Imposture
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Imposture
IMPOSTURE
Les étoiles se taisent.
Elles meurent dans nos silences…
La nuit bâillonne l’aurore.
Les étoiles se taisent.
Elles mentent
Pour l’éternité d’un mystère.
Pourtant, elles brillent,
Sourire à la lune.
Les étoiles se taisent.
Elles meurent
Quand le poète
Ne croit plus en elles.
Les étoiles se taisent.
Elles meurent dans nos silences…
La nuit bâillonne l’aurore.
Les étoiles se taisent.
Elles mentent
Pour l’éternité d’un mystère.
Pourtant, elles brillent,
Sourire à la lune.
Les étoiles se taisent.
Elles meurent
Quand le poète
Ne croit plus en elles.
taiwk- Invité
Re: Imposture
démystification
les étoiles fredonnent
elles jouent de leur ultra voix
imperceptibles aux cinq sens
les étoiles fredonnent
elles ouvrent
l'infini immatériel
à la luxure irrationnelle
de la candeur
les étoiles fredonnent
elles vibrent
au coeur du poète
qui se contente d'admirer
bienvenue taiwk
les étoiles fredonnent
elles jouent de leur ultra voix
imperceptibles aux cinq sens
les étoiles fredonnent
elles ouvrent
l'infini immatériel
à la luxure irrationnelle
de la candeur
les étoiles fredonnent
elles vibrent
au coeur du poète
qui se contente d'admirer
bienvenue taiwk
Re: Imposture
Le crépuscule agite un drapeau rouge.
Une petite coccinelle
S'est posée sur une étoile filante
Qui a oublié son âge.
Une petite coccinelle
S'est posée sur une étoile filante
Qui a oublié son âge.
taiwk- Invité
Re: Imposture
alors les comètes passent.
elles explorent les corps artifices...
traînes fluos de leurs courses.
elles passent
leurs chevelures narguent le soleil.
pourfendantes,elles passent,
la chaleur les consume.
leurs tracés les peignent.
elles dessinent
quand les planètes
se croissent dans leurs vols
merci comète,c'était bon.
lol!
elles explorent les corps artifices...
traînes fluos de leurs courses.
elles passent
leurs chevelures narguent le soleil.
pourfendantes,elles passent,
la chaleur les consume.
leurs tracés les peignent.
elles dessinent
quand les planètes
se croissent dans leurs vols
merci comète,c'était bon.
lol!
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
imposture
Alors passent les comètes...
Artifice.
Elles explorent le silence.
Elles passent
Et se consument.
As-tu fait
Voeu d'éternité
En brûlant tes ailes
Au soleil,
Petite comète?
Artifice.
Elles explorent le silence.
Elles passent
Et se consument.
As-tu fait
Voeu d'éternité
En brûlant tes ailes
Au soleil,
Petite comète?
taiwk- Invité
Re: Imposture
si c'est une question
oui tu as raison
peur-être m'ai-je bruler les ailes
une comète astéroïdée
mais n'est-ce pas son dessein
briller tant que la route s'ouvre
entre des planètes en suspend
si c'est une affirmation
j'ai encore du carburant
regardes mes affusions
resplendir dans le temps
question: est-ce qu'on se connait
où pur allégorie poétique?
avec tout ces champs sous mon pulsar
je sais plus à qui me tromper.
oui tu as raison
peur-être m'ai-je bruler les ailes
une comète astéroïdée
mais n'est-ce pas son dessein
briller tant que la route s'ouvre
entre des planètes en suspend
si c'est une affirmation
j'ai encore du carburant
regardes mes affusions
resplendir dans le temps
question: est-ce qu'on se connait
où pur allégorie poétique?
avec tout ces champs sous mon pulsar
je sais plus à qui me tromper.
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
imposture
L'étoile
s'étiole
sur la toile.
Les comètes se croisent.
Elles s'ignorent.
Parfois se reconnaissent.
Mais n'est ce pas son "dessin"
au petit prince?
s'étiole
sur la toile.
Les comètes se croisent.
Elles s'ignorent.
Parfois se reconnaissent.
Mais n'est ce pas son "dessin"
au petit prince?
taiwk- Invité
Re: Imposture
la toile ne regarde pas la comête
elle ne voit que sa course en fin
je me crois toujours chez moi
c long à lire fatigué,j'ai fait marquepage,je l'ai jamais lu le petit prince...
et si je dois disparaitre je veux laisser une trace de tout cet amour qui est en moi
même si
elle ne voit que sa course en fin
je me crois toujours chez moi
c long à lire fatigué,j'ai fait marquepage,je l'ai jamais lu le petit prince...
et si je dois disparaitre je veux laisser une trace de tout cet amour qui est en moi
même si
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
éclipse
Une petite comète a traversé votre univers (presque par hasard!), le temps "d'une illumination", pour dire bonjour à d'anciennes connaissances... Elle vous souhaite partage, émotion sur ce site convivial!
