quelques écrits d'amour...
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quelques écrits d'amour...
Si tout n’est pas rose que son cœur se lamine
Entre les déboires d’une vile amertume
Lorsqu’à peine éclose son âme si divine
Jette en des mouchoirs ses rêves comme un rhume
Si sa tête explose qu’elle se contamine
D’un silence abattoir sur sa mine posthume
Que plus jamais n’ose ce que bonheur dessine
À broyer dans le noir des soucis qui l’enfument
En la serrant autant que l’amour la rassure
Toute l’éternité au fils des jours heureux
Je froisserais le temps contre ses déchirures
Sentant ses peurs fuirent notre amour lumineux
Je la veux si émue embrassant le destin
De l’opportunité au regard amoureux
Quand sa grimace mue en sourire serein
Semblant s’enorgueillir de traverser mes yeux
J’ai fais grapher son nom en prenant les étoiles
De ses yeux brillants l’aube pourpre et le jour
Ayant bue au pastel dilué en rosée
D’un cœur d’encre carmine effeuillé au soleil
Sa peau crème éclaire mon âme en oriflamme
Flânant d’une flanelle au sensuel été
Le rendez vous de l’âme à l’horizon du monde
Entre les granulés de chaleurs estivales
L’iode mouillée arrime sur son front
La vague qui gambade et son arche oxymel
Ressemble à l’eau teintée un ciel en floraison
Où l’écume brodée au cœur en pâmoison
Brasse l’affinité à leur diapason
Chantant en chamade l’amour providentiel
Je t’aime mon bébé ais-je entendu tout fort
Son bras sur mon épaule et son cœur sur le mien
Un souffle qui nous frôle au ressenti commun
Entre les déhanchés d’enroulements de corps
Lové sous l’auréole au sein de ses yeux d’or
La rumeur de l’été applaudie en câlin
Cet appel enflammé fleurant entre nos mains
La lueur en étole aux baisers météores
Acceptant l’envergure où son cou me prestige
Déliant dans l’azur sentiments et vertiges
L’essence sulfureuse en essor continue
Crame sur sa cambrure où ma lèvre voltige
Cette onction amoureuse où l’on se perpétue
Proclamant au futur l’amour que l’on s’érige
Contre cette herbe bleue et le ciel verdoyant
Son regard surplombe la rive de mes yeux
L’essence effeuillée sous ses cheveux éparses
Déploie un parfum vif d’effusions sensuelles
L’émanation d’amour sur des chromas frivoles
Où l’osmose se crée en extase palpable
Telle une brume d’onde enivrée de feu
Va toute éparpillée entre courbes graciles
Les îlots lumineux de ce ciel vertical
Parsèment les ombres des peaux émoussées
D'éclats en dorsale poussant sur la vallée
Du plus belle artifice au pays de Bengale
La lune dorée qu’un doux rayon coiffa
Minaude aux girasols des lacets d’éclaircie
Nuitée mutine d’étoiles en saccade
La caresse en écho de l’infini béant
Va et s’agglutine d’une seule accolade
En créant l'indigo autour des sentiments
Nos bras enrubannent les intenses reliures
De nos corps qu’inspirent leur opus lazulite
Pour en redéfinir les vérités écrites
Entre les médianes de notre couverture
Richesse des frissons la couette émerveillée
Entonne la chanson de ses draps en suée
En rappelant l’ivresse et sa bataille orgiaque
La culotte écusson trône sur la vallée
Des corps qui se blessent comme deux grands monarques
Guerroyant d’émotions pour leur patrie : Aimer
Depuis le mont des doigts palpitent des emprises
Affleurant le délice aux pouls affriolants
Le frisson visible comme une friandise
Où circule et tangue l’appétit dévorant
Sur le bout de ta gorge au doux coulis de quartz
Prenant le précipice aux pulsions qui s’y puisent
Des baisers caramels se chauffent se défroissent
Comme du saccharose à fleur de gourmandise
Ma langue épileptique en tremblant sur tes geintes
Se démène et astique une lèvre déteinte
Abreuvant son asthme de désir étouffant
J’appose mon graphique enhardi tes complaintes
Jouant sur tes spasmes tes yeux luminescents
En ta mort idyllique enflant quand tu t’éreintes
aussi malin qu'un convoyeur de ton charme s'en va et revient avec deux millions de tes râles dans son butin, sans aucune poursuite qu'un emprisonnement entre tes lèvres, je m'escapade tel toni le truand en voleur du coin de tes rêves latents.
