de pierres précieuses, avec en mire la fin de ce voyage annonçant le début de votre mission.
'avis au personnel naviguant, vous êtes demandé sur la passerelle d'embarcation dans trente secondes, 30 29 28...'
Passé le meandre des passerelles, la foule ordonnée se presse sous les tankers, parés à décoller; les pistes se vident de tout mouvement, tandis que les transporteurs s'agitent devant les portes du hangar. Dans l'aeronef numéro sept, vous contemplez hagard depuis le cockpit l'ouverture des sas automatique, vous offrant graduellement la vue béante de cette mappe réelle étalant devant vous les échos du cosmos parsemé de reflets rubis, dans toute la splendeur de facettes améthystes.
- alors, petit, c'est ta première surprise party ?!
Vous ne répondez pas, la petite assemblée s'esclaffe déjà devant votre air novice, subjugué, le panorama vous attirant de sa beauté irréssistible, qu'importe leur rire moqueur, vous profitez béat des points de vue luminescents, scintillants dans leur mousseline angora dans ce bal auburn.
- sur quel simulateur t'as eu ton brevet ?
Vous aimeriez lui répondre sardoniquement et lui dire aucun, que vous êtes là par hasard, parachuté avec des forces d'élite sans vraiment savoir vers quelle destination le vent astral vous porte, mais d'un regard imperturbable, vous fermez votre ceinture de sécurité, pointant d'un doigt votre honneur envers votre co-pilote un peu trop chambreur, sous l'hilarité nerveuse de la trentaine de personnes guettant la moindre de vos manœuvres.
Qui n'en veut de mes salades :
- Qui puis-je piges tu toi pourquoi mon sang m'érige
Tu passes solennelle pas même un seul clin d'oeil
Ajustant tes dentelles me rendant presque aveugle
Remuant devant moi tes courbes que je fige ?
- Et ben oui moque Toi ! Toi tout ce que tu piges
Quand moi en plein ménage je trime toute seule
Et que je suis en âge et Toi rippant les feuilles
C'est de me croire là ta colle-girl aux vertiges !!!
- Mais ! Ma belle suave ! J'allais et sans manière
Donner un coup de bave sur le sol plein de terre
Laisse moi donc le temps d'arriver sur le site !
- T'as vu comme t'es lent ! Si un jour je te quitte
Je serais déjà loin tes pleurs commenceront
À noyer de chagrin ton cœur dans son dos rond !!!
Donc, amis qui me lisent, il faut, si vous voulez
Éviter une crise, prévoir de tout ranger !
Afin que l'on profite, nous pauvres escargots,
D'amour hermaphrodite sans clichés inégaux !!!
Sans titre :
Imprimant sa buée aux aveux des non-dit
Pourtant prêt à s'absoudre en se mettant à jour
Derrière les grandes vitres de l'espace de mes yeux
Mon cœur tape aux carreaux en hurlant son amour
Dans la complexité de ses sollicitudes
La perte des moyens par trop grande émotion
Fait souvent bégayer à demi-mot timide
Le regard soutenu d'envies confondantes
Et te voilà coquine abordant sans complexe
Ton balcon d'où je tombe en proposant un verre
Quand ton sourire répand ma pulsion maladroite
Prêt du tapis trempé d'une bouteille à terre
À genoux devant toi tu te baisses pour m'aider
À éviter deux fois de tout refaire tomber
Quand enserrant mes mains tu te colles contre moi
M'insufflant à l'oreille un calme toi viens là
Sur le divan d'étoiles au coussin de ton cuir
Où le rideau constelle un pan de murs sans fin
Ton regard halogène aux bougies mousseline
Pondère entre nos courbes un mouvement d'airain
La nuit passe et son flux dissipe entre nos doigts
Les caresses posées depuis le bruissement
D'une déclaration de frottements nomades
Offrant au cri d'un trouble un silence érotique
Le retour d'un écho traversant l'univers
Porte en son escarcelle une mort impatiente
De retrouver les ailes du désir de survivre
Au rythme de ton pouls qui bat contre ma peau
Dans la pièce ombragée à ton costume d'éclats
Tes lèvres déboutonnent la fièvre lumineuse
D'une vapeur des sens où se revitalise
Le corps spirituel des auras qui se charment
Travailler c'est trop dur :
Dans l'abysse insatiable aux ténèbres éventrées
Une braise d'aureoles fait un flot torrentiel
D'une lave convertie d'amours résiduelles
Au consortium de vie et de mort empilés.
S'effondrant de ses cendres entre flammes déployées,
Midi s'efface, des ombres, depuis des milliers d'elle
Aux soupirs de démone, en avalent le soleil,
Il pleut des anges autour de mon âme dénudée.
L'élégie des fureurs foule la rivière pérenne
Des cieux dont des torsades faites de sciures d'adn
S'assimilent pour former une créature sauvage
Quand la foudre elliptique me traverse de lumen
Je fixe l'époustouflante beauté de son visage
Avant que le réveil ne m'arrache de la scène
Je rassemble mes yeux Il est six heures du mat'
Le monde est silencieux mon rêve encore éclate
Quand surgit furtivement par des reflets obscurs
un grincement inquiétant depuis la couverture
Par un réflexe primaire je me dégage du lit
N'étais-je célibataire avant d'être endormi ?
En fait j'ai beau tenter de réfléchir à tout
Ma mémoire a filé tout se ferme dans un trou
Un mur un interrupteur avant que je ne chute
La lampe explose l'ampoule disperse ses filaments
Des torches devoilent la chambre et l'air phosphorescent
Montre les diformités d'une couette qui se mute
Les contours d'une silhouette en feu se répandirent
Le plafond rayonna d'une lumière intense
Faite d'un carisme évangélisant mes sens
Avant de toucher terre et de m'évanouir
Je rassemble mes yeux il est sept heures du mat'
La nuit fait place à l'aube et les couleurs éclatent
Suis-je conscient inconscient je cherche mais rien n'est sûr
Je sens le corps brûlant d'une femme qui me ceinture
J'ouvre les yeux les siens resplendissaient déjà
Un de ses soupirs tombe je sens ses seins durcirent
La pointe de son regard supplante mon désir
Ma vie reprit naissance quand elle vint contre moi
D'une apparente adresse aux troubles qui s'enclenchent
Elle dérive sur mes cuisses sa perte ascentionnelle
Amadouant de vice ses sens intentionnels
Au souffle chaud alerte qu'embuscade mes hanches
En susurant mon nom tout en froissant sa nuque
Sa colonne de frissons, cavalcade de suc,
Se cambre les reins offerts sous une nuisette satine
Ensemble frôlant sa chair sur des reflets intimes
La posture scandaleuse il est huit heures du mat'
Ses cheveux lissent mes doigts qui les débouclent intacts
Le réveil sonne j'émerge elle étend une main
Assourdissant l'alarme d'une caresse qui m'étreint
Je découvre sans stupeur mon auriculaire gauche
Scintiller de lueurs ma paume qui la chevauche
Me serais-je marié avec cette femme sublime
Suis-je vraiment réveillé où dans un grand abime
Le sonnerie ne s'obstine plus à changer la donne
Il est neuf heures du mat' le soleil arraisonne
Deux corps rompant leur lutte ouverte à leur élan
Percutant ombre et ambre où les caresse le temps
Et puis c'est la grosse baffe je ne l'attendais plus
C'est l'heure d'aller au taf j'ai la barbe velue
Et cette empreinte magique l'odeur particulière
D'une trace empirique m'envoûtant de mystère
Mais j'ai beau me lever déjà je me recouche
Je ne peux résister je laisse tomber la douche
J'appelle mon patron espérant marchander
Il me reste quasiment dix jours de rtt
Il me répond t'es ouf ! Raccroche et tu t'habilles
Enlève donc tes pantoufles Ramène toi et qu'ça brille !
Un super gros boulot t'attend dépèche toi
Fais gaffe à toi mon gros je crains pour ton emploi !
En raccrochant mon phone je rampe sur le matelas
Il est dix heures du mat' et nos humeurs frétillent
De rires à pleines lèvres nombril contre nombril
Aux subtilités dignes d'un sensuel ébat
Afin que je l'embrasse je soulève le drap
Sauf qu'en frôlant ses joues une barbe virile
Me traitait de pauvre fou qu'une sirène égosille
Mon chef avec horreur criait c'est l'heure Lève Toi !
Putain quel cauchemard il est sept heures patrac
Ce réveil en fanfare me met la gueule en vrac
Un tapis de cashmere réceptionne mon sursaut
M'ayant fait attérir sur le sol sans bobo
C'est quoi cet endroit là suis-je vraiment réveiller
En tout cas il fait froid est-ce la réalité
Une voix m'appelle mais je ne la reconnais pas
Je doute ais-je déjà eu un tapis brodé moi ?
À bout d'énervement et d'exaspération
Je me lève bondissant de ce trouble profond
Criant comme un taré dans cette chambre inconnue
En m'habillant vite fait encore super émue
Chemise chaussettes slip et pantalon, un string dépasse
D'une de mes poches à qui peut il appartenir
Quand une voix féminine à souhait se mit à rire
M'invitant où vas-tu ? il faut que j'aille au taf !
Elle s'assoit et son visage prend le meilleur angle
Entre un halo sauvage que sa beauté harrangue
Et moi émerveillé qu'admire désemparé
Sa douce voix cristalline chantant c'est jour ferié !
Tout se remet en place mes souvenirs perdus
Remontent à la surface quand je n'y croyais plus
Ma légitime épouse et notre voyage de noce
J'ai dû trop boire Ma belle J'ai la tête pleine de boss !!!
De son grand paréo aux couleurs électriques
Ouvert en bas du dos où flottent les tropiques
Elle poussa les volets dévoilant une crique
Où un lagon turquoise trempait comme idyllique
Sur la table de chevet un bonhomme en bambou
Me nargue et disparaît sous un sourire vaudou
Quand un éclair passa entre elle et le soleil
C'est midi qui flamboie sur ses ailes d'ange du ciel
Suis-je encore dans un rêve un groom qui me devise
M'apporte sur un plateau le petit-déjeuné
Il me parle j'suis ko il dit s'appeler Cambyse
En me tendant des mots que j'avais peine à lier
Il porte près de son badge une figurine bambou
Il lit sur mon visage ma surprise sur le coup
Et me demande, furieux, si j'ai déjà croisé
Ce tit bonhomme, curieux et d'un air affolé
Je répondis que non tranquille fut la nuit
Mais mon œil furibond m'avait hélas trahi
Il pouvait percevoir ma peur et mon malaise
Vous ! Vous avez bu le rhum de Tante Thérèse !
C''est un mélange de tout y'a même de la sardine !
Son talent de vaudou tue en vous votre djinn !
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Visite d'inspection des colombes en enfer :
- Ça fait longtemps qu'il est là.
- C'est le huitième jour !
- Il tient encore.
- Il a craqué dès le début !
- Je vois, tu t'amuses un peu.
- Je m'entraine !
- Sûr. Il a l'air d'en bavé.
- J'ai travaillé ma précision !
- C'est qu'il a l'air d'en être fier.
- Tu l'es pas toi patron !
À son oreille : - Je te le répète. il n'y a que moi ici qui tu-toi. toi vil démon des catacombes démodées. tu me voue-moi.
- Désolé pour cette interruption. Je dois hélas prendre congé. Il faut que j'aille répandre un virus. On m'attend. Mes charmantes secrétaires vous feront le plaisir de vous accompagner chacun de toi pour la suite de la visite. Vous direz à votre majesté que tout est conforme à mon bon vouloir. Nulle entité mieux que moi peut disperser le mal.
- Merci votre bassesse ! Nous avions eu oui-dire que vos frontières étaient par trop imperméables et que vous refusiez du monde !
- Tu vous insinuez quoi là.
- Votre courbe d'entrée est plus faible que vos sorties !
- Pauvres petites consciences.
- Néanmoins ! Vous laissez traîner trop de FOU sur terre !
- Quelques dictateurs en moins vous suffiraient-ils.
- Ainsi nous repartons avec ce pacte conclu !
- Partez heureuses Colombes annoncer votre paix.
Mes flammes vous accompagnent brûlez les champs de blés.
Vous voue-moirez mes pieds viendrez-vous me narguer.
