défi aux beaux mots
3 participants
:: sans orgueil :: défis
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défi aux beaux mots
certains sont langoureux voluptueux
d'autres claquent comme des lanières de cuir
tous sont de fidèles familiers
qui se jouent des poètes en éclats et contrastes
choisissez les cinquante plus beaux
pour squelette d'un poème
puis empruntez ceux des autres joueurs
pour voir ce que le souffle leur fera dire
que les plus beaux gagnent!!!
d'autres claquent comme des lanières de cuir
tous sont de fidèles familiers
qui se jouent des poètes en éclats et contrastes
choisissez les cinquante plus beaux
pour squelette d'un poème
puis empruntez ceux des autres joueurs
pour voir ce que le souffle leur fera dire
que les plus beaux gagnent!!!
Re: défi aux beaux mots
des fois que personne comprendre sujet là présenté :
CHOISIR 50 MOTS et les mettre dans ce fil nouvellement créé.
A chacun selon son bon coeur de faire poème autour du lexique proposé, en comptant un vers par mots -approximativement-.
Afin que tout le monde comprendre de quoi on cause :
Moi coller ma liste pour vous faire effort. Après quoi, moi et les autres feront effort chez vous, selon un jeu de ping-pong-poing.
PS : tout le monde "joue".
Vous connaissez le dicton "plus on est de fous..."
PPS : inutile de s'embêter à savoir si untel a déjà utilisé un mot. Les doublons (ou triplons) ne font pas mal. On peut admettre les formes composées (pluriel, verbalisation, adjectivation ou autres préfixations) si la plume l'ordonne.
PPPS : A vous !
CHOISIR 50 MOTS et les mettre dans ce fil nouvellement créé.
A chacun selon son bon coeur de faire poème autour du lexique proposé, en comptant un vers par mots -approximativement-.
Afin que tout le monde comprendre de quoi on cause :
Moi coller ma liste pour vous faire effort. Après quoi, moi et les autres feront effort chez vous, selon un jeu de ping-pong-poing.
PS : tout le monde "joue".
Vous connaissez le dicton "plus on est de fous..."
PPS : inutile de s'embêter à savoir si untel a déjà utilisé un mot. Les doublons (ou triplons) ne font pas mal. On peut admettre les formes composées (pluriel, verbalisation, adjectivation ou autres préfixations) si la plume l'ordonne.
PPPS : A vous !
Dernière édition par pseudonymes1 le Lun 9 Fév - 6:48, édité 2 fois
Re: défi aux beaux mots
Voici ma liste
Vélociraptor
Concept
Morigénation
Amphigouri
Archéologie
Pétasse
Spatial
Washington
Axiome
Télescope
Mnémosyne
Asymétrique
Prouesse
Bengale
Tétanos
Hapax
Cristal
Vêpres
Diplomatie
Oxydoréduction
Perséphone
Phallus
Éclabousser
Lamentations
Toutankhamon
Embarrasser
Léonidas
Œcuménique
Fumigation
Oratorio
Échalote
Pistils
Torréfaction
Crépuscule
Éclipse
Benzène
Toxicité
Orgasmique
Efflorescence
Archéométrie
Jonquille
Caïpirinha
Clafoutis
Amaryllis
Toccata
Triomphe
Hypallage
Méandres
Transsibérien
Cédille
Vélociraptor
Concept
Morigénation
Amphigouri
Archéologie
Pétasse
Spatial
Washington
Axiome
Télescope
Mnémosyne
Asymétrique
Prouesse
Bengale
Tétanos
Hapax
Cristal
Vêpres
Diplomatie
Oxydoréduction
Perséphone
Phallus
Éclabousser
Lamentations
Toutankhamon
Embarrasser
Léonidas
Œcuménique
Fumigation
Oratorio
Échalote
Pistils
Torréfaction
Crépuscule
Éclipse
Benzène
Toxicité
Orgasmique
Efflorescence
Archéométrie
Jonquille
Caïpirinha
Clafoutis
Amaryllis
Toccata
Triomphe
Hypallage
Méandres
Transsibérien
Cédille
Re: défi aux beaux mots
Au fait, pour Poeteric, le défi est porté à 1000 mots. Comme moi.
