D'énergies calines
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D'énergies calines
c’est entre les solutés de l’aurore
et la coagulation du ciel émeraude
lorsque le panorama s’édulcore
où les péninsules se marivaudent
que l'on contemple l’anamorphose
de l’océan et ses vagues pêle-mêle
fléchir les latitudes qui nous opposent
dans les ondoiements des étincelles
où ionise de ses roulis myosotis
l’orchestre de l’horizon noctambule
venu nocer son chant sur les rayons x
de leurs anatomies entre tes particules
duel de falbalas flanelles flamenco
à l'assymétrie de deux pouls tapageurs
en calligraphie d'amour centrifugeur
aux claquements d'ébat d'une union boléro
passion que déploie la forge des échos
aux chorégraphies dénudant les couleurs
charnelle asphyxie dissipée du coeur
en deux trois tours sur soi illusions de halos
au-dessus des remparts, pandores barricades,
fronton du ciel buvard l'océan en rambarde,
des baisers trémoussent d'éthérées fragrances
au feulement d'écarts s'élaguant d'une aubabe
la danse éclabousse volte coalescence
coïtant jusque tard l'éphémère en décades
la lune impavide de mires qui l’exhument
monte aux fulmicotons des flots parallactiques
parenthèse au vide tracée dans l’écume
sirupant le téflon d'un harem chromatique
dérive étendue terre en délinéât
persienne azurée nous nous tombons en l'air
citadelles nues lichen des éclats
la voûte boursouflée amalgame nos chairs
l’aube pyrolysée à crête de cashmeres
mêlée à l'embellie au regard d'un je t'aime
Entre les panachés d'une alliance à frémir
font pyrotechnies de frissons qui s'essaiment
tout ça s’assimile sur mixion d'auréole
ascensions d'un seul fil d'émulsions qui s'accolent
total métissage le charme ambidextrique
l'ivresse aux séductions d'empreintes molybdènes
donnant aux marquages kaléidoscopiques
l'estérification d'un tatoo érogène
cryodessiccations d'effusions adjacentes
au géosynclinal d'amants qui démantèlent
la flamme à l'addiction de lèvre à lave ardente
sur l'autre au piedestal d'un aimant en tutelle
paradigme uni vers les lieux d'hypertrophie
quand les corps s'accouplent de leurs condensations
alors le sel de mer devient quartz enrichi
aux actes en poupes d'une même éruption
nouvel eldorado où l'espoir cytokine
azuré peau à peau d'énergies calines
et la coagulation du ciel émeraude
lorsque le panorama s’édulcore
où les péninsules se marivaudent
que l'on contemple l’anamorphose
de l’océan et ses vagues pêle-mêle
fléchir les latitudes qui nous opposent
dans les ondoiements des étincelles
où ionise de ses roulis myosotis
l’orchestre de l’horizon noctambule
venu nocer son chant sur les rayons x
de leurs anatomies entre tes particules
duel de falbalas flanelles flamenco
à l'assymétrie de deux pouls tapageurs
en calligraphie d'amour centrifugeur
aux claquements d'ébat d'une union boléro
passion que déploie la forge des échos
aux chorégraphies dénudant les couleurs
charnelle asphyxie dissipée du coeur
en deux trois tours sur soi illusions de halos
au-dessus des remparts, pandores barricades,
fronton du ciel buvard l'océan en rambarde,
des baisers trémoussent d'éthérées fragrances
au feulement d'écarts s'élaguant d'une aubabe
la danse éclabousse volte coalescence
coïtant jusque tard l'éphémère en décades
la lune impavide de mires qui l’exhument
monte aux fulmicotons des flots parallactiques
parenthèse au vide tracée dans l’écume
sirupant le téflon d'un harem chromatique
dérive étendue terre en délinéât
persienne azurée nous nous tombons en l'air
citadelles nues lichen des éclats
la voûte boursouflée amalgame nos chairs
l’aube pyrolysée à crête de cashmeres
mêlée à l'embellie au regard d'un je t'aime
Entre les panachés d'une alliance à frémir
font pyrotechnies de frissons qui s'essaiment
tout ça s’assimile sur mixion d'auréole
ascensions d'un seul fil d'émulsions qui s'accolent
total métissage le charme ambidextrique
l'ivresse aux séductions d'empreintes molybdènes
donnant aux marquages kaléidoscopiques
l'estérification d'un tatoo érogène
cryodessiccations d'effusions adjacentes
au géosynclinal d'amants qui démantèlent
la flamme à l'addiction de lèvre à lave ardente
sur l'autre au piedestal d'un aimant en tutelle
paradigme uni vers les lieux d'hypertrophie
quand les corps s'accouplent de leurs condensations
alors le sel de mer devient quartz enrichi
aux actes en poupes d'une même éruption
nouvel eldorado où l'espoir cytokine
azuré peau à peau d'énergies calines
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: D'énergies calines
Il m'a fallu long pour revenir lire & venir relire, me donnant la joie nouvelle de redécouvrir un poème long d'une ode magnifique d'un style qui s'explose lors d'une prose qui s'arrête.