J'y cramerais vos ailes et vos âmes faucherais.
- Votre ignominie, les dictateurs sont là,
- Bien. J'imagine qu'ils ont tous l'air déchu.
- Dois-je rire,
- Diaboliquement alors.
- Si vous le permettez, ils sont sage comme des anges,
- Non. Je ne le permets pas. Mais n'est-ce pas trop tard.
Ici c'est toujours moi le roi de l'humour noir.
Dis. Petit écervelé. Sont-ils sage comme des anges.
- Oui, Maitre, dois-je sourire à présent, où vous aidez
à être plus marrant, je ne sais que penser,
- Gredins mais qu'ont-ils tous aujourd'hui c'est la fête.
La salsa du démon je vais te prendre ta tête.
En faire des cotillons mais c'est quoi ce bordel.
Vos conneries m'irritent. Vous n'êtes pas à l'autel.
- 'Saigneur' je suis confus mais je croyais peut-être
Être de bonne tenue en ouvrant une fenêtre
je Vous prépare de suite Votre pestilentiel
Un bon bain de frousse au rhésus essentiel,
- Maitre; c'est quoi cette idée; j'étais habitué;
Et voir même blasé; à votre humour né;
Sans vouloir me moquer; pourquoi donc tutoyer;
Vous perdez Majesté; De votre feu sacré;
- Peut-être bien gargouille. Mais fais donc ton office.
Mouille moi au napalm des cris de sacrifice.
Pourrais-je me détendre sans devoir m'expliquer.
Mais si tu veux comprendre les djeun's ont ce parler.
- Dernière question Maitre; en ais-je l'honneur;
Et puis je vous orchestre un doux chant de terreur;
- Je sais à quoi tu penses.' Pourquoi ces dictateurs.
Grâce à leur défaillance le monde chantera en chœur.
Tu parles. L'Homme est ainsi qu'il lui faudra toujours
Du bout de son fusil tuer ce qui l'entours.
- Non Maitre; en fait voilà; pourrais-je en savoir plus
Sur cette arme chimique que vous nommez virus;
- C'est ça qui t'intéresse mon robinet à plumes.
C'est une arme qu'agresse les hommes par les légumes.
Une histoire d'A qui finit mal :
Schtroumpf !!! Je schtroumpfais dans la forêt l'herbe me schtroumpfait les oreilles, c'était trop schtroumpf...
Quand !!! Schtroumpfette me schtroumpfa un clin d'oeil avec des schtroumpfements de mèches blondes...Je fus schtroumpfé, et il en faut pour me schtroumpfer...
Elle me schtroumpfait de schtroumpfer derrière le hangar à schtroumpf...Moi, pas schtroumpf pour deux sous derrière ses dessous, je la schtroumpfis en la schtroumpfant des talons à la taille, dans ce galbe schtroumpfant qui lui schtroumpfait déhancheschtroumpfements...
Quelle schtroumpferie cette schtroumpfette...
C'est après que cela c'est mal schtroumfé, Je lui ai schtroumpfée si elle schtroumferait bien que l'on se schtroumpf tous les deux, normal, Mais quand j'ai schtroumpfu les 99 autres derrière moi qui me schtroumfaient de faire la schtroumpf, j'ai préféré aller schtroumpfer ailleurs...
Pfff, pour une fois que je n'étais pas grognon...
Une histoire d'A qui finit bien :
- t'as pas la forme ce matin ?
- non
- bah alors ?
- le seul mec bien de la soirée il m'allumait les yeux plein phare et puis il est parti...
- t'as pas de chance toi...
- tu m'étonnes...j'en ai marre de ces face à face de trois minutes à chaque fois qu'ils croient que je les allume avec mon regard débordant de rouge-passion à remplir...
- tu vas bien en trouver un !
- je ne cherche plus...je reste plantée là à attendre...
- bah oui mais si tu les regardes passer...
- Quoi à chaque fois que je les arrête ils repartent !
- c'est sûr...ça doit être dur...
- J'ai beau leur faire un clin d'oeil pour montrer que je suis open, leur accordant mon feu vert, ils s'enfuient...
- M'en parle pas moi mes beaux pompiers je les vois que quand ils ont le feu !!!
- c'est vrai...pour toi aussi ça doit pas être cool...
- c'est pas grave...
- on a le chic pour attirer les coureurs...
- allez viens, je t'invite chez ma copine la grue, elle emménage avec un réverbère au centre-ville, ils ont l'air de s'entendre mais comme elle bouge souvent à cause de son emploi...
- ouais jsais pas...
- allez fais pas ta tête de fer, en plus y'aura son frère, il est rambarde de securité dans un parking pour célébrités, vous pourriez vous entendre...
Et c'est ainsi que un an plus tard, dame feu-rouge, avec comme demoiselle d'honneur sa cops la borne à incendie, et Monsieur Rambarde, se marièrent devant le bureau qu'était maire, avec un petit panneau de signalisation dans le berceau...
Elle a un amant qui n'est autre que le cousin de son mari Rambarde ( qui ne levait plus trop sa barrière sauf pour sa maitresse La Borne de paiement, ils se sont même installés au niveau moins un dans un parking souterrain ), il est panneau de pub, un peu poète aussi, quand il affiche ses textes en quatre par trois pour elle...
- Ça fait longtemps qu'il est là.
- C'est le huitième jour !
- Il tient encore.
- Il a craqué dès le début !
- Je vois, tu t'amuses un peu.
- Je m'entraine !
- Sûr. Il a l'air d'en bavé.
- J'ai travaillé ma précision !
- C'est qu'il a l'air d'en être fier.
- Tu l'es pas toi patron !
À son oreille : - Je te le répète. il n'y a que moi ici qui tu-toi. toi vil démon des catacombes démodées. tu me voue-moi.
- Désolé pour cette interruption. Je dois hélas prendre congé. Il faut que j'aille répandre un virus. On m'attend. Mes charmantes secrétaires vous feront le plaisir de vous accompagner chacun de toi pour la suite de la visite. Vous direz à votre majesté que tout est conforme à mon bon vouloir. Nulle entité mieux que moi peut disperser le mal.
- Merci votre bassesse ! Nous avions eu oui-dire que vos frontières étaient par trop imperméables et que vous refusiez du monde !
- Tu vous insinuez quoi là.
- Votre courbe d'entrée est plus faible que vos sorties !
- Pauvres petites consciences.
- Néanmoins ! Vous laissez traîner trop de FOU sur terre !
- Quelques dictateurs en moins vous suffiraient-ils.
- Ainsi nous repartons avec ce pacte conclu !
- Partez heureuses Colombes annoncer votre paix.
Mes flammes vous accompagnent brûlez les champs de blés.
Vous voue-moirez mes pieds viendrez-vous me narguer.
J'y cramerais vos ailes et vos âmes faucherais.
- Votre ignominie, les dictateurs sont là,
- Bien. J'imagine qu'ils ont tous l'air déchu.
- Dois-je rire,
- Diaboliquement alors.
- Si vous le permettez, ils sont sage comme des anges,
- Non. Je ne le permets pas. Mais n'est-ce pas trop tard.
Ici c'est toujours moi le roi de l'humour noir.
Dis. Petit écervelé. Sont-ils sage comme des anges.
- Oui, Maitre, dois-je sourire à présent, où vous aidez
à être plus marrant, je ne sais que penser,
- Gredins mais qu'ont-ils tous aujourd'hui c'est la fête.
La salsa du démon je vais te prendre ta tête.
En faire des cotillons mais c'est quoi ce bordel.
Vos conneries m'irritent. Vous n'êtes pas à l'autel.
- 'Saigneur' je suis confus mais je croyais peut-être
Être de bonne tenue en ouvrant une fenêtre
je Vous prépare de suite Votre pestilentiel
Un bon bain de frousse au rhésus essentiel,
- Maitre; c'est quoi cette idée; j'étais habitué;
Et voir même blasé; à votre humour né;
Sans vouloir me moquer; pourquoi donc tutoyer;
Vous perdez Majesté; De votre feu sacré;
- Peut-être bien gargouille. Mais fais donc ton office.
Mouille moi au napalm des cris de sacrifice.
Pourrais-je me détendre sans devoir m'expliquer.
Mais si tu veux comprendre les djeun's ont ce parler.
- Dernière question Maitre; en ais-je l'honneur;
Et puis je vous orchestre un doux chant de terreur;
- Je sais à quoi tu penses.' Pourquoi ces dictateurs.
Grâce à leur défaillance le monde chantera en chœur.
Tu parles. L'Homme est ainsi qu'il lui faudra toujours
Du bout de son fusil tuer ce qui l'entours.
- Non Maitre; en fait voilà; pourrais-je en savoir plus
Sur cette arme chimique que vous nommez virus;
- C'est ça qui t'intéresse mon robinet à plumes.
C'est une arme qu'agresse les hommes par les légumes.
Une histoire d'A qui finit mal :
Schtroumpf !!! Je schtroumpfais dans la forêt l'herbe me schtroumpfait les oreilles, c'était trop schtroumpf...
Quand !!! Schtroumpfette me schtroumpfa un clin d'oeil avec des schtroumpfements de mèches blondes...Je fus schtroumpfé, et il en faut pour me schtroumpfer...
Elle me schtroumpfait de schtroumpfer derrière le hangar à schtroumpf...Moi, pas schtroumpf pour deux sous derrière ses dessous, je la schtroumpfis en la schtroumpfant des talons à la taille, dans ce galbe schtroumpfant qui lui schtroumpfait déhancheschtroumpfements...
Quelle schtroumpferie cette schtroumpfette...
C'est après que cela c'est mal schtroumfé, Je lui ai schtroumpfée si elle schtroumferait bien que l'on se schtroumpf tous les deux, normal, Mais quand j'ai schtroumpfu les 99 autres derrière moi qui me schtroumfaient de faire la schtroumpf, j'ai préféré aller schtroumpfer ailleurs...
Pfff, pour une fois que je n'étais pas grognon...
Une histoire d'A qui finit bien :
- t'as pas la forme ce matin ?
- non
- bah alors ?
- le seul mec bien de la soirée il m'allumait les yeux plein phare et puis il est parti...
- t'as pas de chance toi...
- tu m'étonnes...j'en ai marre de ces face à face de trois minutes à chaque fois qu'ils croient que je les allume avec mon regard débordant de rouge-passion à remplir...
- tu vas bien en trouver un !
- je ne cherche plus...je reste plantée là à attendre...
- bah oui mais si tu les regardes passer...
- Quoi à chaque fois que je les arrête ils repartent !
- c'est sûr...ça doit être dur...
- J'ai beau leur faire un clin d'oeil pour montrer que je suis open, leur accordant mon feu vert, ils s'enfuient...
- M'en parle pas moi mes beaux pompiers je les vois que quand ils ont le feu !!!
- c'est vrai...pour toi aussi ça doit pas être cool...
- c'est pas grave...
- on a le chic pour attirer les coureurs...
- allez viens, je t'invite chez ma copine la grue, elle emménage avec un réverbère au centre-ville, ils ont l'air de s'entendre mais comme elle bouge souvent à cause de son emploi...
- ouais jsais pas...
- allez fais pas ta tête de fer, en plus y'aura son frère, il est rambarde de securité dans un parking pour célébrités, vous pourriez vous entendre...
Et c'est ainsi que un an plus tard, dame feu-rouge, avec comme demoiselle d'honneur sa cops la borne à incendie, et Monsieur Rambarde, se marièrent devant le bureau qu'était maire, avec un petit panneau de signalisation dans le berceau...
Elle a un amant qui n'est autre que le cousin de son mari Rambarde ( qui ne levait plus trop sa barrière sauf pour sa maitresse La Borne de paiement, ils se sont même installés au niveau moins un dans un parking souterrain ), il est panneau de pub, un peu poète aussi, quand il affiche ses textes en quatre par trois pour elle...
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Mon bébé d'amour m'a fait la fête toute la nuit !
' Saturday night fever ! ', me dit ma chère femme...
' C'est la fête des papa ! ', polissonne et rieuse...
' J'ai une surprise pour toi ! ', toute malicieuse...
' Bébé dort comme une fleur...', au striptease qu'elle entame !
