journal de bord
journal de bord
30102012
pourriez-vous percevoir votre bonheur telle une vaste illusion, vous ne vous berceriez que par votre aveuglement sur les murs de votre horizon, ceux que vous avez inconsciencieusement installé pour ne pas vous rappeler que dehors, des corbeaux gardent les tours de vautours égoïstes, paracheminant d'apparats et de breloques la véritable identité de vos métamorphoses, toutes dessinées dans le seul but de vous croire le tenant de vos aboutissements, croyant régir le contrôle de votre perte dans l'aboutissement de vos certitudes surfaites, à peine mésestimées par la quintessence de vos déguisements pompeux, lorsque votre sourire n'est qu'une déformation de votre visage anxieux, le cœur gercé par le vent polaire d'une solitude prête à tout pour ne pas se voir sur les traits de votre reflet, ainsi donc étiez vous capable d'oublier votre morne existence au profit de vos hébétudes platoniques, l'hédonisme au firmament de votre propre tromperie, en allant soupirer quelques mea culpa sur les poussières de cette humanité insalubre, pour repartir la tête haute entre vos jambes à votre cou, sur les chemins où vont les ruées vers l'or, sans détourner un regard sur la vermine osant essayer de vous égarer de votre richesse vous attendant les bras ouverts jusqu'aux veines, combien de cadavres devrez vous enjamber pour toucher le pactole de vos yeux en orbite, jusqu'à quel pujilat le sommet de vos attentes vous mènera par le bout de votre nez sens dessus pour ne pas être sans deux sous, emberlificotez vous de vos tracas somatiques, empoignez votre jouissance subordonnée à la communion de votre main tâtant dans votre poche la promiscuité de votre pognon, en roulant des mec-à-nique sur les trottoirs des passions éphémères qui se vendent au plus offrant, gravitez dans votre gravité maladive parce que la pillule du bonheur ne passe plus dans le gosier de votre cœur qui n'est plus que l'ombre de lui même, pauvres individualistes acclamant la loi du marché lorsqu'ils se sentent les gagnants de ce jeu de perdants pendus à leurs actes néolibéralistes avant d'aller pleurer devant la mort qu'ils ne sentent pas prêt à l'accueillir chez eux sans un passeport valable dûment remplis par la douane de leur remise en question tardive car le crédit de leur insolvabilité d'amour s'est épuiśe le jour où ils regardaient à la télé les autres mourir pour leur gloire de leur survivre en festoyant sur la table en marbre de la villa de leur tombe alors crachant bavant rouspétant du haut de leur idées en nubuck qu'il faut être débile pour s'occuper des autres quand on a tant à faire pour soi comme enfiler des perles en talons hauts avant de les jeter du lit à la rue et rejoindre la banalité confortable d'une soumission au système qui veut que c'est chacun pour ses draps de soie et les plus vaches seront bien gardées pour rendre inaudible le troupeau de mous tons s'élevant sinon le partage c'est le chaos pour les plus riches.