Emporté, je restai un peu plus et, presque jaloux, je quittai en tapotant mon départ.
Emporté, je restai un peu plus et, presque jaloux, je quittai en tapotant mon départ.
Re: D'énergies calines
FROTTEMENTS FÉLINS
D’une merveille remontée de l’aube
S’affranchissent hémophiles les corvées adamantines
Quand la voûte rentre dans ses architraves
Par-delà les isthmes qui devisent par cargos
Qu’un photographe saisit par zigzags louvoyants
Trempant sa pellicule dans un lac inondé
En retournant les méridiens sur leurs radicelles
Au-dessus du cône bleutée de l’incandescence
Où s’oxydent les âmes aux rameaux de printemps
Un soliste jouant sur un champs de tulipes flamandes
Venu oindre l’instrument d’effluves de corolles
Sur des pistils gonflés de nectar qui s’accordent
Métempsychose de choses atomiques en fusion
Un spectre fantomatique sur ton iris en passion
Paix lactée de corps enrobés de rumba en désordre
Enlacés par la fugue toccata de mesures asynchrones
À l’envers d’une logique mise en asystolie
Lisant à coeur ouvert la sémiolinguistique de tes chamailleries
Entre tes torts qui tiquent et ma vie en prière
Dans un couvent endiablé que bâtit notre solitude satisfaite
Cris champêtres d’une messe douce encorsetée
Dans l’or impalpable des saltimbanques spontanés
Défrisant la réalité avec leurs prestidigitations détournés
Incorporelle hyperventilation d’ardeur pulmonaire
Déposant âme qui vive sur une bouche étincelante
Goûtant aux feux-follets de soufre affamés de ta pulpe
Par-delà la digue, le trident des rochers où s’éraillent
Toute continuité continentale au frontispice de l’horizon
Qui calque une asymptote de génie où se frôle le jugement
D’une langue étirée par l’humeur humide de ton proche baiser
Toucher instinctif d’écarts de conduite lors d’une sérénade en nocturne
Sous le linceul d’un tissu de toi où me colle d’érection le désir
Chantonnant à plus soif nos retrouvailles maritales
Pénétrant jusqu’au vide des décennies de retard
L’astre en retrait s’inhume dans la nuit universelle
Revient aux supernovas sur une écliptique en tournis
Toute une obliquité à l’intersection regarde ce manège
Des deux corps alanguis d’une suave torpeur moite de pluies suspendues
Même les dernières particules de quanta prêtant leur matière à la loupe
Irradiée par une danse sexuelle que la matière inquantifie
Entre les guillemets d’un poème éclaté en roman
Quand les accolades des lèvres s’ouvrent où respire une sensation
Libérant des polysaccharides de soi serinant leur magnétisme
Aux tensions galactiques d’un gynécée en partouze
Un gouvernail détaché pour un navire en dérive
Sur les flots de la terre où s’engouffre l’opalin hublot de nos vies
Prenant la mesure des chimères qui nous apostrophent
Ces sphinx millénaires aux abords d’une dimension
Gardant le château-fort scrupuleux d’une mémoire commando
Sous les pas liquides des copulations parsemées d’azimuts
Le jour factorisé par nos relations de corps à effluves
Entre Éphèse & Antioche où l’on cache nos promenades importées de jade
Bordant le parc élyséen prédisant une météorologie du devenir
Puisque la foudre électrise les passions je t’aime
Hirsutant le décolleté où le regard s’affaisse
L’engourdissement lubrique d’une joie intoxiquée
Toujours ivre des chopes enlacées chutant de l’âme au cortex
Nos hémisphères vectorisés l’un dans l’autre d’un facteur commun
La cacophonie de l’amour dans l’hypophyse libérant sa sérotonine
Neurotransmetteur de passions idolâtres pour des endiablements factices
Sur le tourniquet en roue libre des sept merveilles du monde que tu dessines
Ces impressions émulsionnent l’âme qui tourne les peut-être en quiproquo
N’accédant jamais qu’au piédestal trônant mille lieux au-dessus des Anapurnas
Un point obscur de l’aube bleutée cherchant la flamme du jour levant aux côtés de toi
Point de succion sublimé par des températures chloroformées dans l’âtre de nos gorges
Jouissant d’un rayon de covalence sans fin à la conductivité thermique d’un amour ionisé
Par des atomes de vie qui prêtent serment sur la constitution anthropologique d’une géopoétique
Libérant des isotopes évangélisateurs de passion aux coins semblables d’un myriogone épanoui
Donnant aux vieilles scarifications des abîmes de vanités le point d’ancrage d’une beauté esthétisante