M'offrant ses courbes satines le glamour summertime
Ma belle debout me fixe farouche et précieuse
Une vibration effeuillète une autre elle fabuleuse
Valse l'air irrésistible se revêt de ses charmes
Du bout des yeux l'avoir ses tentations m'affament
Elle les dévêt explicite en une danse sulfureuse
Un vacarme érotique de caresses colporteuses
Mon cœur inintelligible arpente ce qu'il clame
Même son ombre féline s'amuse de mes morsures
Quand ses lueurs m'agrippent que ses éclaboussures
M'envoutent sous son châle vaporant mes pensées
Tombées entre les mailles d'une de ses lèvres pincée
Prête à fondre sur moi je sens que je décolle
Quand nous ramenèrent sur terre les pleurs du babyphone !!!
Mon bébé d'amour m'a fait la fête toute la nuit !!!
' Saturday night fever ! ', me dit ma chère femme...
' C'est la fête des papa ! ', polissonne et rieuse...
' J'ai une surprise pour toi ! ', toute malicieuse...
' Bébé dort comme une fleur...', au striptease qu'elle entame !
M'offrant ses courbes satines le glamour summertime
Ma belle debout me fixe farouche et précieuse
Une vibration effeuillète une autre elle fabuleuse
Valse l'air irrésistible se revêt de ses charmes
Du bout des yeux l'avoir ses tentations m'affament
Elle les dévêt explicite en une danse sulfureuse
Un vacarme érotique de caresses colporteuses
Mon cœur inintelligible arpente ce qu'il clame
Même son ombre féline s'amuse de mes morsures
Quand ses lueurs m'agrippent que ses éclaboussures
M'envoutent sous son châle vaporant mes pensées
Tombées entre les mailles d'une de ses lèvres pincée
Prête à fondre sur moi je sens que je décolle
Quand nous ramenèrent sur terre les pleurs du babyphone !!!
Mon bébé d'amour m'a fait la fête toute la nuit !!!
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
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.........................a.........g
......................n...............i
......................f.................i
............q..........u...........e...........j
......e............t......a......i......m..........e
..b.....................e...l...l...e...................â
m.............................e...........................e
...s.......................sence......................d'
.........i..............v....ress...................e
.................c....P...a......l.........i
...................O..n..............e
................U...s...................p
.............R.....l......................e
..........M.........n.................d
........A.................i.........d
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poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Le talisman magique :
Installé l'exposant inspecte son étalage
Replaçant ses casseroles au meilleur éclairage
Tout est en ordre et brille il n'a pas fait une vente
La clientèle afflue il reste seul sous sa tente
La foule passe comme choquée en souriant quand même
Ferais-je donc la grimace serais-je un phénomène
Il ne perd pas espoir et prend son écriteau
Décidant d'afficher ses nouvelles promos
Sous le ciel alourdi le vent vient balader
Le commérage des feuilles sur les nuages tassés
Filants en laissant des traines d'eau comme des miroirs
On peut lire sur l'enseigne lettres blanches sur fond noir
' Ici Gratuit Testez mon doux robuste manche
laiton vermifugé qui jamais ne vous flanche '
- Mais c'est quoi ce délire ! Qui donc a écrit ça ?
Dans le stand d'à-côté il entend des piaffements,
Ce sont ceux amusés du vendeur de vêtements,
- Arrête c'est toi Bachir ? Qu'est-ce que tu m'as fait là ?!
- Je te jure c'est pas moi ! J'ai vu quelqu'un l'écrire,
J'avais trop de clients ils voulaient tous m'acheter
Ta photo en géant sur des posters floqués
J'ai gagné grâce à toi un week-end de plaisirs !
- Et c'est qui la crapule qui a osé faire ça !
- J'ai juste vu une cagoule partir fissa-fissa !
Dit le coutelier le traitant de guignol
Au sourire aiguisé en reflet sur laguiole
- Quoi toi aussi tu t'y mets c'est quoi votre problème ?!
Un pickpocket en main une agent de police
En frayant son chemin devant l'affaire s'imisce
L'interrompant d'un, après au nom de la loi,
- Alors le quincailleur c'est quoi ce pujilat ?!
- Ce n'est pas de ma faute ! Ils me tapent sur l' système !
Pendant ce temps les autres sous ses insultes qu'il sème
Expliquant décontenancé l'objet de ses blasphèmes
S'apercurent que chacun avait été tronqué
Le vendeur de vêtements eut ses tee-shirt tagués
Le vendeur de couteau avait au-dessus du stand
Gravé à gauche de Laguiole ' Ferme ta grande '
- Grchhh Grchhh poste de Grchhh contrôle à inspecteur Grchhh
- Grchhh Grchhh poste de Grchhh contrôle à inspecteur Grchhh
Garée contre la chaussée et le trottoir
La caisse banalisée interpela hagard
Tous les béligérants regardant médusé
Les sièges à l'avant en train de s'enflammer
- Grchhh Vous en êtes Grchhh où inspecteur Grechhh Grechhh Grechhh
L'assemblée s'affole Bachir le courageux
Demande pardon d'avance en poussant le grincheux
Pour prendre les casseroles et éteindre le feu
La fumée grésille mais tout va pour le mieux
- Merci ! Vous me sauvez de cette déconvenue...
Lui dit la femme-flic sous le choc du raffut
- Vous allez bien Madame ? s'en inquiéta Bachir,
C'était limite un drame, on a frôlé le pire...
Il restait quelques flammes au bord de ses prunelles
Elles venaient dans son âme par deux puissants soleils
Qui lui tendaient quatre mains de son vertige obscur
Elle sentait en son sein ses doigts sur ses brûlures
- Pardon je suis groggy...Tout ça fut si soudain...
- Mais je vous en prie...Par chance, vous n'avez rien...
Elle comprit qu'une fois debout et face à face
Qu'hélas histoire de fou elle ne restait de glace
Elle ne comprenait pas aimant les mecs balèzes
Pourquoi elle tremblait là devant son anti-thèse
Sans aucun point commun ni désidérata
Des canons auxquels tiennent ses rêves quand elle s'y voit
Mais d'une certaine façon une brûme intangible
Fait du quelconque garçon un homme irrestible
- Je me présente moi c'est Bachir et vous lady ?
- Inspecteur Grichka Grchhh, Je suis libre cette nuit...
À trois rues de là deux ombres se faufilent
Dont une menotte aux bras se faisant moins gracile
Ils s'enlassent est-ce un couple il la prend par la taille
Deux gangsters qui s'accouplent du genre Bonnie and Clyde
- Tu en as mis du temps, j'ai dû improviser...
- C'est toi chez ces marchands ?! T'avais tout préparé ?!
- Jusqu'au moindre détail...Tu l'as le Talisman ?
- Pourquoi toute cette pagaille Pourquoi y tiens-tu tant ?
J'ai beau avoir du flegme quand est-ce que t'envisages
À ma demande en règle pour notre mariage
De pouvoir me répondre depuis deux mois j'attends !
- Sache que ce diamant a un charme spécial,
Il éclaire magiquement tous les cœurs qui se valent
Et dans quelques instants mon superbe prétendant
Nous verrons si une onde nous annonce le bonheur !
- Tu te moques de moi ! j'ai risqué la prison
Pour qu'un caillou décide à l'aide d'une forte lueur
Si oui où non tu dois me confier ton cœur ?!
- Ne cris pas y'a du monde...Et puis se sera Non !
Dit-elle en s'enfuyant, vu qu'aucun projecteur
N'avait daigné lui dire ton homme c'est celui là...
Il n'avait pas eu le temps de lui avouer,
Quand plus loin passa Bachir, une femme au bras,
Qu'il l'avait bien perdu, son satané jouet...
Je vends un Talisman tout neuf ayant le pouvoir de s'éclairer tout seul quand vous vous rapprocher comme un aimant de votre amour à vie, prix à étudier suivant chaque personne et ses besoins, mais surtout par rapport à son compte en banque, possibilité de crédit sans frais à un taux de vingt pour cent, arrangement possible d'échelonnement sur pas mal de traites mais en une fois et tout de suite, bien sur vous aurez l'agréable possibilité de nous appeler sur la hotline appel gratuit à quinze euros la seconde au cas où la pile spéciale du talisman ne fonctionnerait plus afin de vous offrir une deuxième batterie plus chère que son contenant ! Offre de dernière minute ! Pour trois achetés, Vous n'en payez que trois !!!
Installé l'exposant inspecte son étalage
Replaçant ses casseroles au meilleur éclairage
Tout est en ordre et brille il n'a pas fait une vente
La clientèle afflue il reste seul sous sa tente
La foule passe comme choquée en souriant quand même
Ferais-je donc la grimace serais-je un phénomène
Il ne perd pas espoir et prend son écriteau
Décidant d'afficher ses nouvelles promos
Sous le ciel alourdi le vent vient balader
Le commérage des feuilles sur les nuages tassés
Filants en laissant des traines d'eau comme des miroirs
On peut lire sur l'enseigne lettres blanches sur fond noir
' Ici Gratuit Testez mon doux robuste manche
laiton vermifugé qui jamais ne vous flanche '
- Mais c'est quoi ce délire ! Qui donc a écrit ça ?
Dans le stand d'à-côté il entend des piaffements,
Ce sont ceux amusés du vendeur de vêtements,
- Arrête c'est toi Bachir ? Qu'est-ce que tu m'as fait là ?!
- Je te jure c'est pas moi ! J'ai vu quelqu'un l'écrire,
J'avais trop de clients ils voulaient tous m'acheter
Ta photo en géant sur des posters floqués
J'ai gagné grâce à toi un week-end de plaisirs !
- Et c'est qui la crapule qui a osé faire ça !
- J'ai juste vu une cagoule partir fissa-fissa !
Dit le coutelier le traitant de guignol
Au sourire aiguisé en reflet sur laguiole
- Quoi toi aussi tu t'y mets c'est quoi votre problème ?!
Un pickpocket en main une agent de police
En frayant son chemin devant l'affaire s'imisce
L'interrompant d'un, après au nom de la loi,
- Alors le quincailleur c'est quoi ce pujilat ?!
- Ce n'est pas de ma faute ! Ils me tapent sur l' système !
Pendant ce temps les autres sous ses insultes qu'il sème
Expliquant décontenancé l'objet de ses blasphèmes
S'apercurent que chacun avait été tronqué
Le vendeur de vêtements eut ses tee-shirt tagués
Le vendeur de couteau avait au-dessus du stand
Gravé à gauche de Laguiole ' Ferme ta grande '
- Grchhh Grchhh poste de Grchhh contrôle à inspecteur Grchhh
- Grchhh Grchhh poste de Grchhh contrôle à inspecteur Grchhh
Garée contre la chaussée et le trottoir
La caisse banalisée interpela hagard
Tous les béligérants regardant médusé
Les sièges à l'avant en train de s'enflammer
- Grchhh Vous en êtes Grchhh où inspecteur Grechhh Grechhh Grechhh
L'assemblée s'affole Bachir le courageux
Demande pardon d'avance en poussant le grincheux
Pour prendre les casseroles et éteindre le feu
La fumée grésille mais tout va pour le mieux
- Merci ! Vous me sauvez de cette déconvenue...
Lui dit la femme-flic sous le choc du raffut
- Vous allez bien Madame ? s'en inquiéta Bachir,
C'était limite un drame, on a frôlé le pire...
Il restait quelques flammes au bord de ses prunelles
Elles venaient dans son âme par deux puissants soleils
Qui lui tendaient quatre mains de son vertige obscur
Elle sentait en son sein ses doigts sur ses brûlures
- Pardon je suis groggy...Tout ça fut si soudain...
- Mais je vous en prie...Par chance, vous n'avez rien...
Elle comprit qu'une fois debout et face à face
Qu'hélas histoire de fou elle ne restait de glace
Elle ne comprenait pas aimant les mecs balèzes
Pourquoi elle tremblait là devant son anti-thèse
Sans aucun point commun ni désidérata
Des canons auxquels tiennent ses rêves quand elle s'y voit
Mais d'une certaine façon une brûme intangible
Fait du quelconque garçon un homme irrestible
- Je me présente moi c'est Bachir et vous lady ?
- Inspecteur Grichka Grchhh, Je suis libre cette nuit...