1803201
reflexions sans but hirsute de l'esprit troublion, jme débats les neuronnes dans un duvet dcoton
les murs ont drebonds les rumeurs retenues dans des explosions
au delà au deçi encore par là et puis fais si
joue la travolta le famas contre la masse
la nasse elle monte dans un des airs où sinatra remuerait les moindres raies d'un sable fin sur le relief des ombres tombées des larmes de nos ancètres sur des dunes éventrées
l'ombrelle faite des nuages propage l'onde du vent entre les rides terrestres
le soleil vaquoie sur des sentiers verdoyants
la prairie s'échappe au-dessus des clôtures
tout doit être hors phase
déjanté pris contre banalité
naît on plus propre à s'abrutir
la richesse de la vie est elle à s'agglutir
construire des tours et des détours
des stations transformant des pigeons en vautours
des rebellions au microscope sur des fleuves carmins
des avions sans réactions
des tanks qu'affairent
des ELI cooptèrent
dans un des temps perdus
pendus sur du spectaculaire
pour une barre toujours plus haute
parceque l'homme à chaque fois qu'il tressaute
soupçonne qu'on l'arçonne
larsin en somme
vous fûtes dans la rue la peur au fute
zut
un ballon peut s'arrêter
y'a tjrs qlq'un pour lshooter
but
là ôla vla la ola à vous vers l'au delà
les mains coupées
comment voulez vous applaudir
dix mannequins sur deux mètres carré
si chaque mode est un code mondial elle se communie d'alzeimer à alzeimer
qu'est ce que j'offre à mes gosses jveux pas qu'on les négoce
pour quel échange si rien ne change dans des mentalités de mésanges
pour quel messagé entendre que l'homme aime à dérapper sur son court circuit
et si rien ne dure quand on croît avoir sauté un autre dernier mur
et si ce thème des primes
entre des crises d'antennes
faut il sprendre des rateaux
pour finir dans le mauvais ratio
eau pourpre sans age
le long de nouveaux ruisseaux
tout est allant vers
pourriez-vous percevoir votre bonheur telle une vaste illusion, vous ne vous berceriez que par votre aveuglement sur les murs de votre horizon, ceux que vous avez inconsciencieusement installé pour ne pas vous rappeler que dehors, des corbeaux gardent les tours de vautours égoïstes, paracheminant d'apparats et de breloques la véritable identité de vos métamorphoses, toutes dessinées dans le seul but de vous croire le tenant de vos aboutissements, croyant régir le contrôle de votre perte dans l'aboutissement de vos certitudes surfaites, à peine mésestimées par la quintessence de vos déguisements pompeux, lorsque votre sourire n'est qu'une déformation de votre visage anxieux, le cœur gercé par le vent polaire d'une solitude prête à tout pour ne pas se voir sur les traits de votre reflet, ainsi donc étiez vous capable d'oublier votre morne existence au profit de vos hébétudes platoniques, l'hédonisme au firmament de votre propre tromperie, en allant soupirer quelques mea culpa sur les poussières de cette humanité insalubre, pour repartir la tête haute entre vos jambes à votre cou, sur les chemins où vont les ruées vers l'or, sans détourner un regard sur la vermine osant essayer de vous égarer de votre richesse vous attendant les bras ouverts jusqu'aux veines, combien de cadavres devrez vous enjamber pour toucher le pactole de vos yeux en orbite, jusqu'à quel pujilat le sommet de vos attentes vous mènera par le bout de votre nez sens dessus pour ne pas être sans deux sous, emberlificotez vous de vos tracas somatiques, empoignez votre jouissance subordonnée à la communion de votre main tâtant dans votre poche la promiscuité de votre pognon, en roulant des mec-à-nique sur les trottoirs des passions éphémères qui se vendent au plus offrant, gravitez dans votre gravité maladive parce que la pillule du bonheur ne passe plus dans le gosier de votre cœur qui n'est plus que l'ombre de lui même, pauvres individualistes acclamant la loi du marché lorsqu'ils se sentent les gagnants de ce jeu de perdants pendus à leurs actes néolibéralistes avant d'aller pleurer devant la mort qu'ils ne sentent pas prêt à l'accueillir chez eux sans un passeport valable dûment remplis par la douane de leur remise en question tardive car le crédit de leur insolvabilité d'amour s'est épuiśe le jour où ils regardaient à la télé les autres mourir pour leur gloire de leur survivre en festoyant sur la table en marbre de la villa de leur tombe alors crachant bavant rouspétant du haut de leur idées en nubuck qu'il faut être débile pour s'occuper des autres quand on a tant à faire pour soi comme enfiler des perles en talons hauts avant de les jeter du lit à la rue et rejoindre la banalité confortable d'une soumission au système qui veut que c'est chacun pour ses draps de soie et les plus vaches seront bien gardées pour rendre inaudible le troupeau de mous tons s'élevant sinon le partage c'est le chaos pour les plus riches.
