Cette nuit là, Aude, tu m'as aidé à sevrer mon manque d'elle...merci...DUO MSN.
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Cette nuit là, Aude, tu m'as aidé à sevrer mon manque d'elle...merci...DUO MSN.
https://www.youtube.com/watch?v=eimgRedLkkU
Empire Of The Sun - Walking On A Dream (Video)
je ne l'ai pas retouché, et ya quelques passages où j'écris seul,
T'es splendide Aude.
J'ai comme bureau une fenêtre.
Comme un oeil de lumière.
Une dérivation entre quatre murs,
dans la mornitude des jours enfermés,
à se cloisonner au bonjour séant aux entretiens du jour,
tapis à même les murs immaculés du quotidien,
à delacer le coeur de son corset de conventions,
par des témoignages de mis en conformité
des lignées de soupir au bord des cils
fourbus au moindre épanchement d'un courant salutaire.
Et je te prends avant en controverse du contre plaqué qui craquèlent sous tes coïts silencieux.
A peine imergé d'une buée intermittente.
Je respire dans ton souffle,
venu du plus profond de ta gorge à hurler
sur les ailes de tes mots débridés
en parfaite aliénation avec une vérité incessible
en corrélation avec la rage d'être vivants
sur les frontières détruites d'un débordement de soi
où deux goutes d'eau au bord du gouffre
prêtes à s'élancer à la cantonade
d'une incendie de vagues méthylène
chantent à la frissonnade du couchant friand
fessant le velours du lambris des étoiles
comme un clapotis de dorures masqué par des grands voiles rouges de désirs
où les ondulations crêvent l'écran de nos rêves ecervelés
pour en ressortir la moelle d'un même battement de coeur à la fougue résineuse de leur nappe noosphérienne
et l'avaler en un jet embrasé de mille venins différents
bx
bsx
bisux
bisoux
voici comment s'est formé le monde !
à vélo sur un bx
je trottais dans mes lyrix
quand à la vertige de parrallèles éblouis
je vins à tamponner de loin une fantasmagorie sublime
elle portait seulement mes rêves de lui tenir la main
les pas se résolvent à la grève de nos fins
et les questions chatoient le ressac en revenant soudain
ne laissant qu'une ombre velouté flotter à contre sens
sous l'air coguenard de l'océan aux mirabelles d'or
je ne savais pas combien tu me manquais
me répétait sans cesse le dernier souffle de l'eau bruineuse
te retrouver est comme un baiser du vent
aux pourlèches du levant jamais éteint
tant les prouesses d'un arc en ciel fustige le néant
en jouant à la corde à sauter avec des naines blanches
pour rester graver dans l'orbite de l'une d'elle
et l'halloter de mille plumes diaphanes allimentés par des champs de force
une lampée astronomique pour raffraichir l'extrême
un grain d'absurde pour relever le tout
azur
obscur
d'une chevelure
à la cambrure
je me caméléone à toi:
tes seins me caressent
suspendus à ton envol
où je fend de délicatesse
et tout se fond à la noosphère
même les tenues changeantes des positions frivoles
dans le chant de nos gémissements humides
crépissent les nervures iodées de l'hémisphère bleuie
entre les plaintes succintes d'une métatarse d'extases
enchassant les creux d'une divagation péri succombante
à la denrée prêt d'un trésor enfouis redécouvrant mille onces d'ors
remontant à la surface d'un brouhaha éteint dans le silence d'une juxtapostion parfaite
laissant éclater chaque bulle ivre à recouvrir leur dilapidation lunaire
fin miroir liquide
formant des arcs d'argent à l'empreinte laissée d'une dispersion de vapeur érostatique
auquel des éclairs participatifs brillent de mille feux en pourfendant l'instant d'une émotion commune
restée figée dans son élan par une rupture de l'espace au recouvement partiel de peaux en collusions
pour remercier au flash l'élévation lumineuse d'une mêche de tes cheveux dans un torrent d'éclats
jusqu'à baisser tes yeux à la retombée âpre d'une phosphorescence symbiotique pour les relever et rendre à la matière évanescente d'un phoenix en plein ciel de notre union flamboyante la virtuosité langoureuse d'un appel démoniaque à nous voir bruler nos ailes au bucher de nos acoups sémantiques