Où je cherche des points de vérité à un alphabet diurne sur des zonoèdres intactiles de pulsions érogènes
Découplant toute raison possible devant la nécrose des jours d’autrui non affranchis des amarres de la honte
Sur un plan convexe qui emberlificote les nacelles de secours voguant sur le crâne d’un peuple inondé de fautes
Que des couches macromoléculaires surpeuplent dans un linéament infini qui s’entortille autour d’un point de ressort
Qu’une hélicoïdale passion triphosphate parvient à grimper au piolet d’un geste d’amour se hissant au sommet des druides
Voyant ramages & ramures d’un seul tenant photoliquéfiés par l’envol voltaïque du sceptre de la divine conscience ensorcelée
Libérant les écumes de l’atome sur un plan unique que l’homme partage en humant le cosmos intergalactique du pardon
Via le regroupement cosmopolitique d’une cité affranchie des entraves cardiovasculaires des idéaux carnassiers de la rédemption
Tutelle haute d’une hypothèse de jamais
Au venin d’un orgasme libérateur de folies
Gravant dans un marbre de rien des idéalités
Et sur tes fesses en poupe l’image d’une jouissance
Amalgamant joies & peines sur les couches externes de l’atome
Comme une nouvelle recombinaison moléculaire des Dieux
Lors de notre traversée de la même secousse sismique
Aux confins du rêve qui étourdit toujours notre éveil
Car je te retrouve plus loin qu’ailleurs où tu me fuis
Nouvelle approche d’un paradis sur un lit de rivière
Où les Naïades jaillissent d’une mer en eau douce
Donnant l’extrême onction à une nuque en supplique
Au dernier mot qui s’écoule dans le pré de ta fécondation
Quand l’homme couche enfin la féminité du genre
D’une merveille remontée de l’aube
S’affranchissent hémophiles les corvées adamantines
Quand la voûte rentre dans ses architraves
Par-delà les isthmes qui devisent par cargos
Qu’un photographe saisit par zigzags louvoyants
Trempant sa pellicule dans un lac inondé
En retournant les méridiens sur leurs radicelles
Au-dessus du cône bleutée de l’incandescence
Où s’oxydent les âmes aux rameaux de printemps
Un soliste jouant sur un champs de tulipes flamandes
Venu oindre l’instrument d’effluves de corolles
Sur des pistils gonflés de nectar qui s’accordent
Métempsychose de choses atomiques en fusion
Un spectre fantomatique sur ton iris en passion
Paix lactée de corps enrobés de rumba en désordre
Enlacés par la fugue toccata de mesures asynchrones
À l’envers d’une logique mise en asystolie
Lisant à coeur ouvert la sémiolinguistique de tes chamailleries
Entre tes torts qui tiquent et ma vie en prière
Dans un couvent endiablé que bâtit notre solitude satisfaite
Cris champêtres d’une messe douce encorsetée
Dans l’or impalpable des saltimbanques spontanés
Défrisant la réalité avec leurs prestidigitations détournés
Incorporelle hyperventilation d’ardeur pulmonaire
Déposant âme qui vive sur une bouche étincelante
Goûtant aux feux-follets de soufre affamés de ta pulpe
Par-delà la digue, le trident des rochers où s’éraillent
Toute continuité continentale au frontispice de l’horizon
Qui calque une asymptote de génie où se frôle le jugement
D’une langue étirée par l’humeur humide de ton proche baiser
Toucher instinctif d’écarts de conduite lors d’une sérénade en nocturne
Sous le linceul d’un tissu de toi où me colle d’érection le désir
Chantonnant à plus soif nos retrouvailles maritales
Pénétrant jusqu’au vide des décennies de retard
L’astre en retrait s’inhume dans la nuit universelle
Revient aux supernovas sur une écliptique en tournis
Toute une obliquité à l’intersection regarde ce manège
Des deux corps alanguis d’une suave torpeur moite de pluies suspendues
Même les dernières particules de quanta prêtant leur matière à la loupe
Irradiée par une danse sexuelle que la matière inquantifie
Entre les guillemets d’un poème éclaté en roman
Quand les accolades des lèvres s’ouvrent où respire une sensation
Libérant des polysaccharides de soi serinant leur magnétisme
Aux tensions galactiques d’un gynécée en partouze
Un gouvernail détaché pour un navire en dérive
Sur les flots de la terre où s’engouffre l’opalin hublot de nos vies
Prenant la mesure des chimères qui nous apostrophent
Ces sphinx millénaires aux abords d’une dimension
Gardant le château-fort scrupuleux d’une mémoire commando