1803201
reflexions sans but hirsute de l'esprit troublion, jme débats les neuronnes dans un duvet dcoton
les murs ont drebonds les rumeurs retenues dans des explosions
au delà au deçi encore par là et puis fais si
joue la travolta le famas contre la masse
la nasse elle monte dans un des airs où sinatra remuerait les moindres raies d'un sable fin sur le relief des ombres tombées des larmes de nos ancètres sur des dunes éventrées
l'ombrelle faite des nuages propage l'onde du vent entre les rides terrestres
le soleil vaquoie sur des sentiers verdoyants
la prairie s'échappe au-dessus des clôtures
tout doit être hors phase
déjanté pris contre banalité
naît on plus propre à s'abrutir
la richesse de la vie est elle à s'agglutir
construire des tours et des détours
des stations transformant des pigeons en vautours
des rebellions au microscope sur des fleuves carmins
des avions sans réactions
des tanks qu'affairent
des ELI cooptèrent
dans un des temps perdus
pendus sur du spectaculaire
pour une barre toujours plus haute
parceque l'homme à chaque fois qu'il tressaute
soupçonne qu'on l'arçonne
larsin en somme
vous fûtes dans la rue la peur au fute
zut
un ballon peut s'arrêter
y'a tjrs qlq'un pour lshooter
but
là ôla vla la ola à vous vers l'au delà
les mains coupées
comment voulez vous applaudir
dix mannequins sur deux mètres carré
si chaque mode est un code mondial elle se communie d'alzeimer à alzeimer
qu'est ce que j'offre à mes gosses jveux pas qu'on les négoce
pour quel échange si rien ne change dans des mentalités de mésanges
pour quel messagé entendre que l'homme aime à dérapper sur son court circuit
et si rien ne dure quand on croît avoir sauté un autre dernier mur
et si ce thème des primes
entre des crises d'antennes
faut il sprendre des rateaux
pour finir dans le mauvais ratio
eau pourpre sans age
le long de nouveaux ruisseaux
tout est allant vers
Dernière édition par poeteric le Mar 30 Oct - 23:13, édité 4 fois
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: journal de bord
26032010
danse bébé danse les autres tu t'en moques
nul besoin de piste pour naître en mille échos
vois comme s'élancent tes ondes équivoques
là même où t'existe loin de ton numéro
pète la juicy beach suis in suis up je groove
un grand sourire au lips le long de l'open bar
joue la toi so bitch les courbes en plein moove
pour secouer tes tits comme balaie un phare
ferme tes yeux denses ressens ces entrechocs
d'où ton coeur harpiste se pince entre tes lèvres
mordillant intense la nuit que tu disloques
lumière améthyste sur ta sueur orfèvre
can you feeling the light ton regard la capture
when you fly on the night comme une aube en l'azur
lol
denrées sensitives pour une émulsion corporelle, la loi des petits pas se contient dans la seule règle de se sentir bien.
faut il graver le moindre reliquat d'enchainement fluide pour absolument l'anoblir au panthéon des osmoses gestuelles, à ne pas y réfléchir le mieux est de poursuivre sans compter le nombre de pieds fournis pour en arriver à valser sur la tamise de ses rêves matriciels. sinon a quoi servirait il de se libérer si c'est pour se retrouver dans la boucle d'une réalité à ne dépasser que par mesure inquantifiable de se sentir hors du monde, juste quelques secondes, le temps de tournoyer sur l'élan gravitationnel de sa liberté, aussi bancale que des pas de cotés, aussi bluffant qu'un poing de coté, pour revenir d'une ronde aux volutes égarées sans s'effaroucher d'un retour à l'anormal lorsque le vitrifié s'en vient à vous stopper le regard encéphalogramme. pourriez vous échapper au stimulis des lois communes entre les prédilections de vos envies chevalières vous escaladeriez le moindre vésuve se boursouflant dans l'antre de vos secrets larvaires, prétextant la montée du silence pour en inventer des bruits, mais avez vous pensé à la démesure d'un contre sens lorsque vous larguiez des hortensias sur les menuets de votre diligence romanesque, quand en fait vous parsemiez la route aux pétales appaisantes d'un roulis d'estomac aux éclats aigres.
