Compte-rendu d'une sortie de nuit
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Compte-rendu d'une sortie de nuit
Où s’épuisent les fleurs du ciel safran
Les parallèles jètent des pétales autogires
Entre les garrots serrés de ces amants
Décolorant les abscisses du jour saphir
Le crépuscule de leurs ombres moires
Serties par de bagues reflets aurifères
Déroule la traîne indue du grand soir
Sur les pas à pas vers l’autel de chair
Le voile du ciel se couche dans la nuitée des stèles du crépuscule au borderline des entrelacs d’aurores et des troisièmes tops de minuit pour en annoncer les transformations bigarrées des festivals de décadence permise dans les almanachs des points de rendez-vous où s’allient aux portes les belles envies à quatre épingles chevauchant les regards téméraires des ambitions consécutives aux conséquences des activations de phéromones déclenchés à même le palier gardé par les cerbères enchaînés à leur talkie-walkie en tirant sur l’oreillette pour en enclencher l’usufruit d’un sésame vers le son intermittent venant affoler les notes molletonneuses du fond du vestibule au garde manteaux et cerveau parce qu’on laisse au vestiaire les dernières résistances de nos tabous sous les lumières du jour pour en embraser la nuit les frivolités excentriques de nos débords inenvisageable dans le sens commun des discutions sans fond bardées d’indices de météo et autres incongruités de sujets sans importance quand sur la piste s’abandonnent les chapelets de l’innocence dans les contorsions préméditées des attirances à tout va se jetant au vol des échos dans des coups d’œil magistralement en recherche de cible mouvante telle un ball-trap de denrées physiques à croquer
Les avals concupiscents dérivent dans l’auditorium
Pourchassent les candidates libres de tout apesanteur
Les soulèvements d’épaules aux ondes aguicheuses
S’entremêlent aux filets d’amont des désirs à la jetée
Rattraper au plus pléthore des courants hasardeux
Pour enfin se dissoudre au corpuscule d’un mélange
Aux déshabillés languis de l’anti-chambre de la foule
Où les âmes s’éparpillent de leurs peaux diaphanes
Elles fondent aux zébrures siliciums des stroboscopes
Jusqu’aux jams des saccades de spots en lambeaux
Jouant de garnitures sur les vols luxés de couleurs
Attisant la curiosité sensuelle des courbes d’audimat
En mutation de sources aux côte à côtes submersibles
Surnageant des auréoles dans l’effondrement du sol
Pour les dilapider aux montées de sang des veinules
Aux codes renversés sur l’écart abstrait d’une vindicte
Intimant la poursuite d’une union sur des plans parallèles
Pour en vérifier les ombres positives des accords ozalids
Alors inscrits dans la génétique d’une passion brûlante
Distraite par le concert attrayant des calculs de joules
Inscris recto verso au carpe diem de leur vade-mecum
Comme autant de soupirs pour d’exaltations reçues
C’est à la volonté de l’auriculaire du dj bagué de disques de lever où non leurs bras en l’air pour justifier le tempo soutenant le rythme des sous-entendus aux entrelacs des bassins collés en entrevue de contacts invasifs d’ombres enserrées d’une formation impartiale de quelques minutes de noce test dans les allures d’un laisser aller nuptial parmi les voilées flanelles de leurs souffles baldaquins déliquescent les signatures mouvementées aux contractions des dérives de fantasmes ablatifs dépendant de l’onctuosité d’un absolu éphémère
Alors sous le patio du bar s’effeuille une faune de cocktails
Des plantes resplendissent aux derniers quantum de néons
Tout est prêt du débit de boisson aux ambianceurs à la cool
Des voyeurs prostrés font le guet en haut des tours de bouteille
Des décolletés se mesurent au dévouement de paroles inintelligibles
Entre des virgules de tchin-tchin et des épreuves de collations
Les mises en conformité se jaugent aux élaborations ravageuses