et sous mes doigts ton frisson comme une rivière de magma
déambule jusqu'au geyser de ton détroit qui se déserre
ou glisse l'attente sans rien n'attendre
emportant dans des rivières de sérénité la plénitude glissante d'aborder son écartelement barbare par une sauvagerie à se rendre fou comme deux tortionnaire volontaires
reins à reins ereintés
defaits, refaits, survoltés
tout ce qui lisse meme les ondes plisses glisse sur l'huile factice du frêle esquiff de l'horizon chétif, alors tout se durcit et croule de rumeurs reinales en déchiquetant de marées soudaines la houle divine d'une désorientaion neuronnale
un à un et l'unité
outre corps
des fers effets survoltés
outre vérité
d'effervescences indéfinies
à l'évidence
d'un destin decillé
à la cristalisation d'une épopée d'hardeurs collatérales
sur les bacilles retournées d'une chevauchée à demi jambe d'une cravache de bassin
hurlant des hourras aux ourlas d'une fureur inoculée sur les papilles d'un aveu caractériel à une soumission post-subjuguée
ivresse du tourbillon de tendre
sur les bouillons déviants de mille tentations
à s'échapper nue entre les landes
des ambivalences de chuchotements sur des timbres en corrélation
épouser le sable devant chaque vague
recouvert par une pinéde ardente et d'une salvation d'écume de pins
froissant un rayon de lune aux comissures
que nos lueurs décomposent
comme autant de parcelle inconnue s'éclairant prêt des chemins de l'imaginaire où nous restons imbriqués au ponton de nos sulfures maltes
liquéfaction des factions intimes aux creux des allures délurées
nos soupçons cognitifs s'alternent au bruissement insubordonnée de notre volontariat à se libérer dans la profusion du spectacle du néant
juchant la valeur candide à se délivrer de factions de jouissances mortifères par des secousses inaltérables du mouvement perpétuel à se confondre
alors hagard des lézards eunuques attendent l'espoir en repousse sur les terres fertiles de notre abondance d'étreintes
parsemant des boutures de roses sur les cols d'un terreau d'élévations
à la bouche bée d'une comète de baudruche se dégonflant à la seule épine d'une de nos complaintes écloses
distribuant au hasard la somme inexact de millions de confettis du paysage éradiqué par la puissance d'une poussée de gravitation à deux doigts d'être à l'apogée
comme découvrir le sésame d'un point g à l'emporte émulsion d'une énième addiction d'aura en transfuge d'une badinerie sous jacente.
Empire Of The Sun - Walking On A Dream (Video)
je ne l'ai pas retouché, et ya quelques passages où j'écris seul,
T'es splendide Aude.
J'ai comme bureau une fenêtre.
Comme un oeil de lumière.
Une dérivation entre quatre murs,
dans la mornitude des jours enfermés,
à se cloisonner au bonjour séant aux entretiens du jour,
tapis à même les murs immaculés du quotidien,
à delacer le coeur de son corset de conventions,
par des témoignages de mis en conformité
des lignées de soupir au bord des cils
fourbus au moindre épanchement d'un courant salutaire.
Et je te prends avant en controverse du contre plaqué qui craquèlent sous tes coïts silencieux.
A peine imergé d'une buée intermittente.
Je respire dans ton souffle,
venu du plus profond de ta gorge à hurler
sur les ailes de tes mots débridés
en parfaite aliénation avec une vérité incessible
en corrélation avec la rage d'être vivants
sur les frontières détruites d'un débordement de soi
où deux goutes d'eau au bord du gouffre
prêtes à s'élancer à la cantonade
d'une incendie de vagues méthylène
chantent à la frissonnade du couchant friand
fessant le velours du lambris des étoiles
comme un clapotis de dorures masqué par des grands voiles rouges de désirs
où les ondulations crêvent l'écran de nos rêves ecervelés
pour en ressortir la moelle d'un même battement de coeur à la fougue résineuse de leur nappe noosphérienne
et l'avaler en un jet embrasé de mille venins différents
bx
bsx
bisux
bisoux
voici comment s'est formé le monde !