À trois rues de là deux ombres se faufilent
Dont une menotte aux bras se faisant moins gracile
Ils s'enlassent est-ce un couple il la prend par la taille
Deux gangsters qui s'accouplent du genre Bonnie and Clyde
- Tu en as mis du temps, j'ai dû improviser...
- C'est toi chez ces marchands ?! T'avais tout préparé ?!
- Jusqu'au moindre détail...Tu l'as le Talisman ?
- Pourquoi toute cette pagaille Pourquoi y tiens-tu tant ?
J'ai beau avoir du flegme quand est-ce que t'envisages
À ma demande en règle pour notre mariage
De pouvoir me répondre depuis deux mois j'attends !
- Sache que ce diamant a un charme spécial,
Il éclaire magiquement tous les cœurs qui se valent
Et dans quelques instants mon superbe prétendant
Nous verrons si une onde nous annonce le bonheur !
- Tu te moques de moi ! j'ai risqué la prison
Pour qu'un caillou décide à l'aide d'une forte lueur
Si oui où non tu dois me confier ton cœur ?!
- Ne cris pas y'a du monde...Et puis se sera Non !
Dit-elle en s'enfuyant, vu qu'aucun projecteur
N'avait daigné lui dire ton homme c'est celui là...
Il n'avait pas eu le temps de lui avouer,
Quand plus loin passa Bachir, une femme au bras,
Qu'il l'avait bien perdu, son satané jouet...
Je vends un Talisman tout neuf ayant le pouvoir de s'éclairer tout seul quand vous vous rapprocher comme un aimant de votre amour à vie, prix à étudier suivant chaque personne et ses besoins, mais surtout par rapport à son compte en banque, possibilité de crédit sans frais à un taux de vingt pour cent, arrangement possible d'échelonnement sur pas mal de traites mais en une fois et tout de suite, bien sur vous aurez l'agréable possibilité de nous appeler sur la hotline appel gratuit à quinze euros la seconde au cas où la pile spéciale du talisman ne fonctionnerait plus afin de vous offrir une deuxième batterie plus chère que son contenant ! Offre de dernière minute ! Pour trois achetés, Vous n'en payez que trois !!!
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Ailleurs et ici :
la foudre clash un ciel sombre d'un orage argenté,
l'infini s'est brisé, ses décombres saumâtres
morcèlent la lumière que la nuit défragmente,
poussières de halo perçant son dôme en feu,
le crepuscule carmin où les ténèbres s'agitent,
comme une feuille de soie à l'écorce luisante,
d'une chrysalide en flamme accouche d'un poète,
les lueurs déflagrantes déchirant l'espace-temps,
dans son splendide panache aux chromas atomiques
balayant les éclairs comme de simples quantums
l'univers se prosterne, ses atomes dilués
dans des chaos fluides, que flashent ses fulgurances,
elle, baille, s'étend, frEdonne...de son souffle nAÎt le vent,
dont rien qu'Une vibration vient faire battre son cœur...
Enchâlée d'azur sur un drAp de silice,
sA muse du canApé lui demANde TOUT D'UN COUP
MAIS T'étais OÙ ENCORE !
la foudre clash un ciel sombre d'un orage argenté,
l'infini s'est brisé, ses décombres saumâtres
morcèlent la lumière que la nuit défragmente,
poussières de halo perçant son dôme en feu,
le crepuscule carmin où les ténèbres s'agitent,
comme une feuille de soie à l'écorce luisante,
d'une chrysalide en flamme accouche d'un poète,
les lueurs déflagrantes déchirant l'espace-temps,
dans son splendide panache aux chromas atomiques
balayant les éclairs comme de simples quantums
l'univers se prosterne, ses atomes dilués
dans des chaos fluides, que flashent ses fulgurances,
elle, baille, s'étend, frEdonne...de son souffle nAÎt le vent,
dont rien qu'Une vibration vient faire battre son cœur...
Enchâlée d'azur sur un drAp de silice,
sA muse du canApé lui demANde TOUT D'UN COUP
MAIS T'étais OÙ ENCORE !
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Réponse suite à une plainte que déposent tes frissons :
J'ai bien reçu Amour par l'être recommandée
Ton message au discours de tes priorités
Que j'avais trop perçu de frissons imposables
Et que la plus-value était bien regrettable
Qu'il était tant pour nous de jouer la parité
Aussi bien dans le pacs des plaisirs en ressource
Que dans chacune des taxes aux caresses qu'on débourse
Alors pour réfléchir sur la suite à donner
Je m'installe sur ton cuir afin de t'étudier
En levant le secret corrompu de ta chair
Au désir que j'inspecte caché dans tes affaires
De mes doigts diplomates voulant te relancer
Mes lèvres technocrates s'attardent sur ton dossier
Ses feuillets impudiques recquièrent une expertise
J'entrouve l'élastique décachète ta chemise
Je t'épluche en silence sans être un prude homme
Souscrivant d'un regard du genre whoua t'es trombone
La decouverte occulte que ta grâce paragraphe
Afin que j'exécute ton corps que je dégraffe
Sous le ciel clair fontaine de lueurs sur ta peau
Et le bureau verni d'y voir frotter ton dos
J'écris de mes yeux le verdict de tes spasmes
Réglant le contentieux de ta demande d'orgasme !
convoqué dans la chambre où trône mon tribunal
en haut ma femme préside dans une robe minimale
au procès de son charme avec son air trognon
une procureur s'enflamme ce sont ses émotions
sensuelle baby dole clamant que ses envies
reçoivent un pactole sur mesure et qu'elle jouit
dans le box de son cœur j'argumente ma passion
faisant audience publique devant tous ses frissons
costard de golden-boy le vice en procédure
je vais test ce soir une toute nouvelle posture
un avocat d'amour au serment de mes paumes
ayant du grand barreau le plus beau des diplômes !
J'ai bien reçu Amour par l'être recommandée
Ton message au discours de tes priorités
Que j'avais trop perçu de frissons imposables
Et que la plus-value était bien regrettable
Qu'il était tant pour nous de jouer la parité
Aussi bien dans le pacs des plaisirs en ressource
Que dans chacune des taxes aux caresses qu'on débourse
Alors pour réfléchir sur la suite à donner
Je m'installe sur ton cuir afin de t'étudier
En levant le secret corrompu de ta chair
Au désir que j'inspecte caché dans tes affaires
De mes doigts diplomates voulant te relancer
Mes lèvres technocrates s'attardent sur ton dossier
Ses feuillets impudiques recquièrent une expertise
J'entrouve l'élastique décachète ta chemise
Je t'épluche en silence sans être un prude homme
Souscrivant d'un regard du genre whoua t'es trombone
La decouverte occulte que ta grâce paragraphe
Afin que j'exécute ton corps que je dégraffe
Sous le ciel clair fontaine de lueurs sur ta peau
Et le bureau verni d'y voir frotter ton dos
J'écris de mes yeux le verdict de tes spasmes
Réglant le contentieux de ta demande d'orgasme !
convoqué dans la chambre où trône mon tribunal
en haut ma femme préside dans une robe minimale
au procès de son charme avec son air trognon
une procureur s'enflamme ce sont ses émotions
sensuelle baby dole clamant que ses envies
reçoivent un pactole sur mesure et qu'elle jouit
dans le box de son cœur j'argumente ma passion
faisant audience publique devant tous ses frissons
costard de golden-boy le vice en procédure
je vais test ce soir une toute nouvelle posture
un avocat d'amour au serment de mes paumes
ayant du grand barreau le plus beau des diplômes !
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Six mois que j'attendais ça. En balançant ses cohésions sur l'oreiller, j'ai vu le résultat de son suffrage s'afficher sur son air ravi. Six mois, six mois que je passe mes journées à poser mes tracts sur sa bouche, à rentrer tard pour la suivre entre les meetings de ses yeux, là où l'on débatait toute la nuit sur la nécessaire révolution de nos richesses à se partager. Six mois à serrer ses mains en visitant les commerçants, nous promettant leur vote admiratif sur la liste de nos achats avec des clins d'oeil complices pour notre état d'amour précurseur de notre passionaria. Je ne voulais pas seulement être le meilleur parti pour gouverner son corps, mais au contraire, établir une coalition avec chacun de ses mouvements afin de réunifier toutes nos forces en présence, et redonner un sens à la Vie dans toutes ses diversités, que l'on appelle harmonie. Et maintenant ces six mois révolus, où j'ai dû au fanal lutter contre la dernière candidate, la peur, avec son programme exclusif d'exclusions sous un slogan de rassemblement, me voici l'élu mandater par ses frissons unanimes, reprenant le refrain glorieux de l'hymne à ses soupirs. Bien sur, j'ai eu un moment l'envie profonde d'être le dictateur de ses richesses intérieurs, mais je me sentis vite dépassée par la foule démesurée de ses attentes démocratiques, alors je me suis laissé envahir par ses pulsions fanatiques, quand au bord de sa jouissance capitaliste, toutes les bourses ouvrirent leur cours en investissant par des milliards en liquide la banque du FMI, Femme Morgasmique Illuminée, et établir ainsi un nouvel ordre sentimental, en adéquation avec les attentes libertaires de vertiges à partager, sans que la dualité de nos individualités en phase de désir ne dépasse la pérénité de notre emphase à nous élire.
poeteric- Nombre de messages : 933
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Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Noddy au site de poésie :
Ça y est t'es accro au site de poésie !
Même par mon et par vos, dehors, dans un taxi !
Tu en auras croisé des sournois des finauds
De sacrés ouistitis avec cinq six pseudos
Des Madame chatounette pour qui tout est un drame
Des monsieurs pas trop net aimant jouer au gendarme
Des dragueurs par mp pour un bon culbuto
bagayant ennivrés des sonnets commandos
Les innombrables posts de ces buzz ho le clow
Cherchant la vanne low-cost où une bonne embrouille!
Toi partout où tu vas, dehors, dans un taxi,
Tout le temps tu t'enchantes en avant poésie
Déposant des mots doux dans ton rose agenda
Un pour la douce Mirou et un pour Mélissa
Ce qui passe par ta tête où le cœur c'est pareil
Du moment qu'ils y mettent des mots qui s'émerveillent
Tel qu'ils s'entrelasseraient dans de parfaites jonctions
Et au meilleur effet d'une belle inspiration
Te créant quota côte avec l'univers
Où s'emberlificotent la nuit et les lumières
Éclairant tes impros, dehors, dans un taxi,
Toi le superbe, l'unique, le fabuleux, Oui-Oui !
Noddy : Son nom en anglais
Ça y est t'es accro au site de poésie !
Même par mon et par vos, dehors, dans un taxi !
Tu en auras croisé des sournois des finauds
De sacrés ouistitis avec cinq six pseudos
Des Madame chatounette pour qui tout est un drame
Des monsieurs pas trop net aimant jouer au gendarme
Des dragueurs par mp pour un bon culbuto
bagayant ennivrés des sonnets commandos
Les innombrables posts de ces buzz ho le clow
Cherchant la vanne low-cost où une bonne embrouille!
Toi partout où tu vas, dehors, dans un taxi,
Tout le temps tu t'enchantes en avant poésie
Déposant des mots doux dans ton rose agenda
Un pour la douce Mirou et un pour Mélissa
Ce qui passe par ta tête où le cœur c'est pareil
Du moment qu'ils y mettent des mots qui s'émerveillent
Tel qu'ils s'entrelasseraient dans de parfaites jonctions
Et au meilleur effet d'une belle inspiration
Te créant quota côte avec l'univers
Où s'emberlificotent la nuit et les lumières
Éclairant tes impros, dehors, dans un taxi,
Toi le superbe, l'unique, le fabuleux, Oui-Oui !
Noddy : Son nom en anglais
poeteric- Nombre de messages : 933
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Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Rire de nuit sous cerne de jour :
Fais moi une place sur l'oreiller
Près de toi qui rassure bébé
Il pleurt car une dent veut percer
Sa gencive semble l'irriter
C'est dur dur de voir son bébé
Qu'a mal on voudrait l'appaiser
Quand son petit palais tout rose
Subi de grandes métamorphoses
Et tout d'un coup le vlà qu'il lance
Regard voyou un sourire dense
Content d'être là au chaud aimé
Alors il chante alors il danse
Il est deux heures ça lfait marrer
Alors on chante alors on danse
Et quand tu tdis qu'c'est fini, et bah y'en a encore !!!