Laissant un petit champ préparatoire avant de s'atteler à la cause. Il n'est cependant pas dispensé du programme court.
Je précise en outre, que pour ceux qui ne séparent pas la liste du poème, les mots (beaux) doivent être soulignés dans le coeur du poème. Rappelons que l'enjeu est la faculté à l'inspiration de les intégrer au sein du texte et non de les choisir a posteriori.
Récapitulons : un programme court de 50 mots, avec le lexique de tout le monde. Soit autant de programmes courts que de participants.
Et pour qui veut : un programme libre (unilatéralement fixé à 1000 mots pour moi et Poeteric). Soit un programme doublement libre.
Laissant un petit champ préparatoire avant de s'atteler à la cause. Il n'est cependant pas dispensé du programme court.
Je précise en outre, que pour ceux qui ne séparent pas la liste du poème, les mots (beaux) doivent être soulignés dans le coeur du poème. Rappelons que l'enjeu est la faculté à l'inspiration de les intégrer au sein du texte et non de les choisir a posteriori.
Récapitulons : un programme court de 50 mots, avec le lexique de tout le monde. Soit autant de programmes courts que de participants.
Et pour qui veut : un programme libre (unilatéralement fixé à 1000 mots pour moi et Poeteric). Soit un programme doublement libre.
Re: défi aux beaux mots
commençons par 30
| nutation | | tribulations | | guipures |
| écarlate | | fumerolles | | espiègle |
| louange | | allure | | rutilance |
| commissure | | orée | | obsidienne |
| effluve | | voluptueux | | ruissèlement |
| facétie | | ellipse | | hélicoïdale |
| flâner | | ensellure | | froisser |
| vrombissement | | manigance | | échancrure |
| éclaboussure | | exubérance | | enjôleur |
| rafale | | pétrifier | | gourmand |
Re: défi aux beaux mots
et encore 30
| fissure | | voussure | | frissonner |
| badiner | | mutin | | étole |
| symbiose | | pulpe | | saturation |
| abroger | | foudre | | paume |
| affleurer | | effervescence | | effusion |
| coalescence | | inflexion | | batifoler |
| bûcher | | solitude | | combustion |
| charnel | | volute | | fulgurance |
| amalgame | | bluette | | abysse |
| arôme | | émissaire | | butiner |
Re: défi aux beaux mots
et 15 autres
| conjurer | | symbole | | mordoré |
| dilution | | déflagration | | héliotrope |
| ambre | | magie | | cataractes |
| confins | | incruster | | familier |
| épanchement | | chuchoter | | arborescence |
Re: défi aux beaux mots
C'est pas croyable.
On fixe des règles. Claires pourtant.
Et hop, on fait ce qu'on veut !!
J'ai dit 50 et/ou libre/1000.
Maintenant, on a ici, 30 et/ou 45 et/ou 60 et/ou 75....
Que faire, vu qu'aucune combinaison ne donne 50. Et je ne parle pas de l'ordre.
Une tape sur les doigts.
Je prends donc les 50 premiers dans l'ordre chronologique d'arrivée. Et selon le chemin nominal et nominatif de la lecture en français; i.e. de gauche à droite et de haut en bas. Je m'arrête donc pour le poème de 50 à "solitude". Pour le "libre" on attendra les éjaculations à venir et la cloture des débats par la concernée.
J'ai appris le "voussure", que je trouve très très laid.
Par ailleurs, je trouve qu'il n'en est pas un qui égale l'oeil de mon "vélociraptor".
On fixe des règles. Claires pourtant.
Et hop, on fait ce qu'on veut !!
J'ai dit 50 et/ou libre/1000.
Maintenant, on a ici, 30 et/ou 45 et/ou 60 et/ou 75....
Que faire, vu qu'aucune combinaison ne donne 50. Et je ne parle pas de l'ordre.
Une tape sur les doigts.