à vélo sur un bx
je trottais dans mes lyrix
quand à la vertige de parrallèles éblouis
je vins à tamponner de loin une fantasmagorie sublime
elle portait seulement mes rêves de lui tenir la main
les pas se résolvent à la grève de nos fins
et les questions chatoient le ressac en revenant soudain
ne laissant qu'une ombre velouté flotter à contre sens
sous l'air coguenard de l'océan aux mirabelles d'or
je ne savais pas combien tu me manquais
me répétait sans cesse le dernier souffle de l'eau bruineuse
te retrouver est comme un baiser du vent
aux pourlèches du levant jamais éteint
tant les prouesses d'un arc en ciel fustige le néant
en jouant à la corde à sauter avec des naines blanches
pour rester graver dans l'orbite de l'une d'elle
et l'halloter de mille plumes diaphanes allimentés par des champs de force
une lampée astronomique pour raffraichir l'extrême
un grain d'absurde pour relever le tout
azur
obscur
d'une chevelure
à la cambrure
je me caméléone à toi:
tes seins me caressent
suspendus à ton envol
où je fend de délicatesse
et tout se fond à la noosphère
même les tenues changeantes des positions frivoles
dans le chant de nos gémissements humides
crépissent les nervures iodées de l'hémisphère bleuie
entre les plaintes succintes d'une métatarse d'extases
enchassant les creux d'une divagation péri succombante
à la denrée prêt d'un trésor enfouis redécouvrant mille onces d'ors
remontant à la surface d'un brouhaha éteint dans le silence d'une juxtapostion parfaite
laissant éclater chaque bulle ivre à recouvrir leur dilapidation lunaire
fin miroir liquide
formant des arcs d'argent à l'empreinte laissée d'une dispersion de vapeur érostatique
auquel des éclairs participatifs brillent de mille feux en pourfendant l'instant d'une émotion commune
restée figée dans son élan par une rupture de l'espace au recouvement partiel de peaux en collusions
pour remercier au flash l'élévation lumineuse d'une mêche de tes cheveux dans un torrent d'éclats
jusqu'à baisser tes yeux à la retombée âpre d'une phosphorescence symbiotique pour les relever et rendre à la matière évanescente d'un phoenix en plein ciel de notre union flamboyante la virtuosité langoureuse d'un appel démoniaque à nous voir bruler nos ailes au bucher de nos acoups sémantiques
et sous mes doigts ton frisson comme une rivière de magma
déambule jusqu'au geyser de ton détroit qui se déserre
ou glisse l'attente sans rien n'attendre
emportant dans des rivières de sérénité la plénitude glissante d'aborder son écartelement barbare par une sauvagerie à se rendre fou comme deux tortionnaire volontaires
reins à reins ereintés
defaits, refaits, survoltés
tout ce qui lisse meme les ondes plisses glisse sur l'huile factice du frêle esquiff de l'horizon chétif, alors tout se durcit et croule de rumeurs reinales en déchiquetant de marées soudaines la houle divine d'une désorientaion neuronnale
un à un et l'unité
outre corps
des fers effets survoltés
outre vérité
d'effervescences indéfinies
à l'évidence
d'un destin decillé
à la cristalisation d'une épopée d'hardeurs collatérales
sur les bacilles retournées d'une chevauchée à demi jambe d'une cravache de bassin
hurlant des hourras aux ourlas d'une fureur inoculée sur les papilles d'un aveu caractériel à une soumission post-subjuguée
ivresse du tourbillon de tendre
sur les bouillons déviants de mille tentations
à s'échapper nue entre les landes
des ambivalences de chuchotements sur des timbres en corrélation
épouser le sable devant chaque vague
recouvert par une pinéde ardente et d'une salvation d'écume de pins
froissant un rayon de lune aux comissures
que nos lueurs décomposent
comme autant de parcelle inconnue s'éclairant prêt des chemins de l'imaginaire où nous restons imbriqués au ponton de nos sulfures maltes
liquéfaction des factions intimes aux creux des allures délurées
nos soupçons cognitifs s'alternent au bruissement insubordonnée de notre volontariat à se libérer dans la profusion du spectacle du néant
juchant la valeur candide à se délivrer de factions de jouissances mortifères par des secousses inaltérables du mouvement perpétuel à se confondre
alors hagard des lézards eunuques attendent l'espoir en repousse sur les terres fertiles de notre abondance d'étreintes
parsemant des boutures de roses sur les cols d'un terreau d'élévations
à la bouche bée d'une comète de baudruche se dégonflant à la seule épine d'une de nos complaintes écloses
distribuant au hasard la somme inexact de millions de confettis du paysage éradiqué par la puissance d'une poussée de gravitation à deux doigts d'être à l'apogée
comme découvrir le sésame d'un point g à l'emporte émulsion d'une énième addiction d'aura en transfuge d'une badinerie sous jacente.
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
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