quelle platitude pourrait emmurer l'horizon si d'aucune certitude on obstrue sa raison.
danse bébé danse les autres tu t'en moques
nul besoin de piste pour naître en mille échos
vois comme s'élancent tes ondes équivoques
là même où t'existe loin de ton numéro
pète la juicy beach suis in suis up je groove
un grand sourire au lips le long de l'open bar
joue la toi so bitch les courbes en plein moove
pour secouer tes tits comme balaie un phare
ferme tes yeux denses ressens ces entrechocs
d'où ton coeur harpiste se pince entre tes lèvres
mordillant intense la nuit que tu disloques
lumière améthyste sur ta sueur orfèvre
can you feeling the light ton regard la capture
when you fly on the night comme une aube en l'azur
lol
denrées sensitives pour une émulsion corporelle, la loi des petits pas se contient dans la seule règle de se sentir bien.
faut il graver le moindre reliquat d'enchainement fluide pour absolument l'anoblir au panthéon des osmoses gestuelles, à ne pas y réfléchir le mieux est de poursuivre sans compter le nombre de pieds fournis pour en arriver à valser sur la tamise de ses rêves matriciels. sinon a quoi servirait il de se libérer si c'est pour se retrouver dans la boucle d'une réalité à ne dépasser que par mesure inquantifiable de se sentir hors du monde, juste quelques secondes, le temps de tournoyer sur l'élan gravitationnel de sa liberté, aussi bancale que des pas de cotés, aussi bluffant qu'un poing de coté, pour revenir d'une ronde aux volutes égarées sans s'effaroucher d'un retour à l'anormal lorsque le vitrifié s'en vient à vous stopper le regard encéphalogramme. pourriez vous échapper au stimulis des lois communes entre les prédilections de vos envies chevalières vous escaladeriez le moindre vésuve se boursouflant dans l'antre de vos secrets larvaires, prétextant la montée du silence pour en inventer des bruits, mais avez vous pensé à la démesure d'un contre sens lorsque vous larguiez des hortensias sur les menuets de votre diligence romanesque, quand en fait vous parsemiez la route aux pétales appaisantes d'un roulis d'estomac aux éclats aigres.
quelle platitude pourrait emmurer l'horizon si d'aucune certitude on obstrue sa raison.
Dernière édition par poeteric le Ven 9 Avr - 11:51, édité 1 fois
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: journal de bord
07022010
ponton de peau à peau esquissé dans le ciel
un chemin les envoie au bout de leur lumière
afin de porter haut leurs ondes sensuelles
s'échappant de leurs doigts comme ils respirent l'air
en toute humilité autour des milles lieux
le paysage au vent contre leurs deux statures
elle prend son amant parmi sa chevelure
sa peau amourachée en faisant qu'un de deux
la bouche étoilée sur cette épaule ronde
renverse son argent sur le dos de l'azur
la surface lissée au grés d'éclaboussures
quand des frissons ardents vont sous ses boucles blondes
et la lune inouïe entame son périple
dans l'ombre du dessein aux courbes aquarelles
en vol tout envahis par leur saveur mulltiple
au détroit aquilin de coeurs en caravelle
ponton de peau à peau esquissé dans le ciel
un chemin les envoie au bout de leur lumière
afin de porter haut leurs ondes sensuelles
s'échappant de leurs doigts comme ils respirent l'air
en toute humilité autour des milles lieux
le paysage au vent contre leurs deux statures
elle prend son amant parmi sa chevelure
sa peau amourachée en faisant qu'un de deux
la bouche étoilée sur cette épaule ronde
renverse son argent sur le dos de l'azur
la surface lissée au grés d'éclaboussures
quand des frissons ardents vont sous ses boucles blondes
et la lune inouïe entame son périple
dans l'ombre du dessein aux courbes aquarelles
en vol tout envahis par leur saveur mulltiple
au détroit aquilin de coeurs en caravelle
Dernière édition par poeteric le Mer 7 Avr - 15:45, édité 1 fois
poeteric- Nombre de messages : 933
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