Et ma langue se fourche aussi vif qu'un coup de boule zizounien contre les jurons du manque de t'aimer lorsque je tourne en rond sur la verdure du terrain à raz de tes grains de pâquerettes comme des ressorts assortis de ton tempo sur ma bouche amortie ' je serais champion du mont de tes yeux ' dis je en léchant à tout va la ligne de tes courbes asymétriques où je me médiane en regardant nos deux camps se jouer à tir larigot pour nous mettre le plus du but possible entre les jambes quand chaque équipe composée de coeur à l'attaque et de sourire sur les ailes dans une tactique d'énergie totale débordent une défense imaginaire restant là à nous contempler avancer jusqu'au gardien de la raison. Les acclamations, venues de la tribune de neurones fanatiques vilipendant nos frissons les uns sur les autres, ébahies s'émerveillent entre des bougies de fumigènes, s'aimant à se collationner de cocktail molotov et s'abreuver du calice sensuel de s'ergoter au passe droit d'un langage de borborismes dut aux caprices libidineux de nous lier aux mêmes gargarismes de voluptés geignant par réflexe le bien fondé d'une berlue au point d'étreindre le silence cacheté de la foule de tes spasmes jusqu'aux arcanes de ta cathédrale dentelée où le speaker de tes pensées scande à la terre entière tes secrets inavoués de laisser passer seul le dribleur le plus patenté de te réduire au score pour en prétendre à te soulever là-haut au bout de l'escalier de tes désirs.
Bleu pastel constellé la voûte d’où s’essorent
Toutes les effusions comme un spectacle intime
Se faufile et confond d’un arc aux teints sublimes
Toutes ses solutés sur sa peau buvard d’or
La dentelle aux frissons du feu que nous nous fîmes
Alliage allégé d’âmes technicolors
Semblent s’évaporer du zest de nos corps
Aux juxtapositions de flammes qui s’expriment
L’été en bande-son sur la pointe des cimes
Longe ses cheveux longs puis dans ses yeux s’arrime
Sur des versants de gloire où le soleil s’étend
Écoutant dolemment l’éclat de son regard
Enjouer les saisons sous la lune qui filme
De sa palme d’argent mon amour et sa star !
Entre les déboires d’une vile amertume
Lorsqu’à peine éclose son âme si divine
Jette en des mouchoirs ses rêves comme un rhume
Si sa tête explose qu’elle se contamine
D’un silence abattoir sur sa mine posthume
Que plus jamais n’ose ce que bonheur dessine
À broyer dans le noir des soucis qui l’enfument
En la serrant autant que l’amour la rassure
Toute l’éternité au fils des jours heureux
Je froisserais le temps contre ses déchirures
Sentant ses peurs fuirent notre amour lumineux
Je la veux si émue embrassant le destin
De l’opportunité au regard amoureux
Quand sa grimace mue en sourire serein
Semblant s’enorgueillir de traverser mes yeux
J’ai fais grapher son nom en prenant les étoiles
De ses yeux brillants l’aube pourpre et le jour
Ayant bue au pastel dilué en rosée
D’un cœur d’encre carmine effeuillé au soleil
Sa peau crème éclaire mon âme en oriflamme
Flânant d’une flanelle au sensuel été
Le rendez vous de l’âme à l’horizon du monde
Entre les granulés de chaleurs estivales
L’iode mouillée arrime sur son front
La vague qui gambade et son arche oxymel
Ressemble à l’eau teintée un ciel en floraison
Où l’écume brodée au cœur en pâmoison
Brasse l’affinité à leur diapason
Chantant en chamade l’amour providentiel
Je t’aime mon bébé ais-je entendu tout fort
Son bras sur mon épaule et son cœur sur le mien
Un souffle qui nous frôle au ressenti commun
Entre les déhanchés d’enroulements de corps
Lové sous l’auréole au sein de ses yeux d’or
La rumeur de l’été applaudie en câlin
Cet appel enflammé fleurant entre nos mains
La lueur en étole aux baisers météores
Acceptant l’envergure où son cou me prestige
Déliant dans l’azur sentiments et vertiges
L’essence sulfureuse en essor continue
Crame sur sa cambrure où ma lèvre voltige
Cette onction amoureuse où l’on se perpétue
Proclamant au futur l’amour que l’on s’érige
Contre cette herbe bleue et le ciel verdoyant
Son regard surplombe la rive de mes yeux
L’essence effeuillée sous ses cheveux éparses
Déploie un parfum vif d’effusions sensuelles