Sous les pas liquides des copulations parsemées d’azimuts
Le jour factorisé par nos relations de corps à effluves
Entre Éphèse & Antioche où l’on cache nos promenades importées de jade
Bordant le parc élyséen prédisant une météorologie du devenir
Puisque la foudre électrise les passions je t’aime
Hirsutant le décolleté où le regard s’affaisse
L’engourdissement lubrique d’une joie intoxiquée
Toujours ivre des chopes enlacées chutant de l’âme au cortex
Nos hémisphères vectorisés l’un dans l’autre d’un facteur commun
La cacophonie de l’amour dans l’hypophyse libérant sa sérotonine
Neurotransmetteur de passions idolâtres pour des endiablements factices
Sur le tourniquet en roue libre des sept merveilles du monde que tu dessines
Ces impressions émulsionnent l’âme qui tourne les peut-être en quiproquo
N’accédant jamais qu’au piédestal trônant mille lieux au-dessus des Anapurnas
Un point obscur de l’aube bleutée cherchant la flamme du jour levant aux côtés de toi
Point de succion sublimé par des températures chloroformées dans l’âtre de nos gorges
Jouissant d’un rayon de covalence sans fin à la conductivité thermique d’un amour ionisé
Par des atomes de vie qui prêtent serment sur la constitution anthropologique d’une géopoétique
Libérant des isotopes évangélisateurs de passion aux coins semblables d’un myriogone épanoui
Donnant aux vieilles scarifications des abîmes de vanités le point d’ancrage d’une beauté esthétisante
Où je cherche des points de vérité à un alphabet diurne sur des zonoèdres intactiles de pulsions érogènes
Découplant toute raison possible devant la nécrose des jours d’autrui non affranchis des amarres de la honte
Sur un plan convexe qui emberlificote les nacelles de secours voguant sur le crâne d’un peuple inondé de fautes
Que des couches macromoléculaires surpeuplent dans un linéament infini qui s’entortille autour d’un point de ressort
Qu’une hélicoïdale passion triphosphate parvient à grimper au piolet d’un geste d’amour se hissant au sommet des druides
Voyant ramages & ramures d’un seul tenant photoliquéfiés par l’envol voltaïque du sceptre de la divine conscience ensorcelée
Libérant les écumes de l’atome sur un plan unique que l’homme partage en humant le cosmos intergalactique du pardon
Via le regroupement cosmopolitique d’une cité affranchie des entraves cardiovasculaires des idéaux carnassiers de la rédemption
Tutelle haute d’une hypothèse de jamais
Au venin d’un orgasme libérateur de folies
Gravant dans un marbre de rien des idéalités
Et sur tes fesses en poupe l’image d’une jouissance
Amalgamant joies & peines sur les couches externes de l’atome
Comme une nouvelle recombinaison moléculaire des Dieux
Lors de notre traversée de la même secousse sismique
Aux confins du rêve qui étourdit toujours notre éveil
Car je te retrouve plus loin qu’ailleurs où tu me fuis
Nouvelle approche d’un paradis sur un lit de rivière
Où les Naïades jaillissent d’une mer en eau douce
Donnant l’extrême onction à une nuque en supplique
Au dernier mot qui s’écoule dans le pré de ta fécondation
Quand l’homme couche enfin la féminité du genre
Re: D'énergies calines
pseudonymes1 a écrit:Il m'a fallu long pour revenir lire & venir relire, me donnant la joie nouvelle de redécouvrir un poème long d'une ode magnifique d'un style qui s'explose lors d'une prose qui s'arrête.
Emporté, je restai un peu plus et, presque jaloux, je quittai en tapotant mon départ.
il m'en faudra un peu aussi
et tant mieux j'en ai
pour l'instant je te lis
et j'aime tes versets
à tout'
beau gosse
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: D'énergies calines
La digue éclaboussée à l’indigo diaphane
Aux chants d’alchimie des vagues sur la roche
La voie écumée transperçant les montagnes
Tremble aux amorties d’étoiles qui ricochent
Sur la lande étirée aux reflets mélomanes
Dorsale alunie de l’écliptique proche
Les paillettes d’orée étiolent du titane
Dans l’allotropie d’étreintes qui se pochent
Course noctambule désir supernova
La belle irradiation des astres en manège
Volte au molécules par-dessus les quanta
Des poudres d’évasion d’un baiser en solfège
Les peaux diagonales baignent dans leur délice
Les amants font égal jusqu’à leurs frontispices
Icône lactée de notre incandescence
