La Nouvelle Divine Comédie_poème124_Hegel_Exemple
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La Nouvelle Divine Comédie_poème124_Hegel_Exemple
...........De ces âmes en vadrouille ignifugeant les siècles en autant de génies,
Je voyais maintenant qui traînait bredouillant le maître d’Iéna
Toujours en recherche de l’être, du concept, de ses vérités-là
Il parlait aux élèves alors bien entraînés, écoutant à l’envie.
............Ils s’étaient regroupés : Paulus et Niethammer, Marx et puis Adorno,
Tous, bel et bien défunts continuaient à chercher la pensée au galop
Qui fusait de partout lors de grandes synthèses en développement ;
En-dehors du réel, ils fixaient sa pensée pour un beau complément.
.............Je m’étais approché du maître bien troublé d’observer mon fantôme,
Il vit cet étranger qui passait comme ça, entendre ses axiomes
Et ne désira plus continuer sa pensée de peur des représailles.
Il crut que mon savoir avait bien intégré l’ensemble des trouvailles…
..............L’homme avait quelques airs toujours très renfrognés, mais il était affable,
Donnait l’explication à qui lui demandait, et je ne voulus point
Lui paraître un voleur en infirmant ses thèses, en étant misérable ;
Alors j’ai expliqué mon devoir de passage en simple collégien.
...............Je devais apprendre le savoir à sa source, arrivant de ses maîtres,
Pour voir le Paradis, me baigner de lumière et ainsi pouvoir naître.
Je lui ai confirmé que tous ces professeurs, perdus à l’univers,
Avaient cette mission d’enseigner l’origine à tous les voyageurs.
................« Je vais vous enseigner l’objet de mes recherches… Mais avant, s’il vous plaît,
Dîtes-moi, jeune ami, ce qui se déroula, dans ce monde imparfait,
Où les hommes ne sont les amis de l’esprit, préférant s’agiter
Dans les coins écartés où l’essentiel n’est pas le but de nos années ».
................« Maître, mon long devoir n’est pas d’interférer avec votre pensée ;
Elle contient assez en sa totalité la dialectique des siècles ;
Je ne voudrais jamais en un mot ou un autre alors vous faire obstacle…
S’il vous plaît, continuez à me montrer sagement vos sublimes idées ».
..................Je vis qu’un philosophe était aussi un homme avant d’être penseur,
Il accepta ce fait, puis courba la tête dans un geste mineur,
Il jaugea le grand vide et se dit qu’il fallait parler de sa Logique
En autant de clartés, de désirs de pensées dans la joie méthodique.
..................« L’homme doit s’effacer du produit des idées pour pouvoir ne garder
Que le grand système, car c’est l’Universel qui se voit à l’écrit
Et non heureusement, ces bruits du quotidien, particularités
Qui se montrent toujours en des traits ou d’autres dès que l’on se sourit.
..................« La Logique est médiane entre la Nature, l’Idée et puis l’Esprit :
L’Esprit est entendu comme l’activité subjective à l’Idée,
Tandis que la Nature, processus de l’Idée, est en soi objective ;
La conscience au travail : je l’avais appelée : Phénoménologie.
................« Elle se finissait sur l’aboutissement du savoir absolu :
Présence du sujet dedans sa liberté un sujet reconnu,
Mais il manquait alors l’ouverture au monde d’un présent historique
C’est l’objet logique qui mène assurément au concept absolu.
................« Je l’affirme plus tard, le concept qui parcourt la subjectivité
Se tend pour intégrer le royaume de l’Être ou de la liberté
Il s’engouffre partout et rien ne lui échappe, il s’offre dans l’histoire
Ses moments de grandeurs ; des peuples se battent pour graver sa mémoire.
Je voyais maintenant qui traînait bredouillant le maître d’Iéna
Toujours en recherche de l’être, du concept, de ses vérités-là
Il parlait aux élèves alors bien entraînés, écoutant à l’envie.
............Ils s’étaient regroupés : Paulus et Niethammer, Marx et puis Adorno,
Tous, bel et bien défunts continuaient à chercher la pensée au galop
Qui fusait de partout lors de grandes synthèses en développement ;
En-dehors du réel, ils fixaient sa pensée pour un beau complément.
.............Je m’étais approché du maître bien troublé d’observer mon fantôme,
Il vit cet étranger qui passait comme ça, entendre ses axiomes
Et ne désira plus continuer sa pensée de peur des représailles.