(La comète repassera bien une autre fois dans votre galaxie, dans 10 ou 100 000 ans!)
Bises fulgurantes
kwiat (zut, j'ai inversé les lettres!)
(La comète repassera bien une autre fois dans votre galaxie, dans 10 ou 100 000 ans!)
Bises fulgurantes
kwiat (zut, j'ai inversé les lettres!)
taiwk- Invité
Re: Imposture
coquin!!! je me disais bien que cette écriture me disait quelque chose
mais quel était donc cet heureux hasard?
bien sur, on aimerait la fulgurance plus permanente...
au plaisir de te lire kwiat...
baisers d'éclairs pétrifiés
@ude
P.S. pour les curieux kwiat est aussi >> ICI <<
mais quel était donc cet heureux hasard?
bien sur, on aimerait la fulgurance plus permanente...
au plaisir de te lire kwiat...
baisers d'éclairs pétrifiés
@ude
P.S. pour les curieux kwiat est aussi >> ICI <<
Re: Imposture
LUCIOLE
Une chambre éclairée,
Luciole dans la nuit noire.
La fenêtre capture
Une étoffe de ciel étoilé.
A travers la lucarne
Palpite le cœur de l’univers
Une chambre éclairée,
Luciole dans la nuit noire.
La fenêtre capture
Une étoffe de ciel étoilé.
A travers la lucarne
Palpite le cœur de l’univers
taiwk- Invité
Re: Imposture
extravagance
des dentelles de tendresse
perlent aux paupières
souvenirs vaincus
de belles flambées de mots
allongent les veillées
aux abords de l'éveil
l'été s'éternise au coeur de l'amour spontané
luciole chromatique aux seins de velours
fanal au panache parfumé de silence
les mirages s'évaporent sous la transparence
gelées sereines laissant sourdre l'inégalable éclat
plénitude du vide
extravagance de l'inaccessible révélé
Novembre 2007
des dentelles de tendresse
perlent aux paupières
souvenirs vaincus
de belles flambées de mots
allongent les veillées
aux abords de l'éveil
l'été s'éternise au coeur de l'amour spontané
luciole chromatique aux seins de velours
fanal au panache parfumé de silence
les mirages s'évaporent sous la transparence
gelées sereines laissant sourdre l'inégalable éclat
plénitude du vide
extravagance de l'inaccessible révélé
Novembre 2007
imposture
Tendresse en dentelle
Les yeux sont cousus
De fils blancs
Les mots se consument
Dans l'âtre
Cendre ou mémoire
L'automne indien
Enflamme la forêt
Le silence crépite
Eva traverse le miroir
Nue désirable
Invisible
Révélation d'une inaccessible beauté
Les yeux sont cousus
De fils blancs
Les mots se consument
Dans l'âtre
Cendre ou mémoire
L'automne indien
Enflamme la forêt
Le silence crépite
Eva traverse le miroir
Nue désirable
Invisible
Révélation d'une inaccessible beauté
taiwk- Invité
Re: Imposture
allégeance
indifférence de marbre
lèvres entrebâillées
laquées d’ascèse
les notes s’élèvent
au nexus
pulpe d’omission
l’hiver de cristal
embrume la plaine
l’hymne sombre
les amants voguent
voilés de chasteté
transparents
simplicité d’un souffle partagé
indifférence de marbre
lèvres entrebâillées
laquées d’ascèse
les notes s’élèvent
au nexus
pulpe d’omission
l’hiver de cristal
embrume la plaine
l’hymne sombre
les amants voguent
voilés de chasteté
transparents
simplicité d’un souffle partagé
imposture
UNe petite comète est passée. Elle reviendra. Au printemps, c'est promis!
Bise d'hiver!
Bise d'hiver!
taiwk- Invité
promesse du printemps
Une promesse est une promesse!
DESSINE-MOI
Dessine-moi la lumière
Et la saveur des fruits gorgés de soleil,
La ronde des abeilles
Quand rayonne l’été.
Dessine-moi le vent
Et son voile transparent,
L’arbre-poète, la danse légère des feuilles
Quand fredonne l’automne.
Dessine-moi le silence
Et son manteau blanc,
La neige des souvenirs
Quand tourbillonne l’hiver.
Dessine-moi trois petites notes de musique
Et la symphonie des fleurs,
La chorale des oiseaux
Quand chantonne le printemps.
DESSINE-MOI
Dessine-moi la lumière
Et la saveur des fruits gorgés de soleil,
La ronde des abeilles
Quand rayonne l’été.
Dessine-moi le vent
Et son voile transparent,
L’arbre-poète, la danse légère des feuilles
Quand fredonne l’automne.
Dessine-moi le silence
Et son manteau blanc,
La neige des souvenirs
Quand tourbillonne l’hiver.
Dessine-moi trois petites notes de musique
Et la symphonie des fleurs,
La chorale des oiseaux
Quand chantonne le printemps.
taiwk- Invité
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