Je prends donc les 50 premiers dans l'ordre chronologique d'arrivée. Et selon le chemin nominal et nominatif de la lecture en français; i.e. de gauche à droite et de haut en bas. Je m'arrête donc pour le poème de 50 à "solitude". Pour le "libre" on attendra les éjaculations à venir et la cloture des débats par la concernée.
J'ai appris le "voussure", que je trouve très très laid.
Par ailleurs, je trouve qu'il n'en est pas un qui égale l'oeil de mon "vélociraptor".
Re: défi aux beaux mots
Premier envoi
Multiplication des choix à l’inverse des opposés
Quand les axes dodécaédriques s’extendent encore
Sous la nutation espiègle d’un roulis héliocentrique
Qui désorbite les ellipses satellisées d’inflorescences
Pendant que l’effluve d’une obsidienne se silice
Et se perd dans les nimbes translucides du taffetas
Que vient lécher la commissure écarlate
À l’orée d’une volute spermatique qui fissure
Les cinq sens éplorés par la grâce volupteuse
Qui s’enroule autour de l’hélicoïdal délice du toucher
Flânant dans les souks moléculaires de l’espace
Qu’une ensellure déplie si l’homme succombe
Défroissant l’obstacle des premières timidités
Par l’écrin d’une échancrure qui dénape la peau
Sous le regard enjôleur du désir désaissi de l’âme
Fustigée par une exubérance de luxures sanguines
Quand badine dans l’alcôve la pulpe soyeuse d’un sein
Sous le ruissèlement des premières suées facétieuses
À l’orée d’un écarquillement qui ralentit l’allure
Lors d’un glissendo du temps sur l’espace des hanches
Que l’étole dévêtit de la paume en rafale de secousses
Une gourmandise subtile empoignée du bout des doigts
Pétrifiée par les guipures au filigrane de la nuit qui cousent
Et secouent les tribulations saintes des corps ceints encorsetés
En photographiant le frisson intactile de ces jours blottis
Serrant la paume de tes fesses qui cabotinent ce mutin
Dans la tourmente en symbiose des prunelles relevées
Saturées par l’infanticide orgasme qui abroge la pluie
Frappée par un tonnerre de foudre coalescente
Quand les lèvres laissent s’ellipser le tendre mot uni de louanges
Rutilant du coït offert à l’infini pourchasse d’une soif d’être
Infléchie par la bête qui tourne le dos à l’espace d’ailleurs
Déployant les voussures et les archivoltes décoiffées
Qui affleurent l’humidité de la scène en effusion
Au dernier vrombissement qui effrite la pierre
Éclaboussant d’un manteau d’hermine les batifoles espiègles
Sur le canevas d’un poème rempli d’un souvenir de manigance
Par les bûches effervescentes qui peignirent l’étoile
D’une profondeur nuageuse de fumerolles
Qui s’estompent de solitude
Où s'irise l’amour en coulisse
Multiplication des choix à l’inverse des opposés
Quand les axes dodécaédriques s’extendent encore
Sous la nutation espiègle d’un roulis héliocentrique
Qui désorbite les ellipses satellisées d’inflorescences
Pendant que l’effluve d’une obsidienne se silice
Et se perd dans les nimbes translucides du taffetas
Que vient lécher la commissure écarlate
À l’orée d’une volute spermatique qui fissure
Les cinq sens éplorés par la grâce volupteuse
Qui s’enroule autour de l’hélicoïdal délice du toucher
Flânant dans les souks moléculaires de l’espace
Qu’une ensellure déplie si l’homme succombe
Défroissant l’obstacle des premières timidités
Par l’écrin d’une échancrure qui dénape la peau
Sous le regard enjôleur du désir désaissi de l’âme
Fustigée par une exubérance de luxures sanguines
Quand badine dans l’alcôve la pulpe soyeuse d’un sein
Sous le ruissèlement des premières suées facétieuses
À l’orée d’un écarquillement qui ralentit l’allure
Lors d’un glissendo du temps sur l’espace des hanches
Que l’étole dévêtit de la paume en rafale de secousses
Une gourmandise subtile empoignée du bout des doigts
Pétrifiée par les guipures au filigrane de la nuit qui cousent
Et secouent les tribulations saintes des corps ceints encorsetés
En photographiant le frisson intactile de ces jours blottis