Les carcans irrationnelles se délient aux rapports métaphysiques
Le savoir est superflu devant la valeur des attirances de mœurs
L’entrechevauchement de regards verboquets copule dans les montées ballottines de leur épanchements cabotins en jouant du gambit dans des victoires de cartes gold à la Pyrrhus pour des semblants de vertigo des promises cuitées ne sachant plus sur quel barcarolle danser tellement d’avatars font comburant de leur lente descente vers la commotion des secousses univoques au premier passant pour s’inclure sans être définitif au choix intempestive des amants aux émanations thermiques sur les bastions d’une lubricité géostationnaire
Toute submersion de croquembouches recouvre le temps disparus
Certains sillonnent comme des squales avec leur ailerons d’envies
Quitte à retourner les vagues ensorceleuses de la salle suffocante
Pour se rabattre au premier aboutissement d’une fièvre vespérale
Certains noyés se raccrochent à fortiori sur des boudins de fortune
Histoire de pas rentrer dans l’abysse en attente de leur volontariat
Prêt à se laisser coopter aux exactions des mystères d’une attraction
Cis voulue entre les opportunités prolepses des tentations pseudos
La convergence des autofocus flashe l’axe central de la piste
Les madones s’immolent près des projections d’intempérances
Il n’est de bataille convaincu dans la déroute des sentiments
Seuls les troubles chaloupés dandinent les volutes carnassiers
Tant à se libérer autant enchaîner la chasse à cours en outrance
Et poursuivre la biche jusqu’à ses retranchements abandonnés
Pour la dépecer du complexe m’as-tu-vu en dégaine décoincée
Mettant un doigt de grimace sur l’engrenage d’un plaisir en mix’
Il y a ceux venu pour la zik
Ceux venu pour se défouler
Ceux venu loin de leur ennui
Ceux voulant se rapprocher
À l’état des grâces veloutées
Pour accroître à leur rhésus
Le velours du lien millésime
À l’alcool fort d’une passion
Il n’y a de pendules ni de tic-tac pour le Casanova renfrogné dans l’oubli du temps qui le chapeaute pour en aimer le confondre aux orées matinales sur fond des dernières restées dans leur état alambique de mousseline en mikado recommençant sans cesse de se trier sur le tas des envolées suaves à trembler aux délibérations d’un retour à la maison en solitaire dans la traversée de leur océan amer de se retrouver seul entre les draps
Il est toujours rigolo de les voir passer la soirée à parcourir les belles
Pour à la dernière heure se retrouver bredouille de leurs tentatives
Perso j’y vais pour danser j’aime l’osmose des notes et de mon corps
Quelques mois sans sortie me dérange pas la foule me fait des orties
Surtout dans leur effet pas trop classe de consommation de masse
J’ai jamais trop pécho suis pas ce dragueur au neurone invertébré
J’estime plus à vivre dans une relation profonde au charme contiguë
Aux droitures des émoluments en controverse sur cœurs tendances
Suis pas genre d’un soir pour une petite aventure dans une voiture
Comme si la vertu devait prendre vie dans l’entrepôt des mercantis
Renommant l’amour dans des réincarnations de métempsychoses
Mais bon c’est l’époque de l’asservissement des corporations esthètes
Juchant leur ambivalence sur le podium des tentations à se perdre
Ayant plus de saveur que d’être diriger par un système banque route
Zen je me lézarde au levé du jour
Entre un grand mur de nuage et mon coeur
Là où les lumières font leurs discours
Aux lins versicolores de leurs ardeurs
Le temps viendra à me donner fortune
De sa loterie d’amour sarabande
Sans aucun ultimatum ni lacunes
Je m’allonge sur ses champs de lavande
Suis-je saoul l’océan du ciel buvard
M’aspire de ses pailles boréales
Dans les virées de l’horizon d’un phare
Implosant dans la sphère d’une étoile
Je n’ai plus de corps je n’ai plus de peaux
Là sur la terre je ferme les yeux
Je suis au décors de tout vols astraux
Dans les poussières de ces libres cieux