Fais moi une place sur l'oreiller
Près de toi qui rassure bébé
Il pleurt car une dent veut percer
Sa gencive semble l'irriter
C'est dur dur de voir son bébé
Qu'a mal on voudrait l'appaiser
Quand son petit palais tout rose
Subi de grandes métamorphoses
Et tout d'un coup le vlà qu'il lance
Regard voyou un sourire dense
Content d'être là au chaud aimé
Alors il chante alors il danse
Il est deux heures ça lfait marrer
Alors on chante alors on danse
Et quand tu tdis qu'c'est fini, et bah y'en a encore !!!
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Certaines femmes ont leur cœur près de leurs orifices :
Quand je lis des nanas écrire au stylo-string
Dont leur encre en suée suinte de leurs érythèmes
Se la jouant brûlante à fond leur anathème
Se susnommant leur cul comme un fragile vase Ming
Je rigole et les laisse à leur mouvement de fesses
Et les mots orbitos de leur croupe en salade
Nourissant leur égo d'un striptease d'éclats fades
Qu'un élastique affaisse contendant leur ivresse
Afin qu'elles s'épurent leur sexe qui les ranconne*
Cueillant leurs chant pignon entre leurs lèvres absconnes
Quand elles croient recéler leur vérité que jouit
Leur cœur entre leurs reins drogué par leurs hormones.
Elles prennent pour leur con un peu n'importe qui,
Pourvu qu'elles en frissonnent d'un amour métadone.
* Pardon j'ai oublié la cédille.
Quand je lis des nanas écrire au stylo-string
Dont leur encre en suée suinte de leurs érythèmes
Se la jouant brûlante à fond leur anathème
Se susnommant leur cul comme un fragile vase Ming
Je rigole et les laisse à leur mouvement de fesses
Et les mots orbitos de leur croupe en salade
Nourissant leur égo d'un striptease d'éclats fades
Qu'un élastique affaisse contendant leur ivresse
Afin qu'elles s'épurent leur sexe qui les ranconne*
Cueillant leurs chant pignon entre leurs lèvres absconnes
Quand elles croient recéler leur vérité que jouit
Leur cœur entre leurs reins drogué par leurs hormones.
Elles prennent pour leur con un peu n'importe qui,
Pourvu qu'elles en frissonnent d'un amour métadone.
* Pardon j'ai oublié la cédille.
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
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Re: écrits Juin-juillet
Duo avec ma petite fille : La grenouille imaginaire
Une grenouille qui se marie
Et qui mange du riz
Ça n'existe pas
Ça n'existe pas
....................u....................................n
.............e...........g.........re.........n..............o
........u....................i...l.......l...e.....................q
.......u..........**..........i.............p.........**...........o
..........r...................t...............e.....................d
..............e...........s......................b..............i
.......j..........o..u.................................x..q........u
..e................................................................... .....l
l..............e............................................a......... ......v
...o..............lé.à un hibou ça n'existe..................p
........a..............s..............................ç............... a
..............n.............e.....................x................i
....................s...............te pas...................u
..........................n.............................e
...................g.............r..............e..........n
................o..................uille vio................l
..............e..................................................t
.............t.....................................................e
.......a....q....................................................u.... a
..n.......ç...i................................................p...ç.. .....n
....e.............o........................................r.......... .....e
.......x..............t.................................e............. ...x
..........i................d.........................e................ i
..............s.................s chausettes...............s
....................t............................................t
........................e.................................e
...........p...a...s........................................p...a...s
..........................Et PourCOAAA Pas !!!
Une grenouille qui se marie
Et qui mange du riz
Ça n'existe pas
Ça n'existe pas
....................u....................................n
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...........p...a...s........................................p...a...s
..........................Et PourCOAAA Pas !!!
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Amour technicolor dans un monde noir où blanc :
Dans son ballet sonore, ce matin animé,
Une douce brise lance des rumeurs de chaleurs,
La lune fond, raffraichit le cocktail mentholé
Des restes de l'aurore déteinte de ses couleurs.
Les arbres soliflores trinquent au vert de rosée,
Quand les feuilles applaudissent les passants de bon cœur,
Des anges sur leur fontaine rigolent place du marché :
La ville s'éveille, et croie au confort d'une torpeur.
La foule des chaussées se prélassent les orteils
Bullant sur les chaises longues des rayons du soleil,
Les herbes rajeunissent sous le chant des tondeuses,
Des carrefours s'écoulaient des klaxons, embouteill-
Age de fer et de taules, aujourd'hui, l'air rêveuse,
La rue nonchalante s'anime d'ombres et vermeils.
Sur l'artère principale les voitures s'accumulent,
Les uns pour leur travail, en retard, gesticulent,
D'autres plus flemmard attendent regard en l'air
Qu'un espèce de brouillard s'échappe de leurs œillères,
Le reflux des vitrines renvoie sur les gens
L'envie que dessine ce besoin qui les prend
D'acquérir tout de suite à l'instar d'une urgence
Le dernier plébiscite d'une mode prête à l'avance,
Les portes se débattent pour souhaiter bienvenue,
Des chasseurs à quatre pattes visent les soldes invendus,
Les caisses lancent des rumeurs depuis les magasins,
Leur incessante cantate de notes et de reçus
Se partage dans la danse des porte-monnaie en main.
Un père à sa fille traque leurs points communs ténus.
Dans la rétine d'un trouble autour d'une silhouette,
Où l'éventail ouvert de cils battant évente
Un panache de chaleurs allures concupiscentes,
Un regard s'étiole où ses frissons s'affrêtent,
Elle, chine la nouvelle collection prêt-à-porter,
Déjà trois sacs en main devant une vitrine chic,
Lui, il s'échine et ramasse les moussons des gens pressés,
Jetant leur espoir vain sur la voie publique,
Leur costume les sépare pourtant né un feeling,
Tous deux au même boulevard mais pas au même standing,
L'ovation du silence acclame pourtant l'écho
D'un choc allant surseoir ses ondes sur les buildings :
Elle sent une défaillance du cœur jusqu'au cerveau,
Cet homme sur le trottoir fait comme un love travelling.
Pourtant il est d'ébène, ses parents l'interdisent
De fréquenter ce genre d' ' individus suspects ',
Voir plus si sa dégaine est de loin ' une balise
Pour personne désœuvrée ', ayant l'air ' malhonnête '.
Ce n'est pas, sur scène en cet instant, son soucis,
Elle essaie elle feigne mais l'appel interdit
L'attire violemment contre ce drôle d'éphèbe
Jouant du balais-brosse devant toute la plèbe.
Sorti d'une boutique son père qui la surprend
Lui crie ' écoute petite, tes achats maintenant
Se feront sur le net ' une grimace de mépris
En toisant ce ' minable et en plus malopris '
La tirant par le bras dessous le hall d'attente
Deux flics qui passaient là de façon prévenante
Demandèrent gentiment s'il y avait un problème
Quand le père répondit avec un regard blême
' C'est cet énergumène ', pointé d'un doigt vengeur,
' Ce farfelu malmène ma fille de ses ardeurs :
Mais quelle honte, la France accueille n'importe qui,
Mais pour qui se prennent ils, ces profiteurs nantis '
Sous le platane du parc de stationnement,
Lui s'arrête fait une pause mais en se demandant
Pourquoi donc cette femme l'observe depuis l'entrée,
Il se fait la remarque qu'elle a l'air d'une chébran,
Escarpins satin rose sous une courte robe d'été,
' Suis-je la cible d'un drame ? ', quand survint prestement
Un homme beaucoup plus vieux débouchant enragé
Avec deux keufs criant ' montrez moi vos papiers '
Il laissa tout en plan puis se mît à courir
Par peur d'être pris en flag que la police le vire,
Il a eu par trafic une pièce d'identité,
Il sait très bien qu'un flic pourrait le deviner,
Même si son frère prétend qu'il sait lire et écrire,
Son nom était, en grand, Poutine Vladimir.
Il survivait du black que son cousin gardien
Lui avait refilé au parking sous-terrain
Pour juste quelques jours et un court dépannage
Ramasser tout autour les crottes du voisinage.
Il voulait voir Paris et puis la tour eiffel
S'élever vis à vis des nuages au ciel
Il venait des hautes plaines d'un grand pays sauvage
Il voulait voir la Seine du troisième étage,
Mais il fut renvoyé manu-militari,
Une fois qu'il fut chopé, dans un charter, soumis,
Seule elle pensait encore à son rêve défait,
Aux antipodes du sort que son père escomptait.
Dans son ballet sonore, ce matin animé,
Une douce brise lance des rumeurs de chaleurs,
La lune fond, raffraichit le cocktail mentholé
Des restes de l'aurore déteinte de ses couleurs.
Les arbres soliflores trinquent au vert de rosée,
Quand les feuilles applaudissent les passants de bon cœur,
Des anges sur leur fontaine rigolent place du marché :
La ville s'éveille, et croie au confort d'une torpeur.
La foule des chaussées se prélassent les orteils
Bullant sur les chaises longues des rayons du soleil,
Les herbes rajeunissent sous le chant des tondeuses,
Des carrefours s'écoulaient des klaxons, embouteill-
Age de fer et de taules, aujourd'hui, l'air rêveuse,
La rue nonchalante s'anime d'ombres et vermeils.
Sur l'artère principale les voitures s'accumulent,
Les uns pour leur travail, en retard, gesticulent,
D'autres plus flemmard attendent regard en l'air
Qu'un espèce de brouillard s'échappe de leurs œillères,
Le reflux des vitrines renvoie sur les gens
L'envie que dessine ce besoin qui les prend
D'acquérir tout de suite à l'instar d'une urgence
Le dernier plébiscite d'une mode prête à l'avance,
Les portes se débattent pour souhaiter bienvenue,
Des chasseurs à quatre pattes visent les soldes invendus,
Les caisses lancent des rumeurs depuis les magasins,
Leur incessante cantate de notes et de reçus
Se partage dans la danse des porte-monnaie en main.
Un père à sa fille traque leurs points communs ténus.
Dans la rétine d'un trouble autour d'une silhouette,
Où l'éventail ouvert de cils battant évente
Un panache de chaleurs allures concupiscentes,
Un regard s'étiole où ses frissons s'affrêtent,
Elle, chine la nouvelle collection prêt-à-porter,
Déjà trois sacs en main devant une vitrine chic,
Lui, il s'échine et ramasse les moussons des gens pressés,
Jetant leur espoir vain sur la voie publique,
Leur costume les sépare pourtant né un feeling,
Tous deux au même boulevard mais pas au même standing,
L'ovation du silence acclame pourtant l'écho
D'un choc allant surseoir ses ondes sur les buildings :
Elle sent une défaillance du cœur jusqu'au cerveau,
Cet homme sur le trottoir fait comme un love travelling.
Pourtant il est d'ébène, ses parents l'interdisent
De fréquenter ce genre d' ' individus suspects ',
Voir plus si sa dégaine est de loin ' une balise
Pour personne désœuvrée ', ayant l'air ' malhonnête '.
Ce n'est pas, sur scène en cet instant, son soucis,
Elle essaie elle feigne mais l'appel interdit
L'attire violemment contre ce drôle d'éphèbe
Jouant du balais-brosse devant toute la plèbe.
Sorti d'une boutique son père qui la surprend
Lui crie ' écoute petite, tes achats maintenant
Se feront sur le net ' une grimace de mépris
En toisant ce ' minable et en plus malopris '
La tirant par le bras dessous le hall d'attente
Deux flics qui passaient là de façon prévenante
Demandèrent gentiment s'il y avait un problème
Quand le père répondit avec un regard blême
' C'est cet énergumène ', pointé d'un doigt vengeur,
' Ce farfelu malmène ma fille de ses ardeurs :
Mais quelle honte, la France accueille n'importe qui,
Mais pour qui se prennent ils, ces profiteurs nantis '
Sous le platane du parc de stationnement,
Lui s'arrête fait une pause mais en se demandant
Pourquoi donc cette femme l'observe depuis l'entrée,
Il se fait la remarque qu'elle a l'air d'une chébran,
Escarpins satin rose sous une courte robe d'été,
' Suis-je la cible d'un drame ? ', quand survint prestement
Un homme beaucoup plus vieux débouchant enragé
Avec deux keufs criant ' montrez moi vos papiers '
Il laissa tout en plan puis se mît à courir
Par peur d'être pris en flag que la police le vire,
Il a eu par trafic une pièce d'identité,
Il sait très bien qu'un flic pourrait le deviner,
Même si son frère prétend qu'il sait lire et écrire,
Son nom était, en grand, Poutine Vladimir.