Serrant la paume de tes fesses qui cabotinent ce mutin
Dans la tourmente en symbiose des prunelles relevées
Saturées par l’infanticide orgasme qui abroge la pluie
Frappée par un tonnerre de foudre coalescente
Quand les lèvres laissent s’ellipser le tendre mot uni de louanges
Rutilant du coït offert à l’infini pourchasse d’une soif d’être
Infléchie par la bête qui tourne le dos à l’espace d’ailleurs
Déployant les voussures et les archivoltes décoiffées
Qui affleurent l’humidité de la scène en effusion
Au dernier vrombissement qui effrite la pierre
Éclaboussant d’un manteau d’hermine les batifoles espiègles
Sur le canevas d’un poème rempli d’un souvenir de manigance
Par les bûches effervescentes qui peignirent l’étoile
D’une profondeur nuageuse de fumerolles
Qui s’estompent de solitude
Où s'irise l’amour en coulisse
Dernière édition par pseudonymes1 le Sam 21 Fév - 8:16, édité 2 fois
Re: défi aux beaux mots
Revanche
La cannonière manigance le feu du mortier embrasé
En amorçant les facéties hélicoïdales du projectile
Vers l’impact elliptique d’un corps chutant sur sa tombe
Coule le ruissèlement des cadavres sur le champ écarlate
Entre les tribulations haineuses de l’exubérance militaire
Et les fragrances enjôleuses de la vie post-mortem désorientée
L’État-major est pétrifié dans le coin de son arrière-garde fissurée
Cherchant les voussures des lenticules ennemies au canon trop rayé
Et badîne le cliquetis de la gachette sur le lobe des prisonniers tempérés
La pulpe des mutins saccagée par les tortures mentales de l’après-guerre
Déployant la foudre d’Osiris vers la coalescence des mendiants décharnés
C’est la commissure du hasard qui désigne les survivants de la chair à canon
À l’orée d’une rédemption obsidienne qui sent l’arôme de la combustion
Quand sonne un autre canon au-dessus des volutes du tombeau rutilant
Les guipures du drapeau flottent dans les fumerolles de l’aquilon invasif
Car les louanges de la croix de guerre ont la fière allure magique du combat
Après les effluves hémorragiques qui ont éclaboussé en vrombissant
La grêle des fosses macabres prisonnière de la bauge silencieuse
Quand flânent sur l’ensellure du no man’s land les abysses émissaires
Faisant les fossoyeurs qui amalgament à la même heure blessés et maudits
La mitraille gourmande des balles dum-dum qui étolent les péricardes
Quand l’homme à cœur ouvert fusionne en symbiose panthéiste avec la terre artérielle
Chuchote par magie l’épanchement conjuré par la Vierge Marie mère de Dieu
Encore une rafale pour rafler les forces d’appui en pleine effervescence
Batifolent dans leur coin les jetées du napalm sur les digues bleuettes
Qui saturent les berges affleurées par les ondes du débarquement
Et qui incrustent le son de la déflagration sur le tympan mémoriel
Dans la paume de l’histoire qui abroge le destin de la nutation
Le long d’une arborescence héliotropique qui symbole l’histoire
En constatant les échancrures du corps où se logent les gangrènes
Froissant le destin paralytique qui conduit les écueils de la solitude
Depuis une effusion de fin des temps qui s’infléchit à rebours
Quand frissonne l’aube espiègle qui bûtine avec fulgurance
Déposant une caresse voluptueuse aux confins ambrés
Pendant que brûlent les bûches des damnés de tous âges
La cannonière manigance le feu du mortier embrasé
En amorçant les facéties hélicoïdales du projectile
Vers l’impact elliptique d’un corps chutant sur sa tombe
Coule le ruissèlement des cadavres sur le champ écarlate
Entre les tribulations haineuses de l’exubérance militaire
Et les fragrances enjôleuses de la vie post-mortem désorientée
L’État-major est pétrifié dans le coin de son arrière-garde fissurée
Cherchant les voussures des lenticules ennemies au canon trop rayé
Et badîne le cliquetis de la gachette sur le lobe des prisonniers tempérés
La pulpe des mutins saccagée par les tortures mentales de l’après-guerre
Déployant la foudre d’Osiris vers la coalescence des mendiants décharnés