dans l’asystolie d’effusions de corolles
La rumba saccadée à même pas de danse
Silhouette unie les ombres sur le sol
Renfle fugue enlacée entre synchrone essence
Aux chamailleries détroit de notre atoll
Le désordre enrobé aux pulsions d’évidences
Sur la plage infinie où tes yeux baby-doll
Les frissons feux follets le souffre étincelant
Parcourent guerre et paix le souffle des amants
Mesure impalpable d’amour métempsychose
Chaque aube où l’on renaît toccata tête au vent
La source invariable d’une rosée éclose
Éblouie au sommet nos pétales de sang
Merveille remontée au coeur adamantin
À l’apologie d’une lèvre architrave
Où la rive exaltée aux spectres du matin
Pourchasse ébahie les caresses concaves
Près d’un lac inondé des corps en terre-plein
La pulpe rafraîchie à l’aube de goyave
Zigzag l’eau bleutée sous un soleil d’étains
Nectar qui s’amplifie entre bouches suaves
Isthme aux deltoïdes la chair azulejo
Des âmes s’oxydent l’ivresse en caraco
Trempant aux méridiens des pulsions radicelles
Passion Atlantide cocktail bar vertigo
Aux éclats rétiniens des corps qui se morcèlent
Paille dans le vide sur courbe de ton dos
Aux chants d’alchimie des vagues sur la roche
La voie écumée transperçant les montagnes
Tremble aux amorties d’étoiles qui ricochent
Sur la lande étirée aux reflets mélomanes
Dorsale alunie de l’écliptique proche
Les paillettes d’orée étiolent du titane
Dans l’allotropie d’étreintes qui se pochent
Course noctambule désir supernova
La belle irradiation des astres en manège
Volte au molécules par-dessus les quanta
Des poudres d’évasion d’un baiser en solfège
Les peaux diagonales baignent dans leur délice
Les amants font égal jusqu’à leurs frontispices
Icône lactée de notre incandescence
dans l’asystolie d’effusions de corolles
La rumba saccadée à même pas de danse
Silhouette unie les ombres sur le sol
Renfle fugue enlacée entre synchrone essence
Aux chamailleries détroit de notre atoll
Le désordre enrobé aux pulsions d’évidences
Sur la plage infinie où tes yeux baby-doll
Les frissons feux follets le souffre étincelant
Parcourent guerre et paix le souffle des amants
Mesure impalpable d’amour métempsychose
Chaque aube où l’on renaît toccata tête au vent
La source invariable d’une rosée éclose
Éblouie au sommet nos pétales de sang
Merveille remontée au coeur adamantin
À l’apologie d’une lèvre architrave
Où la rive exaltée aux spectres du matin
Pourchasse ébahie les caresses concaves
Près d’un lac inondé des corps en terre-plein
La pulpe rafraîchie à l’aube de goyave
Zigzag l’eau bleutée sous un soleil d’étains
Nectar qui s’amplifie entre bouches suaves
Isthme aux deltoïdes la chair azulejo
Des âmes s’oxydent l’ivresse en caraco
Trempant aux méridiens des pulsions radicelles
Passion Atlantide cocktail bar vertigo
Aux éclats rétiniens des corps qui se morcèlent
Paille dans le vide sur courbe de ton dos
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: D'énergies calines
Re : Re + n d’Anthropie ad libitum de nos Énergies
Les pontons amarrés d’un cyan à tout ôcre
Délitent dans l’azur la mousse en ses pagodes
Bravant l’apostrophe d’un témoin qui ricane
Sur la jetée nectar des voisins qui fanfarent
Sur l’onde herboricole on voit tourner le fiacre
Attendre l’éclosion du Daphné simulacre
D’atomes en majesté faits d’or et de lichen
Quand monte le profil d’une aube kafkaïenne
Le Levant ne couche jamais à l’horizon
Les rayons irradiants qui peignent bouche-à-bouche
Les folies neutroniques qui crayonnent l’armure
Que l’aube fait parure en cheveux mnémoniques
Le dodécaphonisme joue la partition
D’un salto initié par un long violoncelle
L’anacrouse a parlé lors d’un ample prélude
Crochetant l’habitude autant que l’atténuant
Par le diminuendo d’un chacha aérien
Naviguant assez bien au milieu des fantômes
L’amour cunéiforme nos vies enveloppe
Assemblées d’arythmies dans un zeste pop-corn
Qu’éclate l’aphonie de notre oreille interne
Par la tiédeur farniente de nos polyphases western
Je te hume & t’éjecte en mon diurne sommeil
Ravivé d’avant-veille où sourit la mémoire
D’un tempo confiné de l’extase d’icelle
Car frétille le sexe vivant le Diable au corps
Fugues plurimorphiques entêtées d’harmonies
Déjouant Rouge et noir les habits aux chandelles