Les parallèles jètent des pétales autogires
Entre les garrots serrés de ces amants
Décolorant les abscisses du jour saphir
Le crépuscule de leurs ombres moires
Serties par de bagues reflets aurifères
Déroule la traîne indue du grand soir
Sur les pas à pas vers l’autel de chair
Le voile du ciel se couche dans la nuitée des stèles du crépuscule au borderline des entrelacs d’aurores et des troisièmes tops de minuit pour en annoncer les transformations bigarrées des festivals de décadence permise dans les almanachs des points de rendez-vous où s’allient aux portes les belles envies à quatre épingles chevauchant les regards téméraires des ambitions consécutives aux conséquences des activations de phéromones déclenchés à même le palier gardé par les cerbères enchaînés à leur talkie-walkie en tirant sur l’oreillette pour en enclencher l’usufruit d’un sésame vers le son intermittent venant affoler les notes molletonneuses du fond du vestibule au garde manteaux et cerveau parce qu’on laisse au vestiaire les dernières résistances de nos tabous sous les lumières du jour pour en embraser la nuit les frivolités excentriques de nos débords inenvisageable dans le sens commun des discutions sans fond bardées d’indices de météo et autres incongruités de sujets sans importance quand sur la piste s’abandonnent les chapelets de l’innocence dans les contorsions préméditées des attirances à tout va se jetant au vol des échos dans des coups d’œil magistralement en recherche de cible mouvante telle un ball-trap de denrées physiques à croquer
Les avals concupiscents dérivent dans l’auditorium
Pourchassent les candidates libres de tout apesanteur
Les soulèvements d’épaules aux ondes aguicheuses
S’entremêlent aux filets d’amont des désirs à la jetée
Rattraper au plus pléthore des courants hasardeux
Pour enfin se dissoudre au corpuscule d’un mélange
Aux déshabillés languis de l’anti-chambre de la foule
Où les âmes s’éparpillent de leurs peaux diaphanes
Elles fondent aux zébrures siliciums des stroboscopes
Jusqu’aux jams des saccades de spots en lambeaux
Jouant de garnitures sur les vols luxés de couleurs
Attisant la curiosité sensuelle des courbes d’audimat
En mutation de sources aux côte à côtes submersibles
Surnageant des auréoles dans l’effondrement du sol
Pour les dilapider aux montées de sang des veinules
Aux codes renversés sur l’écart abstrait d’une vindicte
Intimant la poursuite d’une union sur des plans parallèles
Pour en vérifier les ombres positives des accords ozalids
Alors inscrits dans la génétique d’une passion brûlante
Distraite par le concert attrayant des calculs de joules
Inscris recto verso au carpe diem de leur vade-mecum
Comme autant de soupirs pour d’exaltations reçues
C’est à la volonté de l’auriculaire du dj bagué de disques de lever où non leurs bras en l’air pour justifier le tempo soutenant le rythme des sous-entendus aux entrelacs des bassins collés en entrevue de contacts invasifs d’ombres enserrées d’une formation impartiale de quelques minutes de noce test dans les allures d’un laisser aller nuptial parmi les voilées flanelles de leurs souffles baldaquins déliquescent les signatures mouvementées aux contractions des dérives de fantasmes ablatifs dépendant de l’onctuosité d’un absolu éphémère
Alors sous le patio du bar s’effeuille une faune de cocktails
Des plantes resplendissent aux derniers quantum de néons
Tout est prêt du débit de boisson aux ambianceurs à la cool
Des voyeurs prostrés font le guet en haut des tours de bouteille
Des décolletés se mesurent au dévouement de paroles inintelligibles
Entre des virgules de tchin-tchin et des épreuves de collations
Les mises en conformité se jaugent aux élaborations ravageuses
Les carcans irrationnelles se délient aux rapports métaphysiques
Le savoir est superflu devant la valeur des attirances de mœurs