C’est la commissure du hasard qui désigne les survivants de la chair à canon
À l’orée d’une rédemption obsidienne qui sent l’arôme de la combustion
Quand sonne un autre canon au-dessus des volutes du tombeau rutilant
Les guipures du drapeau flottent dans les fumerolles de l’aquilon invasif
Car les louanges de la croix de guerre ont la fière allure magique du combat
Après les effluves hémorragiques qui ont éclaboussé en vrombissant
La grêle des fosses macabres prisonnière de la bauge silencieuse
Quand flânent sur l’ensellure du no man’s land les abysses émissaires
Faisant les fossoyeurs qui amalgament à la même heure blessés et maudits
La mitraille gourmande des balles dum-dum qui étolent les péricardes
Quand l’homme à cœur ouvert fusionne en symbiose panthéiste avec la terre artérielle
Chuchote par magie l’épanchement conjuré par la Vierge Marie mère de Dieu
Encore une rafale pour rafler les forces d’appui en pleine effervescence
Batifolent dans leur coin les jetées du napalm sur les digues bleuettes
Qui saturent les berges affleurées par les ondes du débarquement
Et qui incrustent le son de la déflagration sur le tympan mémoriel
Dans la paume de l’histoire qui abroge le destin de la nutation
Le long d’une arborescence héliotropique qui symbole l’histoire
En constatant les échancrures du corps où se logent les gangrènes
Froissant le destin paralytique qui conduit les écueils de la solitude
Depuis une effusion de fin des temps qui s’infléchit à rebours
Quand frissonne l’aube espiègle qui bûtine avec fulgurance
Déposant une caresse voluptueuse aux confins ambrés
Pendant que brûlent les bûches des damnés de tous âges
Re: défi aux beaux mots
baroud d’hapax
L’archéologie du concept provoque invariablement les lamentations œcuméniques de quelques diplomaties torréfiées. Au crépuscule des axiomes, Mnémosine revient en force, plus avide qu’un vélociraptor, éclaboussant les méandres orgasmiques d’amphigouris joviaux aux saveurs asymétriques de clafoutis d’échalotes. Tant de prouesses dans la toxicité de Perséphone! Des triomphes de cristal aux efflorescences d’hypallages, du Transibérien au tombeau de Toutankhamon, sa toccata échevelée ne parvient pas à éclipser ses fumigations de pétasse et ses morigénassions de Bengale. Jamais tétanos ne fut plus fatal que ce gros plan de pistil au télescope. Au temps des vêpres, un amaryllis au cœur de Léonidas se redresse, tel un phallus dans les antichambres de Washington, déroulant ses vapeurs de benzène sous l’or de jonquilles émues. Lorsque que la caïpirinha est la première phase d’oxydoréduction, l’archéométrie démesure les cédilles orphelines et, dans un dernier baroud, s’embarrasse encore d’un hapax.
Re: défi aux beaux mots
pseudo tes textes sont grandioses..
titre
des call-girls et des hommes
Dans un bordel à washington
Les télescopes de mille phallus
Au triomphe d’un clafouti
Emplissent l’amphigouri spatial
De leur archéologie embarrassée
Par la toxicité d’une pétasse
À la diplomatie d’un tétanos
Elle murge leur manque vélociraptor
Par la torréfaction de ses prouesses
Dans les crépuscules de Bengale
De son axiome orgasmique
Au concept de ses méandres
En oxydoréduction oecuménique
Dansant sous les toccatas
Son hypallage asymétrique
En archéométrie caïpirinha
Venant éclabousser le cristal
De la cédille de son éclipse
Dont les efflorescences de lamentations
Des mnémosynes d’oratorios
Aux diplomaties de benzène
S’effluvent en pistils d’échalotes
Qu’éclabousseraient les vêpres
Du tombeau de Toutankhamon
Aux morigénations de Léonidas
Qui rejetterait Perséphone
Dans les éclats d’un hapax
j'ai pris mon pied ! lol
et là la liste à aude mais je n'ai pas pu copier coller tes tableaux ! alors j'ai pris le texte à pseudo mais je crois qu'il manque des mots ! (ça fait beaucoup d'o qui coule dans cette phrase en enclos, lol
alors pseudo m'engueules pas ! c'est la faute à aude t'as vu elle fait n'importe quoi avec ses quarante cinq mots !