Dans des quartiers de jade où s’en vont les pucelles
Pour l’orgasme fauvesque en déploiement d’hapax
La tristesse s’écoule et tombent les pétales
Dans un moment d’automne où s’effeuillent les masques
Filles désincarnées des cendres du désir
Brûlant les porphyres d’un geste décoll’té
La fantasmagorie de la décollation
Assassine en été un reste de beauté
Sur des chemins Nerval sans toison ni Saint-Graal
Plein de foutre et d’entraves au milieu des entraxes
Où naviguent les faunes aux longs vers d’Euripide
La sirène surgit d’un sol d’ataraxie
Puis mendit son clairon d’un son en érection
Les chairs de nos quinze ans n’ont plus cette alchimie
Au-dedans des mystères faits d’hyperhypotaxes
Notre âme embastillée dans un pneumothorax
Où s’en va renaître la Saint-Barthelemy
Reste un ton de saphir sur un bleu de délice
Au milieu de l’absence et des mots qui s’enlisent
Vers la cours’ d’un seul pas où les corps se parfument
D’un mélange d’odeurs de poèmes & de rhum
Depuis un alambic où l’on fume l’esther
D’une pharmacopée quand le jour cocaïne
Infuse dans nos veines un texte en plein sourire
Les pontons amarrés d’un cyan à tout ôcre
Délitent dans l’azur la mousse en ses pagodes
Bravant l’apostrophe d’un témoin qui ricane
Sur la jetée nectar des voisins qui fanfarent
Sur l’onde herboricole on voit tourner le fiacre
Attendre l’éclosion du Daphné simulacre
D’atomes en majesté faits d’or et de lichen
Quand monte le profil d’une aube kafkaïenne
Le Levant ne couche jamais à l’horizon
Les rayons irradiants qui peignent bouche-à-bouche
Les folies neutroniques qui crayonnent l’armure
Que l’aube fait parure en cheveux mnémoniques
Le dodécaphonisme joue la partition
D’un salto initié par un long violoncelle
L’anacrouse a parlé lors d’un ample prélude
Crochetant l’habitude autant que l’atténuant
Par le diminuendo d’un chacha aérien
Naviguant assez bien au milieu des fantômes
L’amour cunéiforme nos vies enveloppe
Assemblées d’arythmies dans un zeste pop-corn
Qu’éclate l’aphonie de notre oreille interne
Par la tiédeur farniente de nos polyphases western
Je te hume & t’éjecte en mon diurne sommeil
Ravivé d’avant-veille où sourit la mémoire
D’un tempo confiné de l’extase d’icelle
Car frétille le sexe vivant le Diable au corps
Fugues plurimorphiques entêtées d’harmonies
Déjouant Rouge et noir les habits aux chandelles
Dans des quartiers de jade où s’en vont les pucelles
Pour l’orgasme fauvesque en déploiement d’hapax
La tristesse s’écoule et tombent les pétales
Dans un moment d’automne où s’effeuillent les masques
Filles désincarnées des cendres du désir
Brûlant les porphyres d’un geste décoll’té
La fantasmagorie de la décollation
Assassine en été un reste de beauté
Sur des chemins Nerval sans toison ni Saint-Graal
Plein de foutre et d’entraves au milieu des entraxes
Où naviguent les faunes aux longs vers d’Euripide
La sirène surgit d’un sol d’ataraxie
Puis mendit son clairon d’un son en érection
Les chairs de nos quinze ans n’ont plus cette alchimie
Au-dedans des mystères faits d’hyperhypotaxes
Notre âme embastillée dans un pneumothorax
Où s’en va renaître la Saint-Barthelemy
Reste un ton de saphir sur un bleu de délice
Au milieu de l’absence et des mots qui s’enlisent
Vers la cours’ d’un seul pas où les corps se parfument
D’un mélange d’odeurs de poèmes & de rhum
Depuis un alambic où l’on fume l’esther
D’une pharmacopée quand le jour cocaïne
Infuse dans nos veines un texte en plein sourire
Re: D'énergies calines
le jour où je prendrais un congé annuel
j'allouerais autant de plaisir que toi à écrire et écrire
en attendant je fais des phases
quand toi tu remplis mille cases
dediou !
kiss
j'allouerais autant de plaisir que toi à écrire et écrire
en attendant je fais des phases
quand toi tu remplis mille cases
dediou !
kiss
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: D'énergies calines
Un homme qui est plein de mille couleurs de rougit pas, à moins que nous soyons deux à rougir de mille contrastes écarlates.
Au sommet de son art, seul l'art compte et point la vanité d'une oubliette.
L'échange de ce ping-pong continue toujours d'un point qui ne sera jamais gagné.
Au sommet de son art, seul l'art compte et point la vanité d'une oubliette.
L'échange de ce ping-pong continue toujours d'un point qui ne sera jamais gagné.