L’émanation d’amour sur des chromas frivoles
Où l’osmose se crée en extase palpable
Telle une brume d’onde enivrée de feu
Va toute éparpillée entre courbes graciles
Les îlots lumineux de ce ciel vertical
Parsèment les ombres des peaux émoussées
D'éclats en dorsale poussant sur la vallée
Du plus belle artifice au pays de Bengale
La lune dorée qu’un doux rayon coiffa
Minaude aux girasols des lacets d’éclaircie
Nuitée mutine d’étoiles en saccade
La caresse en écho de l’infini béant
Va et s’agglutine d’une seule accolade
En créant l'indigo autour des sentiments
Nos bras enrubannent les intenses reliures
De nos corps qu’inspirent leur opus lazulite
Pour en redéfinir les vérités écrites
Entre les médianes de notre couverture
Richesse des frissons la couette émerveillée
Entonne la chanson de ses draps en suée
En rappelant l’ivresse et sa bataille orgiaque
La culotte écusson trône sur la vallée
Des corps qui se blessent comme deux grands monarques
Guerroyant d’émotions pour leur patrie : Aimer
Depuis le mont des doigts palpitent des emprises
Affleurant le délice aux pouls affriolants
Le frisson visible comme une friandise
Où circule et tangue l’appétit dévorant
Sur le bout de ta gorge au doux coulis de quartz
Prenant le précipice aux pulsions qui s’y puisent
Des baisers caramels se chauffent se défroissent
Comme du saccharose à fleur de gourmandise
Ma langue épileptique en tremblant sur tes geintes
Se démène et astique une lèvre déteinte
Abreuvant son asthme de désir étouffant
J’appose mon graphique enhardi tes complaintes
Jouant sur tes spasmes tes yeux luminescents
En ta mort idyllique enflant quand tu t’éreintes
aussi malin qu'un convoyeur de ton charme s'en va et revient avec deux millions de tes râles dans son butin, sans aucune poursuite qu'un emprisonnement entre tes lèvres, je m'escapade tel toni le truand en voleur du coin de tes rêves latents.
Et ma langue se fourche aussi vif qu'un coup de boule zizounien contre les jurons du manque de t'aimer lorsque je tourne en rond sur la verdure du terrain à raz de tes grains de pâquerettes comme des ressorts assortis de ton tempo sur ma bouche amortie ' je serais champion du mont de tes yeux ' dis je en léchant à tout va la ligne de tes courbes asymétriques où je me médiane en regardant nos deux camps se jouer à tir larigot pour nous mettre le plus du but possible entre les jambes quand chaque équipe composée de coeur à l'attaque et de sourire sur les ailes dans une tactique d'énergie totale débordent une défense imaginaire restant là à nous contempler avancer jusqu'au gardien de la raison. Les acclamations, venues de la tribune de neurones fanatiques vilipendant nos frissons les uns sur les autres, ébahies s'émerveillent entre des bougies de fumigènes, s'aimant à se collationner de cocktail molotov et s'abreuver du calice sensuel de s'ergoter au passe droit d'un langage de borborismes dut aux caprices libidineux de nous lier aux mêmes gargarismes de voluptés geignant par réflexe le bien fondé d'une berlue au point d'étreindre le silence cacheté de la foule de tes spasmes jusqu'aux arcanes de ta cathédrale dentelée où le speaker de tes pensées scande à la terre entière tes secrets inavoués de laisser passer seul le dribleur le plus patenté de te réduire au score pour en prétendre à te soulever là-haut au bout de l'escalier de tes désirs.
Bleu pastel constellé la voûte d’où s’essorent
Toutes les effusions comme un spectacle intime
Se faufile et confond d’un arc aux teints sublimes
Toutes ses solutés sur sa peau buvard d’or
La dentelle aux frissons du feu que nous nous fîmes
Alliage allégé d’âmes technicolors
Semblent s’évaporer du zest de nos corps
Aux juxtapositions de flammes qui s’expriment
L’été en bande-son sur la pointe des cimes
Longe ses cheveux longs puis dans ses yeux s’arrime
Sur des versants de gloire où le soleil s’étend
Écoutant dolemment l’éclat de son regard
Enjouer les saisons sous la lune qui filme
De sa palme d’argent mon amour et sa star !
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
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