titre (oui je mets des titres !)
titre
des call-girls et des hommes
Dans un bordel à washington
Les télescopes de mille phallus
Au triomphe d’un clafouti
Emplissent l’amphigouri spatial
De leur archéologie embarrassée
Par la toxicité d’une pétasse
À la diplomatie d’un tétanos
Elle murge leur manque vélociraptor
Par la torréfaction de ses prouesses
Dans les crépuscules de Bengale
De son axiome orgasmique
Au concept de ses méandres
En oxydoréduction oecuménique
Dansant sous les toccatas
Son hypallage asymétrique
En archéométrie caïpirinha
Venant éclabousser le cristal
De la cédille de son éclipse
Dont les efflorescences de lamentations
Des mnémosynes d’oratorios
Aux diplomaties de benzène
S’effluvent en pistils d’échalotes
Qu’éclabousseraient les vêpres
Du tombeau de Toutankhamon
Aux morigénations de Léonidas
Qui rejetterait Perséphone
Dans les éclats d’un hapax
j'ai pris mon pied ! lol
et là la liste à aude mais je n'ai pas pu copier coller tes tableaux ! alors j'ai pris le texte à pseudo mais je crois qu'il manque des mots ! (ça fait beaucoup d'o qui coule dans cette phrase en enclos, lol
alors pseudo m'engueules pas ! c'est la faute à aude t'as vu elle fait n'importe quoi avec ses quarante cinq mots !
titre (oui je mets des titres !)
l'amour en souche
L’orgasme intactile se fumerolle entre tous les poèmes
En pourchassant les ensellures des enjôlements profonds
Pour ressortir la pulpe soyeuse de l’amour en emphysème
Empoignant ses guipures dans des filigranes sans nom
Lorsqu’il vacille au travers d’une inflorescence effleurée
En irisant les volutes effritées d’une nymphe effervescente
Au touché délicat des flâneries défroissant tout opposé
En abrogeant les allures sur des tribulations luxuriantes
La foudre lèche alors les archivoltes de nos éclaboussures
Éclairant la nutation translucide de nos soifs infléchies
Jusqu’aux alcôves badines des paumes sur les échancrures
Des symbioses multiples de notre orée écarlate en roulis
Elle enchâsse les exubérances du tonnerre réduit en rafale
Entre les espiègleries rutilantes de nos effusions humides
Prises dans la manigance infinie de notre écrin abyssal
Où se nimbe la tourmente obsidienne des pupilles fluides
Fustigée sur l’étole d’une pluie de flammes en désorbite
Créé des voussures d’effluves rutilants les suées de braises
Des étoiles gourmandes des secousses glissendo du coït
Aux facéties sanguines d’estampes de lèvre à lèvre cabotines
Estompées sur le voile d’hermine des regards succombant
Où le taffetas des cinq sens se satellite aux fièvres mutines
Qui ruissèlent les molécules du grand canevas coalescent
Enjôlé dans les grâces de l’espace au manteau de silice
Des commissures de symbiose accrochée entre nos paumes
Où la timidité batifole dans la subtilité des axes du délice
Aux passions hélicoïdales des jonctions de nos dichotomes
Alors les prunelles s’écarquillent entre les fissures d’obstacles
De nos manigances sensuelles quand les désirs se font oracle
Alors les ellipses enjôlées vrombissent notre aura héliocentrique
En décoiffant les louanges infinis des pendules dodécaédrique
L’orgasme intactile se fumerolle entre tous les poèmes
En pourchassant les ensellures des enjôlements profonds
Pour ressortir la pulpe soyeuse de l’amour en emphysème
Empoignant ses guipures dans des filigranes sans nom
Lorsqu’il vacille au travers d’une inflorescence effleurée
En irisant les volutes effritées d’une nymphe effervescente
Au touché délicat des flâneries défroissant tout opposé