Il survivait du black que son cousin gardien
Lui avait refilé au parking sous-terrain
Pour juste quelques jours et un court dépannage
Ramasser tout autour les crottes du voisinage.
Il voulait voir Paris et puis la tour eiffel
S'élever vis à vis des nuages au ciel
Il venait des hautes plaines d'un grand pays sauvage
Il voulait voir la Seine du troisième étage,
Mais il fut renvoyé manu-militari,
Une fois qu'il fut chopé, dans un charter, soumis,
Seule elle pensait encore à son rêve défait,
Aux antipodes du sort que son père escomptait.
poeteric- Nombre de messages : 933
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Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Dans le chant aux echos des amours citadines :
J'suis en r'tard, Il me faut une excuse, pour ma femme,
J'y pense, sous le balcon, les arbres bruissent en sifflant,
Il y a au centre-ville une boutique dans le vent,
Où certaines friandises lui font un sacré charme.
Une cacophonie urbaine et ses spirales sonores
Ricoche sur les carrefours. En me loupant à un trottoir
près, des escargots foncent dans leur coquille sans voir
Des lièvres près de chiens trainant leur maître dehors.
Aux pâturages du ciel les nuages vont et brouttent,
Main collée à l'oreille comme un salut bonne route
Ceux sans un kit piéton se tiennent le coude en l'air,
Ils s'en vont cote à cote fendant les démesures
Dans les canaux des rues d'immeubles portuaires
Mouillant tels des grands yacht sur la mer de l'azur.
Éclos sur les terrasses fleurissent des parasols,
Des abeilles à deux jambes butinent, en sirotant
À l'ombre des grandes feuilles, où s'en vont confidants
Les mots doux de maitresses au regard girasol,
Les bars de la prairie abreuvent toute une faune.
Près des bus mille-patte des fourmis font la chenille
Montant chacune leur tour pour un endroit en ville
Direction la city où alors le grand meaulne.
Une cigale excentrique à l'allure bigarrée
Bien un mètre au dessus de ces formicidæs
Avait l'air mal à l'aise dans son costume à frange
La foule n'a de cesse dans sa trance d'avancer
Sans qu'un soupçon ne pèse sur sa présence étrange
Se moquant que ses jambes soient sur echassiers
Elle danse en avançant quand son sourire aux lèvres
Laisse des médisants se tourner quand ils achèvent
De la traiter devant leurs prétendantes ( toutes mièvres
Devant son charme géant ) acquiesçant d'un mais elle rêve !
Un sac en bandoulière aux papiers qui dépassent
Dont un citant Molière un autre un bout d'atlas
Sur un livre de pierre faisant office de banc
Elle s'assoit une rivière écoute son tourment
Une vague vient vaillante lui essuyer ses pleurs,
Quand d'autres, vascillantes, lui balancent le cœur,
Elle porte un parfum de chagrin, sous son grand air
Jovial, elle voudrait avoir sa maison fleur,
Trouver sur ses chemins un homme tendre à qui plaire,
Mais hélas ses secrets ne trouvent aucun preneur,
Elle en a connue des amants des maris
Mais une fois tous nus restait que l'exuvie,
Elle veut du sérieux, marre de ces démagos
Jouant les amoureux juste pour leur imago,
Elle a trop survécu bohême à ses envies
Au jour le jour en plus, se fichant des soucis,
Lors des automnes pluvieux des hivers sur la peau,
Elle rêve qu'une vie à deux stabilise ses chaos,
Et de trouver enfin dans une osmose unique
Cette passion qui se teint sur deux êtres authentiques.
Venant du sentier que bordent les bras du fleuve
Se promène un chien avec son maître tique,
De l'entendre pleurer ses larmes qui l'émeuvent
Lui éclaire le chemin d'une beauté fantastique.
Au premier abord elle ne l'entendit pas,
Prise dans ses remords de ne trouver de quoi
Satisfaire son futur au projet ambitieux
De trouver un homme sûr et non pas capricieux,
Au fruit de ses efforts son chien qui aboya
Lui fit dire ' médor Viens ici assis Toi ',
Frottant sa chevelure il glissa langoureux
' Quelle belle nature nouée à vos cheveux ',
De ses joues écarlates elle baisse la tête et tique
De son réflexe qu'éclate d'un rire épidermique
En se disant mon Dieu mais d'où est-ce qu'ils pleuvent,
Sans se démonter, classe avec son costume chic,
Il se présente : ' Monsieur Acharien, chère Danseuse,
Êtes-vous tentée à ce que je vous invite
J'ai un petit spectacle avec de belles puces
Vous seriez au pinacle d'un cabaret qui pulse
Les longues saisons sont dures avec un cdi
D'une mauvaise aventure vous serez à l'abri,
Et puis je vous avoue, il y a un truc en plus,
Votre charme me secoue et vos grands yeux m'impulsent
À vous offrir mes bons et délicieux services
Que nous nous aimions sans aucun sacrifice,
Serait-ce inopportun de vous être différent
Suis petit mais malin tout aussi élégant
Je vous serais loyal vous gâterais de bijoux
Pour orner votre main en ce désir brillant
Du serment marital, qu'on pratique chez les poux
Sous des jets de pellicules, d'un pacte de sang '
Depuis on peut entendre chaque nuit dans une salle
Des spectateurs attendre le chant d'une cygale
Combiné au chorus du ballet bondissant
D'une dizaine de puces faisant le french-cancan.
Voilà maintenant tu sais pourquoi suis en retard
À l'entrée du theatre Médor ce grand bavard
M'a retenu la jambe au moins pendant deux heures
Avec son maître la tique m'racontant son coup d'cœur,
Sinon j'ai deux tickets il me les a offert
Si ça te branche j'appelle le resto ' La Rivière ',
Je ferais réserver une table près du pont...
Tu sais ma libellule, sans toi qu'est la lumière...
Je ne fais qu'exister que quand nous nous frôlons,
Seul, pauvre sole sans bulles, les lueurs me nièrent...
J'suis en r'tard, Il me faut une excuse, pour ma femme,
J'y pense, sous le balcon, les arbres bruissent en sifflant,
Il y a au centre-ville une boutique dans le vent,
Où certaines friandises lui font un sacré charme.
Une cacophonie urbaine et ses spirales sonores
Ricoche sur les carrefours. En me loupant à un trottoir
près, des escargots foncent dans leur coquille sans voir
Des lièvres près de chiens trainant leur maître dehors.
Aux pâturages du ciel les nuages vont et brouttent,
Main collée à l'oreille comme un salut bonne route
Ceux sans un kit piéton se tiennent le coude en l'air,
Ils s'en vont cote à cote fendant les démesures
Dans les canaux des rues d'immeubles portuaires
Mouillant tels des grands yacht sur la mer de l'azur.
Éclos sur les terrasses fleurissent des parasols,
Des abeilles à deux jambes butinent, en sirotant
À l'ombre des grandes feuilles, où s'en vont confidants
Les mots doux de maitresses au regard girasol,
Les bars de la prairie abreuvent toute une faune.
Près des bus mille-patte des fourmis font la chenille
Montant chacune leur tour pour un endroit en ville
Direction la city où alors le grand meaulne.
Une cigale excentrique à l'allure bigarrée
Bien un mètre au dessus de ces formicidæs
Avait l'air mal à l'aise dans son costume à frange
La foule n'a de cesse dans sa trance d'avancer
Sans qu'un soupçon ne pèse sur sa présence étrange
Se moquant que ses jambes soient sur echassiers
Elle danse en avançant quand son sourire aux lèvres
Laisse des médisants se tourner quand ils achèvent
De la traiter devant leurs prétendantes ( toutes mièvres
Devant son charme géant ) acquiesçant d'un mais elle rêve !
Un sac en bandoulière aux papiers qui dépassent
Dont un citant Molière un autre un bout d'atlas
Sur un livre de pierre faisant office de banc
Elle s'assoit une rivière écoute son tourment
Une vague vient vaillante lui essuyer ses pleurs,
Quand d'autres, vascillantes, lui balancent le cœur,
Elle porte un parfum de chagrin, sous son grand air
Jovial, elle voudrait avoir sa maison fleur,
Trouver sur ses chemins un homme tendre à qui plaire,
Mais hélas ses secrets ne trouvent aucun preneur,
Elle en a connue des amants des maris
Mais une fois tous nus restait que l'exuvie,
Elle veut du sérieux, marre de ces démagos
Jouant les amoureux juste pour leur imago,
Elle a trop survécu bohême à ses envies
Au jour le jour en plus, se fichant des soucis,
Lors des automnes pluvieux des hivers sur la peau,
Elle rêve qu'une vie à deux stabilise ses chaos,
Et de trouver enfin dans une osmose unique
Cette passion qui se teint sur deux êtres authentiques.
Venant du sentier que bordent les bras du fleuve
Se promène un chien avec son maître tique,
De l'entendre pleurer ses larmes qui l'émeuvent
Lui éclaire le chemin d'une beauté fantastique.
Au premier abord elle ne l'entendit pas,
Prise dans ses remords de ne trouver de quoi
Satisfaire son futur au projet ambitieux
De trouver un homme sûr et non pas capricieux,
Au fruit de ses efforts son chien qui aboya
Lui fit dire ' médor Viens ici assis Toi ',
Frottant sa chevelure il glissa langoureux
' Quelle belle nature nouée à vos cheveux ',
De ses joues écarlates elle baisse la tête et tique
De son réflexe qu'éclate d'un rire épidermique
En se disant mon Dieu mais d'où est-ce qu'ils pleuvent,
Sans se démonter, classe avec son costume chic,
Il se présente : ' Monsieur Acharien, chère Danseuse,
Êtes-vous tentée à ce que je vous invite
J'ai un petit spectacle avec de belles puces
Vous seriez au pinacle d'un cabaret qui pulse
Les longues saisons sont dures avec un cdi
D'une mauvaise aventure vous serez à l'abri,
Et puis je vous avoue, il y a un truc en plus,
Votre charme me secoue et vos grands yeux m'impulsent
À vous offrir mes bons et délicieux services
Que nous nous aimions sans aucun sacrifice,
Serait-ce inopportun de vous être différent
Suis petit mais malin tout aussi élégant
Je vous serais loyal vous gâterais de bijoux
Pour orner votre main en ce désir brillant
Du serment marital, qu'on pratique chez les poux
Sous des jets de pellicules, d'un pacte de sang '
Depuis on peut entendre chaque nuit dans une salle
Des spectateurs attendre le chant d'une cygale
Combiné au chorus du ballet bondissant
D'une dizaine de puces faisant le french-cancan.
Voilà maintenant tu sais pourquoi suis en retard
À l'entrée du theatre Médor ce grand bavard
M'a retenu la jambe au moins pendant deux heures
Avec son maître la tique m'racontant son coup d'cœur,
Sinon j'ai deux tickets il me les a offert
Si ça te branche j'appelle le resto ' La Rivière ',
Je ferais réserver une table près du pont...
Tu sais ma libellule, sans toi qu'est la lumière...
Je ne fais qu'exister que quand nous nous frôlons,
Seul, pauvre sole sans bulles, les lueurs me nièrent...
Dernière édition par poeteric le Sam 15 Juin - 15:27, édité 1 fois
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Et tu seras un romantique :
Mon chéri tu déconnes ! Tu n'as aucune culture !
Cette femme est une icône cinquante ans que ça dure !
Revois donc tes basiques ha ça l' u e f a
T'y connais les équipes jusqu'au bout de leurs doigts !
Quoi ? qu'est-ce que tu marmones ? Ce n'est qu'une blonde ? L'or dure !
La vie est sauvageonne : ses yeux rougissent l'azur !
Grandis un peu Eric c'est con d'en être là,
À jouer le romantique sans connaître cette diva !
Ne me dis pas qu'en plus tu n'as pas vu le beau
Le merveilleux opus du docteur jivago !
Où autant en emporte le vent ! chef-d'œuvre tragique !