Il crut que mon savoir avait bien intégré l’ensemble des trouvailles…
..............L’homme avait quelques airs toujours très renfrognés, mais il était affable,
Donnait l’explication à qui lui demandait, et je ne voulus point
Lui paraître un voleur en infirmant ses thèses, en étant misérable ;
Alors j’ai expliqué mon devoir de passage en simple collégien.
...............Je devais apprendre le savoir à sa source, arrivant de ses maîtres,
Pour voir le Paradis, me baigner de lumière et ainsi pouvoir naître.
Je lui ai confirmé que tous ces professeurs, perdus à l’univers,
Avaient cette mission d’enseigner l’origine à tous les voyageurs.
................« Je vais vous enseigner l’objet de mes recherches… Mais avant, s’il vous plaît,
Dîtes-moi, jeune ami, ce qui se déroula, dans ce monde imparfait,
Où les hommes ne sont les amis de l’esprit, préférant s’agiter
Dans les coins écartés où l’essentiel n’est pas le but de nos années ».
................« Maître, mon long devoir n’est pas d’interférer avec votre pensée ;
Elle contient assez en sa totalité la dialectique des siècles ;
Je ne voudrais jamais en un mot ou un autre alors vous faire obstacle…
S’il vous plaît, continuez à me montrer sagement vos sublimes idées ».
..................Je vis qu’un philosophe était aussi un homme avant d’être penseur,
Il accepta ce fait, puis courba la tête dans un geste mineur,
Il jaugea le grand vide et se dit qu’il fallait parler de sa Logique
En autant de clartés, de désirs de pensées dans la joie méthodique.
..................« L’homme doit s’effacer du produit des idées pour pouvoir ne garder
Que le grand système, car c’est l’Universel qui se voit à l’écrit
Et non heureusement, ces bruits du quotidien, particularités
Qui se montrent toujours en des traits ou d’autres dès que l’on se sourit.
..................« La Logique est médiane entre la Nature, l’Idée et puis l’Esprit :
L’Esprit est entendu comme l’activité subjective à l’Idée,
Tandis que la Nature, processus de l’Idée, est en soi objective ;
La conscience au travail : je l’avais appelée : Phénoménologie.
................« Elle se finissait sur l’aboutissement du savoir absolu :
Présence du sujet dedans sa liberté un sujet reconnu,
Mais il manquait alors l’ouverture au monde d’un présent historique
C’est l’objet logique qui mène assurément au concept absolu.
................« Je l’affirme plus tard, le concept qui parcourt la subjectivité
Se tend pour intégrer le royaume de l’Être ou de la liberté
Il s’engouffre partout et rien ne lui échappe, il s’offre dans l’histoire
Ses moments de grandeurs ; des peuples se battent pour graver sa mémoire.
Re: La Nouvelle Divine Comédie_poème124_Hegel_Exemple
BANDAISON SANS TENSION
La conscience au travail
Est bien nommée phénoménologie
Encore faut-il qu'elle s'y mette
Ce qui n'est pas le cas
Sauf sous le joug de la torture
A laquelle la soumettent
Les agitées de la tulipe
Qui oublient le présent
Pour malaxer la poussière
Et en faire des patées de sable
La conscience au travail
Est bien nommée phénoménologie
Encore faut-il qu'elle s'y mette
Ce qui n'est pas le cas
Sauf sous le joug de la torture
A laquelle la soumettent
Les agitées de la tulipe
Qui oublient le présent
Pour malaxer la poussière
Et en faire des patées de sable
Re: La Nouvelle Divine Comédie_poème124_Hegel_Exemple
Il faut oser tenter
Cela n'est criminel
Conscience ou pas conscience
Il faut de la vaillance
Donnons un peu de sel
Aux relativisés.
La torture est principe
De la vie sous acide
Elle qui nous oblige
A donner nos exiges
Pour remplir le grand vide
Des non-pensées des VIP
C'est comme ça et puis merde
Le présent provient d'hier
Certains ne sont fantômes
Chacun exhum' qui veut
Dans des pages en chanceux
Et pourquoi pas Brantôme
Immortelle est la pierre
De ces livres sans perte
Cela n'est criminel
Conscience ou pas conscience
Il faut de la vaillance
Donnons un peu de sel
Aux relativisés.
La torture est principe
De la vie sous acide
Elle qui nous oblige
A donner nos exiges
Pour remplir le grand vide
Des non-pensées des VIP
C'est comme ça et puis merde
Le présent provient d'hier
Certains ne sont fantômes
Chacun exhum' qui veut
Dans des pages en chanceux
Et pourquoi pas Brantôme
Immortelle est la pierre
De ces livres sans perte
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