En abrogeant les allures sur des tribulations luxuriantes
La foudre lèche alors les archivoltes de nos éclaboussures
Éclairant la nutation translucide de nos soifs infléchies
Jusqu’aux alcôves badines des paumes sur les échancrures
Des symbioses multiples de notre orée écarlate en roulis
Elle enchâsse les exubérances du tonnerre réduit en rafale
Entre les espiègleries rutilantes de nos effusions humides
Prises dans la manigance infinie de notre écrin abyssal
Où se nimbe la tourmente obsidienne des pupilles fluides
Fustigée sur l’étole d’une pluie de flammes en désorbite
Créé des voussures d’effluves rutilants les suées de braises
Des étoiles gourmandes des secousses glissendo du coït
Aux facéties sanguines d’estampes de lèvre à lèvre cabotines
Estompées sur le voile d’hermine des regards succombant
Où le taffetas des cinq sens se satellite aux fièvres mutines
Qui ruissèlent les molécules du grand canevas coalescent
Enjôlé dans les grâces de l’espace au manteau de silice
Des commissures de symbiose accrochée entre nos paumes
Où la timidité batifole dans la subtilité des axes du délice
Aux passions hélicoïdales des jonctions de nos dichotomes
Alors les prunelles s’écarquillent entre les fissures d’obstacles
De nos manigances sensuelles quand les désirs se font oracle
Alors les ellipses enjôlées vrombissent notre aura héliocentrique
En décoiffant les louanges infinis des pendules dodécaédrique
Dernière édition par poeteric le Ven 27 Fév - 7:01, édité 5 fois
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: défi aux beaux mots
Très jolis tours de force.
mention spéciale à la contraction d'Aude, qui nous a trouvé un éclafoutis d'échalotes" des moins savoureux... et qui ponctue de tèrs haute volée avec son "archéométrie qui démesure les cédilles orphelines".
Bref, j'enrage d'avoir bouclé la mise en page du volume que je vous ai envoyé (que je concède précoce) et ne pas avoir pu la recolorer avec ces beaux inserts.
Mais je sens que la prochaine n'est pas loin cette - ô combien dantesque - liste de mots qui arrive déjà...
Mention spéciale à des termes comme 100 % ou hub qui, ma foi, se chargeront d'aller bien ailleurs que ma liste de 1000 que je joindrais très bientôt.
PS : je me charge de la remise en page de la nouvelle liste, qui mérite un devoir de colonnes.
mention spéciale à la contraction d'Aude, qui nous a trouvé un éclafoutis d'échalotes" des moins savoureux... et qui ponctue de tèrs haute volée avec son "archéométrie qui démesure les cédilles orphelines".
Bref, j'enrage d'avoir bouclé la mise en page du volume que je vous ai envoyé (que je concède précoce) et ne pas avoir pu la recolorer avec ces beaux inserts.
Mais je sens que la prochaine n'est pas loin cette - ô combien dantesque - liste de mots qui arrive déjà...
Mention spéciale à des termes comme 100 % ou hub qui, ma foi, se chargeront d'aller bien ailleurs que ma liste de 1000 que je joindrais très bientôt.
PS : je me charge de la remise en page de la nouvelle liste, qui mérite un devoir de colonnes.
Re: défi aux beaux mots
On en est à 801.
Si je peux me permettre : la consultation du dictionnaire doit se faire dans le désordre... Cela serait souhaitable, ce qui permet de dissimuler la méthode et d'envenimer le discours d'autant...
Si je peux me permettre : la consultation du dictionnaire doit se faire dans le désordre... Cela serait souhaitable, ce qui permet de dissimuler la méthode et d'envenimer le discours d'autant...
:: sans orgueil :: défis
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