Re: D'énergies calines
Confusion raffinée à même ta chapelle
L’évanescence aux lois de riffs pyrroliques
L’entrejambe accolé sur les valeurs charnelles
Aux vitraux de soie d’un éveil magnétique
Empreinte illimitée d’érosion visuelle
Entre les picotas d’un lierre épidermique
Frottis d’intimité qu’émotions déficellent
Fléchant de candelas les siphons extatiques
Chorus clavicules palpables serpentines
Les lueurs concrètes granulent les élans
Aux bassins qu’ondulent sur la grève divine
L’ébauche secrète de chavirer le temps
Souffles sur ta mèche rouleaux à nous frémir
Séant aux pourlèches l’entr’aperçu chavire
Lagon d’eau violetée archipel d’un trésor
Caché aux cambrures de ton panorama
Pulpe édulcorée pastel au bout des doigts
Les flux en fourrures des entre peaux fluors
Tectonique racée à l’ambre araucaria
Sous les chamarrures d’épis technicolors
Où l’effluve émincée au même météore
Brûle aux commissures des lèvres chinchillas
Cierge fondu de chairs par frôlement sismique
Cœurs aux riches terres paillettes chromatiques
Le rougeoiement bleu au silo de tes reins
Chambre hôtel des dieux le diable entre tes seins
Les murs au vent mohair de flammes cinétiques
Tournoyant sans milieu nos échos aériens
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: D'énergies calines
interprétation visuelle de pendantce
en pire perte
la résurgence se câbre
mille et un rêve
toujours même
aux bals cons des météores
l'effluve s'entête
et son sillage
trop plein de corolles
noue les cœurs choux-fleurs
en déperditions torrides
la carnation fluctue
sans jamais influer
sur le ton essentiel
la tessiture immuable
de l'éblouissement
Dernière édition par aude le Dim 22 Nov - 23:32, édité 2 fois
Re: D'énergies calines
L’aube en géomancie aux éclairs de kendo
Décelée où s’ourla notre ombre déparée
Rayonne aux girasols de pétales ketmies
Sur psyché califat qu’un soupir dégrafa
La robe d’accalmie où le levant rissole
Source déclarée que le vent déballa
Imprime aux albédos l’obscur et l’éclaircie
Décalco au credo d’amour chiromancie
Cannelle égarée coulis de candela
Spectral origami émergeant d’entresols
Le nuage en sofa où même on se chauffa
Emporte aérosol les comburants émis
Alors le ciel dévoila nos caprices fourrés
Par où se gracie la gamme aux libidos
Depuis ce gynécée au love sérénade
Opale vénerie à l’insu sensoriel
Le ciel encorseté entre des accolades
Coiffe les toupies de muscs corporels
La nuit parsemée en des notes de jade
Quand la galaxie s’érode dans le sel
Suit le décolleté qu’une rive gambade
Aux calques phonies de baisers becquerels
Cordelette plongeoir l’infini contre l’eau
Ligne encrée étreinte d’un iris écarlate
Longeant jusqu’aux pointes les courbes silicates
Au collerette espoir tissu de soubresauts
Les marques succinctes de collusions béates
Tamponnent le pochoir des corps en portfolio
Décelée où s’ourla notre ombre déparée
Rayonne aux girasols de pétales ketmies
Sur psyché califat qu’un soupir dégrafa
La robe d’accalmie où le levant rissole
Source déclarée que le vent déballa
Imprime aux albédos l’obscur et l’éclaircie
Décalco au credo d’amour chiromancie
Cannelle égarée coulis de candela
Spectral origami émergeant d’entresols
Le nuage en sofa où même on se chauffa
Emporte aérosol les comburants émis
Alors le ciel dévoila nos caprices fourrés
Par où se gracie la gamme aux libidos
Depuis ce gynécée au love sérénade
Opale vénerie à l’insu sensoriel
Le ciel encorseté entre des accolades
Coiffe les toupies de muscs corporels
La nuit parsemée en des notes de jade
Quand la galaxie s’érode dans le sel
Suit le décolleté qu’une rive gambade
Aux calques phonies de baisers becquerels
Cordelette plongeoir l’infini contre l’eau
Ligne encrée étreinte d’un iris écarlate
Longeant jusqu’aux pointes les courbes silicates
Au collerette espoir tissu de soubresauts
Les marques succinctes de collusions béates
Tamponnent le pochoir des corps en portfolio
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: D'énergies calines
Point trop faut-il y voir
Point d’ici ou là-bas pour mon aura d’iris
L’almicantarat fait d’or jamais n’alla si loin
Il partit au ponant sous l’azur consanguin
Puis fournit aux pillards un goût d’alocasia
Circumnavigation au poing d’un occiput
J’aimais voir un pulsar s’ouvrir sous l’horizon
Frôlant mon long crocus qui ornait un taxon
D’un safran franciscain qui croisait l’azimut
Tandis qu’au bout du port trois putains à la nuit
Un franc-bord importait à tribord sans tribu
Ainsi un vil marin consommant tout son saoul
Car il suait avili d’un travail baba cool
L’avion bronchait son gaz, l’on vit la Royal Air
Déployant un ballon sur la collimation
Tirant son uranium sur un sol d’os mohair
J’ai vu la décoction d’Allah sous combustion
Choc actif d’un tic-tac platinant un chrono
Par l’abrasion cobalt cocalquant son contrat
D’un grisou balbutiant collant sa mort-aux-rats
Dans dix millions d’assauts au son pianissimo
Contraint sans diagnostic, j’avais vu Agadir,
Mis un mot contralto au Glock d’un fandango
Qui froufroutait solo au la du piccolo
Alors qu’un virtuoso s’amusait par plaisir
Bombardons nos transfos, arrosons du napalm,
Buvons curaçao où l’alcool nous honnit
Dans un flot ondulant par tritons aux cambouis
Qui, croyant qu’à jamais, sous l’humus à Panam’
Nous pourrions anoblir un plancton sans raison.