Sur ce coup t'es minus ! Va donc dessine tes mots !
( Qu'est-ce qu'elle est belle ma femme, bien plus belle qu'angélique...
Mais quand je lui dis ça, elle ballafra ma peau !!! )
Mon chéri tu déconnes ! Tu n'as aucune culture !
Cette femme est une icône cinquante ans que ça dure !
Revois donc tes basiques ha ça l' u e f a
T'y connais les équipes jusqu'au bout de leurs doigts !
Quoi ? qu'est-ce que tu marmones ? Ce n'est qu'une blonde ? L'or dure !
La vie est sauvageonne : ses yeux rougissent l'azur !
Grandis un peu Eric c'est con d'en être là,
À jouer le romantique sans connaître cette diva !
Ne me dis pas qu'en plus tu n'as pas vu le beau
Le merveilleux opus du docteur jivago !
Où autant en emporte le vent ! chef-d'œuvre tragique !
Sur ce coup t'es minus ! Va donc dessine tes mots !
( Qu'est-ce qu'elle est belle ma femme, bien plus belle qu'angélique...
Mais quand je lui dis ça, elle ballafra ma peau !!! )
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Scrabble versus secret story :
Chéri coco ce soir y'a Secret Story !
Tu regardes ces conneries !
Rhooo de quoi c'est rigolo !
De voir des gros roploplos ?
Des gigolos ? Des bimbos ?
Rhooo c'est plus complexe !
La tv réalité c'est pour les nigauds !
C'est histoires de fesse et de caisse !
certes le language y est explicite,
mais ce n'est pas mieux que sur ton site !!!
Alors avant de te moquer hein !
Qu'est ce que tu insinues ?
Tu vois très bien !
Il n'y a pas que des histoires de cul !
Allez toi même tu me l'as dit :
C'est jeposecretstory !
En tout cas je ne regarde pas,
tu ne préfères pas thalassa ?
Non marre des reportages d'animaux tête à claque,
Je ne parlais pas de ton émission !
Moi non plus, ça me suffit avec ta tête de macaque !
Ce n'est pas au grand singe que tu vas faire tes grimaces !
Tu pourras toujours courir pour que je te masse !
Bon...t'as gagné...c'est à quelle heure ?
Après que je me sois occupée de ton secret qui enfle
Mais au fait j'y pense
Chérie sans te mettre en colère
Un pote m'a proposé un pocker
franchement ça tombe bien
j'irais après ton câlin !
Quand est ce qu'il t'a bipé
je n'ai rien entendu !
Montre moi où il est
ce SMS inconnu !
C'est mon secret !
Tu le fais exprès !
Et toi tu en as un ?
De quoi petit malin
de secret bien caché ?
tu l'as toute suite trouvé...
c'est vrai ! tu aimes mes singeries,
mais surtout les cacahuètes curly !!!
Et toi ?
Tu ne devines pas ?
Je préfère te l'entendre dire...
Mon secret est de vouloir te chérir
Et ça Jusqu'à notre dernier soupir
Lorsque la mort viendra nous unir...
On se fait un Scrabble érotique ?
si t'arrive entre mes cuisses ça compte triple !
Chéri coco ce soir y'a Secret Story !
Tu regardes ces conneries !
Rhooo de quoi c'est rigolo !
De voir des gros roploplos ?
Des gigolos ? Des bimbos ?
Rhooo c'est plus complexe !
La tv réalité c'est pour les nigauds !
C'est histoires de fesse et de caisse !
certes le language y est explicite,
mais ce n'est pas mieux que sur ton site !!!
Alors avant de te moquer hein !
Qu'est ce que tu insinues ?
Tu vois très bien !
Il n'y a pas que des histoires de cul !
Allez toi même tu me l'as dit :
C'est jeposecretstory !
En tout cas je ne regarde pas,
tu ne préfères pas thalassa ?
Non marre des reportages d'animaux tête à claque,
Je ne parlais pas de ton émission !
Moi non plus, ça me suffit avec ta tête de macaque !
Ce n'est pas au grand singe que tu vas faire tes grimaces !
Tu pourras toujours courir pour que je te masse !
Bon...t'as gagné...c'est à quelle heure ?
Après que je me sois occupée de ton secret qui enfle
Mais au fait j'y pense
Chérie sans te mettre en colère
Un pote m'a proposé un pocker
franchement ça tombe bien
j'irais après ton câlin !
Quand est ce qu'il t'a bipé
je n'ai rien entendu !
Montre moi où il est
ce SMS inconnu !
C'est mon secret !
Tu le fais exprès !
Et toi tu en as un ?
De quoi petit malin
de secret bien caché ?
tu l'as toute suite trouvé...
c'est vrai ! tu aimes mes singeries,
mais surtout les cacahuètes curly !!!
Et toi ?
Tu ne devines pas ?
Je préfère te l'entendre dire...
Mon secret est de vouloir te chérir
Et ça Jusqu'à notre dernier soupir
Lorsque la mort viendra nous unir...
On se fait un Scrabble érotique ?
si t'arrive entre mes cuisses ça compte triple !
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
Sous les UV de ton charme :
Sous le roulé-boulé d'une planète en orbite
10 000 kilomètre/heure autour de son étoile
je fonce dans le néant des dimensions cosmiques
avant d'apercevoir deux lunes sidérales
le crépuscule d'un soleil d'or sur l'horizon
crépite et les couleurs du cosmos dilué
trouble l'exubérance des vitesses en fusion
Essence anatomique de courbes éthérées
sur la taille d'une galaxie en deux trois trillards
de confettis molléculaires soufflés par un pulsar
les vapeurs cristallines d'une lactescence de gypse
se nouent dans les reflets de tes cheveux au vent
tenus par la barette d'un chignon fait d'eclypses
détachant des comètes entre mes yeux t'aimant
Sur l'alternoiement de gamètes écarlates
poudrées à l'hydromel de sueur chaotique
la flamme des vertiges d'étincelles empiriques
brûle l'alcool méthylène d'un désir incarnat
Avec la reflexion des profondeurs charnelles
prête à l'envoutement d'une sensualité
l'idée somptueuse du temps éparpillé
révèle ton infini dans sa vaste aquarelle
Aux chinoiseries des ombres désinvoltes
les premices qu'irradient où leurs volutes complotent
se versent avec l'encre volatile des lueurs
D'une émanation d'épiderme en chaleur
catharsis spontanée aux gestuelles lascives
des galbes opiacés que l'amour somatise
l'éternel en décuple une saccade le rythmant
dans l'explosion en chaîne de cœurs se retentant
d'un univers à l'autre à la proximité
des amas de soupirs aux consciences déliées
la suprématie de toute ondulation
empare de part en part l'oubli d'une éclosion
les fantasmes idoines d'une pluralité
dans un acharnement de perte d'identité
l'adjonction répandue à l'extase sensorielle
Recombine les spirales d'adn sensuelles
Dans le dédoublement de caresses scissipares
Dont les étoffes s'effilent comme des mèches de chandelle
Colorant les pigments d'une cire de lèvres au fard
D'un onguent scintillant d'étoiles en rimmel
Sous le roulé-boulé d'une planète en orbite
10 000 kilomètre/heure autour de son étoile
je fonce dans le néant des dimensions cosmiques
avant d'apercevoir deux lunes sidérales
le crépuscule d'un soleil d'or sur l'horizon
crépite et les couleurs du cosmos dilué
trouble l'exubérance des vitesses en fusion
Essence anatomique de courbes éthérées
sur la taille d'une galaxie en deux trois trillards
de confettis molléculaires soufflés par un pulsar
les vapeurs cristallines d'une lactescence de gypse
se nouent dans les reflets de tes cheveux au vent
tenus par la barette d'un chignon fait d'eclypses
détachant des comètes entre mes yeux t'aimant
Sur l'alternoiement de gamètes écarlates
poudrées à l'hydromel de sueur chaotique
la flamme des vertiges d'étincelles empiriques
brûle l'alcool méthylène d'un désir incarnat
Avec la reflexion des profondeurs charnelles
prête à l'envoutement d'une sensualité
l'idée somptueuse du temps éparpillé
révèle ton infini dans sa vaste aquarelle
Aux chinoiseries des ombres désinvoltes
les premices qu'irradient où leurs volutes complotent
se versent avec l'encre volatile des lueurs
D'une émanation d'épiderme en chaleur
catharsis spontanée aux gestuelles lascives
des galbes opiacés que l'amour somatise
l'éternel en décuple une saccade le rythmant
dans l'explosion en chaîne de cœurs se retentant
d'un univers à l'autre à la proximité
des amas de soupirs aux consciences déliées
la suprématie de toute ondulation
empare de part en part l'oubli d'une éclosion
les fantasmes idoines d'une pluralité
dans un acharnement de perte d'identité
l'adjonction répandue à l'extase sensorielle
Recombine les spirales d'adn sensuelles
Dans le dédoublement de caresses scissipares
Dont les étoffes s'effilent comme des mèches de chandelle
Colorant les pigments d'une cire de lèvres au fard
D'un onguent scintillant d'étoiles en rimmel
poeteric- Nombre de messages : 933
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Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Lettres d'amour type :
1.
Mon amour, ( son nom ) Je vous aime d'avantages chaque jour de plus.
Délicieuse chérie, ( son nom )
Étant donnée la valeur de vos deux soleils noires, ( son nom ) cerclés de flammes ocres se liquéfiant au ciel bleu de vos opalines, ( son nom ) j'ai pû conclure le remboursement de mes dettes avec notre banquier. ( son nom ) Je ne serais que trop vous en remercier. De plus, chère ( son nom ) nous avons enfin acquis grâce à vos cils brodés d'or blanc un chalet portant votre nom ( son nom ) situé sur l'une des plus hautes montagnes d'Espagne, d'une superficie de douze milles mètres carré au sol ressemblant fortement, à un château en fait, à notre maison principale qui porte votre nom ( son nom ) acquise à la sueur recueillie et conservée perlant de votre front, chère ( son nom ) tous les matins où la rosée vint s'échoir sur les souffles de votre éveil ronflant le bonheur de me voir heureux à vous sentir libre que je vous emprisonne dans les plus grandes demeures de mes rêves, rendus possible en parties de vous vendues sous le manteau au marché noir des organes à extraire des cadavres avant leur date de péremption assez rapide suivant la qualité des glaçons, en attendant votre trépas à vous aimer, chère ( son nom ) il ne me fût guère aisé de transporter vos châleurs à son heureux acquéreur, un pingouin nihiliste souhaitant le réchauffement planétaire, surtout quand je renversa une partie infime de vos vapeurs dans le volcan d'une étoile brillant dans vos yeux qui ne demandait que ça pour exploser violamment la tendresse bouillonant en vous en une apothéose cataclysmique vous surenchèrant facilement sur un trésor inégalé, mais comme il est susdit plus haut, chère ( son nom ) je ne voulais pas abimer notre richesse en perspective de votre découpage corporel, pourtant je découvris qu'une petite griffure d'orgueil où de rébellion de votre part est un atout sur le marché des beautés sauvages, j'eus pû faire de ma maladresse un rendement plus considérable à l'usufruit de votre magnificience n'appartenant qu'à vous, attestée par le clerc de mon temps.
Ainsi, chère ( son nom ) votre nuque appartiendra à un fana de harem, ayant offert des rubis pour vos ongles, c'est pour cela que vous lisez cette lettre, ( son nom )négligemment portée à votre attention, clouée sur la porte de la salle de bain à votre nom ( son nom ) nouvellement installée d'un hammam, ainsi que d'un sauna, ( acquis en bonus grâce à un seul poil de votre séant, et Dieu sait que les imberbes de l'anus paieraient cher pour une greffe du système pileux de votre fessier ) près duquel je vous attends afin que nous nous prélassions dans notre piscine à remous...
Je vous aime ma tendre femme, ( son nom ) et vous souhaite du plus profond de mon cœur que le votre trouve un acquéreur à la hauteur de votre générosité à vous donner à ma passion de vous aimer jusqu'à votre mort.
Votre nom.
1.
Mon amour, ( son nom ) Je vous aime d'avantages chaque jour de plus.