L’entrechevauchement de regards verboquets copule dans les montées ballottines de leur épanchements cabotins en jouant du gambit dans des victoires de cartes gold à la Pyrrhus pour des semblants de vertigo des promises cuitées ne sachant plus sur quel barcarolle danser tellement d’avatars font comburant de leur lente descente vers la commotion des secousses univoques au premier passant pour s’inclure sans être définitif au choix intempestive des amants aux émanations thermiques sur les bastions d’une lubricité géostationnaire
Toute submersion de croquembouches recouvre le temps disparus
Certains sillonnent comme des squales avec leur ailerons d’envies
Quitte à retourner les vagues ensorceleuses de la salle suffocante
Pour se rabattre au premier aboutissement d’une fièvre vespérale
Certains noyés se raccrochent à fortiori sur des boudins de fortune
Histoire de pas rentrer dans l’abysse en attente de leur volontariat
Prêt à se laisser coopter aux exactions des mystères d’une attraction
Cis voulue entre les opportunités prolepses des tentations pseudos
La convergence des autofocus flashe l’axe central de la piste
Les madones s’immolent près des projections d’intempérances
Il n’est de bataille convaincu dans la déroute des sentiments
Seuls les troubles chaloupés dandinent les volutes carnassiers
Tant à se libérer autant enchaîner la chasse à cours en outrance
Et poursuivre la biche jusqu’à ses retranchements abandonnés
Pour la dépecer du complexe m’as-tu-vu en dégaine décoincée
Mettant un doigt de grimace sur l’engrenage d’un plaisir en mix’
Il y a ceux venu pour la zik
Ceux venu pour se défouler
Ceux venu loin de leur ennui
Ceux voulant se rapprocher
À l’état des grâces veloutées
Pour accroître à leur rhésus
Le velours du lien millésime
À l’alcool fort d’une passion
Il n’y a de pendules ni de tic-tac pour le Casanova renfrogné dans l’oubli du temps qui le chapeaute pour en aimer le confondre aux orées matinales sur fond des dernières restées dans leur état alambique de mousseline en mikado recommençant sans cesse de se trier sur le tas des envolées suaves à trembler aux délibérations d’un retour à la maison en solitaire dans la traversée de leur océan amer de se retrouver seul entre les draps
Il est toujours rigolo de les voir passer la soirée à parcourir les belles
Pour à la dernière heure se retrouver bredouille de leurs tentatives
Perso j’y vais pour danser j’aime l’osmose des notes et de mon corps
Quelques mois sans sortie me dérange pas la foule me fait des orties
Surtout dans leur effet pas trop classe de consommation de masse
J’ai jamais trop pécho suis pas ce dragueur au neurone invertébré
J’estime plus à vivre dans une relation profonde au charme contiguë
Aux droitures des émoluments en controverse sur cœurs tendances
Suis pas genre d’un soir pour une petite aventure dans une voiture
Comme si la vertu devait prendre vie dans l’entrepôt des mercantis
Renommant l’amour dans des réincarnations de métempsychoses
Mais bon c’est l’époque de l’asservissement des corporations esthètes
Juchant leur ambivalence sur le podium des tentations à se perdre
Ayant plus de saveur que d’être diriger par un système banque route
Zen je me lézarde au levé du jour
Entre un grand mur de nuage et mon coeur
Là où les lumières font leurs discours
Aux lins versicolores de leurs ardeurs
Le temps viendra à me donner fortune
De sa loterie d’amour sarabande
Sans aucun ultimatum ni lacunes
Je m’allonge sur ses champs de lavande
Suis-je saoul l’océan du ciel buvard
M’aspire de ses pailles boréales
Dans les virées de l’horizon d’un phare
Implosant dans la sphère d’une étoile
Je n’ai plus de corps je n’ai plus de peaux
Là sur la terre je ferme les yeux
Je suis au décors de tout vols astraux
Dans les poussières de ces libres cieux
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
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Ven 15 Jan - 16:40 par poeteric
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