Délicieuse chérie, ( son nom )
Étant donnée la valeur de vos deux soleils noires, ( son nom ) cerclés de flammes ocres se liquéfiant au ciel bleu de vos opalines, ( son nom ) j'ai pû conclure le remboursement de mes dettes avec notre banquier. ( son nom ) Je ne serais que trop vous en remercier. De plus, chère ( son nom ) nous avons enfin acquis grâce à vos cils brodés d'or blanc un chalet portant votre nom ( son nom ) situé sur l'une des plus hautes montagnes d'Espagne, d'une superficie de douze milles mètres carré au sol ressemblant fortement, à un château en fait, à notre maison principale qui porte votre nom ( son nom ) acquise à la sueur recueillie et conservée perlant de votre front, chère ( son nom ) tous les matins où la rosée vint s'échoir sur les souffles de votre éveil ronflant le bonheur de me voir heureux à vous sentir libre que je vous emprisonne dans les plus grandes demeures de mes rêves, rendus possible en parties de vous vendues sous le manteau au marché noir des organes à extraire des cadavres avant leur date de péremption assez rapide suivant la qualité des glaçons, en attendant votre trépas à vous aimer, chère ( son nom ) il ne me fût guère aisé de transporter vos châleurs à son heureux acquéreur, un pingouin nihiliste souhaitant le réchauffement planétaire, surtout quand je renversa une partie infime de vos vapeurs dans le volcan d'une étoile brillant dans vos yeux qui ne demandait que ça pour exploser violamment la tendresse bouillonant en vous en une apothéose cataclysmique vous surenchèrant facilement sur un trésor inégalé, mais comme il est susdit plus haut, chère ( son nom ) je ne voulais pas abimer notre richesse en perspective de votre découpage corporel, pourtant je découvris qu'une petite griffure d'orgueil où de rébellion de votre part est un atout sur le marché des beautés sauvages, j'eus pû faire de ma maladresse un rendement plus considérable à l'usufruit de votre magnificience n'appartenant qu'à vous, attestée par le clerc de mon temps.
Ainsi, chère ( son nom ) votre nuque appartiendra à un fana de harem, ayant offert des rubis pour vos ongles, c'est pour cela que vous lisez cette lettre, ( son nom )négligemment portée à votre attention, clouée sur la porte de la salle de bain à votre nom ( son nom ) nouvellement installée d'un hammam, ainsi que d'un sauna, ( acquis en bonus grâce à un seul poil de votre séant, et Dieu sait que les imberbes de l'anus paieraient cher pour une greffe du système pileux de votre fessier ) près duquel je vous attends afin que nous nous prélassions dans notre piscine à remous...
Je vous aime ma tendre femme, ( son nom ) et vous souhaite du plus profond de mon cœur que le votre trouve un acquéreur à la hauteur de votre générosité à vous donner à ma passion de vous aimer jusqu'à votre mort.
Votre nom.
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
2.
Chère ( son nom ),
Je me permets de vous envoyer cette présente depuis l'avenir qui m'est apparu le jour où je vous ai vue pour la première fois et les semaines suivantes.
En effet, j'ai pu distinguer à travers le voile mystérieux de Vénus votre venue imminente, éminente science à laquelle votre présence attira mon absence shamanique vers l'essence de votre aura vaporeusement idyllique.
Je pu observer notre surprise embarassée à nous entre-émaroucher dans la spontanéité d'une schématique d'un trouble, et cela en vous admirant déjà nous aimer sans retenue.
Certes, à l'instant où vous tenez cette lettre, vous n'avez pas encore eu la chance de pouvoir irresistiblement tombée love à vie de nos envies relevées, bien que vous l'eussiez présumé déjà fortement en votre espoir renaissant. Au rythme où s'approche notre rapprochement écrit à l'avance sur le parchemin des étoiles, ne sentez vous pas votre intime conviction titiller les secrets sublimes de votre ébulition fantasmagorique ?
Je vous ai vue créer un dérèglement du temps rien qu'à la tumulte de votre coup de cœur, dont les martèlements divins vinrent raisonner dans l'homogénéité du tango des pas de nos échos.
Ainsi donc, afin de convenir de la date vous convenant au mieux pour nous croiser par hasard autour d'un restaurant, qui restera à vie le lieu de notre providence à nous être offert notre chance de diner en tête à tête, je tiens à vous préciser que mes disponibilités vous sont entièrement dédiées et que l'heure et le jour qui est écrit est à votre convenance.
Votre nom,
D'avance merci.
PS : Je suis babar de vous...
Chère ( son nom ),
Je me permets de vous envoyer cette présente depuis l'avenir qui m'est apparu le jour où je vous ai vue pour la première fois et les semaines suivantes.
En effet, j'ai pu distinguer à travers le voile mystérieux de Vénus votre venue imminente, éminente science à laquelle votre présence attira mon absence shamanique vers l'essence de votre aura vaporeusement idyllique.
Je pu observer notre surprise embarassée à nous entre-émaroucher dans la spontanéité d'une schématique d'un trouble, et cela en vous admirant déjà nous aimer sans retenue.
Certes, à l'instant où vous tenez cette lettre, vous n'avez pas encore eu la chance de pouvoir irresistiblement tombée love à vie de nos envies relevées, bien que vous l'eussiez présumé déjà fortement en votre espoir renaissant. Au rythme où s'approche notre rapprochement écrit à l'avance sur le parchemin des étoiles, ne sentez vous pas votre intime conviction titiller les secrets sublimes de votre ébulition fantasmagorique ?
Je vous ai vue créer un dérèglement du temps rien qu'à la tumulte de votre coup de cœur, dont les martèlements divins vinrent raisonner dans l'homogénéité du tango des pas de nos échos.
Ainsi donc, afin de convenir de la date vous convenant au mieux pour nous croiser par hasard autour d'un restaurant, qui restera à vie le lieu de notre providence à nous être offert notre chance de diner en tête à tête, je tiens à vous préciser que mes disponibilités vous sont entièrement dédiées et que l'heure et le jour qui est écrit est à votre convenance.
Votre nom,
D'avance merci.
PS : Je suis babar de vous...
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
3.
Chère Mademoiselle,
Je tiens tout d'abord par cette présente à vous témoigner ma gratitude de vous avoir croisée, ne serait-ce qu'au bref instant de m'être perdue dans vos yeux.
Seulement, d'où l'objet de cette déclaration, j'aimerais porter à votre attention qu'il m'est dorénavant difficile de mettre un pied devant l'autre, sans penser
à vous, m'occasionnant des pertes de repères sur le chemin que je dois suivre.
En effet, rien qu'hier j'ai pris en pleine face un poteau qui tomba pile sur mon air hagard, admirant les réminiscences de votre visage entre le front des étoiles et ma bosse sur le front. Elle ne dépareilla pas avec les sept points de sûture de mon arcade sourcilière, acquis avec fierté en bravant la porte de ma passion revancharde à ce que je la referme sur mon désir à ce que vous soyez bien plus qu'un souvenir.
De grâce, j'en appelle à votre magnanimité en recquierant votre indulgence, cela fait maintenant une semaine que votre sort s'acharne sur mon corps perturbé par une urgence de bordenbord à dériver en votre cœur embarqué sur le voyage de mon ivre amor.
Certes, je mourais certainement de comprendre votre refus, vous étant un pur inconnu. Pourtant, une certitude insensée me transperce sans cesse le ventre en envisageant ne serait-ce qu'une seule pensée comme de vous inviter à mieux me connaître vous aimer.
Ayant été renversé en sortant de l'hopital, alors que j'accourais de joie à l'idée de vous retrouver en vous déclarant de vive voix mon intérêt à rejoindre votre voie, je me permets donc de vous écrire de mon lit, afin de vous notifier mon souhait qu'une fois sorti nous puissions nous renverser ensemble main dans la main, alors nous trouverons un nouveau chemin dans ce monde sans issue.
Sachez que j'estime ma durée de survie à peu près égale à un mois, étant donné que tout va de mal en pis depuis que mon âme vous est acquise et ne
répond plus aux demandes de clarté de ma raison, comme d'avoir cru bon de traverser le périph en sortant de l'hosto pour aller tout droit vers notre union.
Je vous souhaite de sauver des vies en souriant de votre air radieuse, et souhaite que vous puissiez me rendre par un seul de vos regards mon âme, le jour de votre choix...
Votre nom.
Chère Mademoiselle,
Je tiens tout d'abord par cette présente à vous témoigner ma gratitude de vous avoir croisée, ne serait-ce qu'au bref instant de m'être perdue dans vos yeux.
Seulement, d'où l'objet de cette déclaration, j'aimerais porter à votre attention qu'il m'est dorénavant difficile de mettre un pied devant l'autre, sans penser
à vous, m'occasionnant des pertes de repères sur le chemin que je dois suivre.
En effet, rien qu'hier j'ai pris en pleine face un poteau qui tomba pile sur mon air hagard, admirant les réminiscences de votre visage entre le front des étoiles et ma bosse sur le front. Elle ne dépareilla pas avec les sept points de sûture de mon arcade sourcilière, acquis avec fierté en bravant la porte de ma passion revancharde à ce que je la referme sur mon désir à ce que vous soyez bien plus qu'un souvenir.
De grâce, j'en appelle à votre magnanimité en recquierant votre indulgence, cela fait maintenant une semaine que votre sort s'acharne sur mon corps perturbé par une urgence de bordenbord à dériver en votre cœur embarqué sur le voyage de mon ivre amor.
Certes, je mourais certainement de comprendre votre refus, vous étant un pur inconnu. Pourtant, une certitude insensée me transperce sans cesse le ventre en envisageant ne serait-ce qu'une seule pensée comme de vous inviter à mieux me connaître vous aimer.
Ayant été renversé en sortant de l'hopital, alors que j'accourais de joie à l'idée de vous retrouver en vous déclarant de vive voix mon intérêt à rejoindre votre voie, je me permets donc de vous écrire de mon lit, afin de vous notifier mon souhait qu'une fois sorti nous puissions nous renverser ensemble main dans la main, alors nous trouverons un nouveau chemin dans ce monde sans issue.
Sachez que j'estime ma durée de survie à peu près égale à un mois, étant donné que tout va de mal en pis depuis que mon âme vous est acquise et ne
répond plus aux demandes de clarté de ma raison, comme d'avoir cru bon de traverser le périph en sortant de l'hosto pour aller tout droit vers notre union.
Je vous souhaite de sauver des vies en souriant de votre air radieuse, et souhaite que vous puissiez me rendre par un seul de vos regards mon âme, le jour de votre choix...
Votre nom.
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Sous l'effet de tes baisers :
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poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
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Dernière édition par poeteric le Ven 29 Juil - 5:41, édité 1 fois
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: écrits Juin-juillet
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Dernière édition par poeteric le Ven 29 Juil - 5:49, édité 2 fois
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: écrits Juin-juillet
Dans la course de tes rêves je laisse le monde surplace :
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.....................................................sous un.....
..............................................soleil en boucle
.........................................et ses rayons de feu
......................................des étoiles font la course
.......................................pour frôler tes cheveux
...........................................la lune comme une
...............................................médaille où ta
......................................................bouche
....................................ST UNE
..................................E..............COUPE
...................................Que portent
.................................A bout de lèvres
.............................Ce désir en lacets..................................................es-
..........................Q........ui grimpe.................................................sur
.......D'..............................en mon......................................cœur
...........Air........................Ivresse......................... .de ton
.................libre......la joie sentir au...........prés
...........................à res-plendissant fond
.....................................L'or de ton
.....................................Regard
....................................Brillant
....................................Tout
...................................Droit
..................................Vers Le
.................................Vainqueur
..............................Des........Sourires
.Que.....................Tu....................Offres
......Char............mée...........................Par
..............l'.........Au...............................dace
...............De sa..........................demande
.......................................................en
...............................................grâce
...................................V....de vous
......................................O....ravir....................En tre
...................................D...S charmes........................tes
.......................................e...Toi..mon..........Relances
............................................||........................ .........\\
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.........................m..............//....t...\\......................//.......\\.o..................c
..................i.....................//............o\\.................//.....t......\\.......................o
..............a......................//................u\\AMOUR//..ù.............\\.....................r
.............j'.....................Ô....................r.................o..................Ô.....................p
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Dernière édition par poeteric le Ven 29 Juil - 5:43, édité 1 fois
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