Point d’ici ou là-bas pour mon aura d’iris
L’almicantarat fait d’or jamais n’alla si loin
Il partit au ponant sous l’azur consanguin
Puis fournit aux pillards un goût d’alocasia
Circumnavigation au poing d’un occiput
J’aimais voir un pulsar s’ouvrir sous l’horizon
Frôlant mon long crocus qui ornait un taxon
D’un safran franciscain qui croisait l’azimut
Tandis qu’au bout du port trois putains à la nuit
Un franc-bord importait à tribord sans tribu
Ainsi un vil marin consommant tout son saoul
Car il suait avili d’un travail baba cool
L’avion bronchait son gaz, l’on vit la Royal Air
Déployant un ballon sur la collimation
Tirant son uranium sur un sol d’os mohair
J’ai vu la décoction d’Allah sous combustion
Choc actif d’un tic-tac platinant un chrono
Par l’abrasion cobalt cocalquant son contrat
D’un grisou balbutiant collant sa mort-aux-rats
Dans dix millions d’assauts au son pianissimo
Contraint sans diagnostic, j’avais vu Agadir,
Mis un mot contralto au Glock d’un fandango
Qui froufroutait solo au la du piccolo
Alors qu’un virtuoso s’amusait par plaisir
Bombardons nos transfos, arrosons du napalm,
Buvons curaçao où l’alcool nous honnit
Dans un flot ondulant par tritons aux cambouis
Qui, croyant qu’à jamais, sous l’humus à Panam’
Nous pourrions anoblir un plancton sans raison.
Re: D'énergies calines
à cet amour qui me fuit...
levée de rideau d'une sphère pantoise
aux tréteaux du désir des cabales d’étains
rêve métallique d'une langue framboise
amadouant nos peaux s’écoulant de satins
Quelle ellipse en sphère que l’on se co-possède
J’avais bien vu du ciel de mon cœur Hubble d’homme
Venir à grand doppler ma si belle Andromède
Pour mâcher mon soleil j’en suis tout bubble-gum
Les jets de nos âmes sur feuilles apatrides,
Filent dans l’univers transperçant le néant,
Fluide aux perles de slam, diode à ta peau limpide,
Chantant depuis ces vers nos cœurs incandescents.
L’entre peaux en flammes sur la route du vide,
L’émotion au geyser du tarmac craquelant,
Vols camphrés aux charmes des éruptions hybrides,
Poche en cristal d’air le souffle des amants.
L’approche vitale des suées compactes
Abonde en symphonie au flux des flots de lyres,
S’en s’erre dans le bal des caresses contactes,
À la liturgie féconde du désir.
Nous comblerons le temps de l’ordre des secondes,
Quand un seul sentiment créera notre monde.
à matière espoir rive matelassée
parmi les luxions de reflets entêtants
une craie aigle noir pastel plûmes cendrées
perce aux combustions des chaos s'orbitant
entoile amoureuse de caresses tissées
ayant ambition d'effets euphorisants
quand lamente heureuse l'idylle sirotée
à vivisections de son prince charmant
bois moi à la lie s’offrant à tes coraux
cocktail en cadence de pulpes d'oxygène
l'ivresse empathie cuvée des vaisseaux
nectar de jouvence mes veines sont les tiennes
aspire transie mon plasma sforzando
assimile ma vie et vole de nouveau
flocons en rencontre qu'yeux sans vigiles lancent
à l'apostrophe écho mais me tempèrerais-je
sait-on aller contre cet éclat d'évidence
où les corps archichauds tempêtent de leurs n’ais-je
éclosions lactées place dérive aux songes
globules zizanie estampillant flâneur
la rue enlacée nous contemple et allonge
sa lumière ravie émoustillant nos coeurs
Bleu d'automne ciré les cieux au teint glaçant
serpillière l'été visages étrennant
saisons aux pourlèches des amants qui s'enivrent
voie cannelée de chutes en suspend
suturant les brèches des morsures de vivre
l'été à l'allée d'un baiser de printemps
Nues du bel hiver sculptures de glaçons
Les vapeurs s’échinent des entre corps thermiques
Où l’amour nous bruine de buées statiques
Virevoltant l’ère du drap de nos frissons
Lanières du vent froid d’un volatil exquis
Banquise à la lèvre d’une flambée extrême
Cou offert jusqu’au flanc tel un bûcher transi
Atteignant la fièvre de nos baisers grand schlem
Courses de deux amants dans l’étau stimuli
Flaques miroitées reflets de tigres blanc
La cime incontestée entre les sentiments
Des âmes s’éprenant du ciel vif où l’on frît
Alors les caresses bûchent d'écharpes chaudes
Halos d’une ivresse par le souffle d’une ode
Villes de courants d’air sous la nappe orangée
Du voile reluisant l’urbanisme aux souches
De champs réverbères le long de la vallée
Aux reflets confluant du fleuve qui les couche
Eau couchée aux reflets d’une étendue d’ambres
Teinte or en calfeutre sur l’horizon de miel
profonde et claire haie aux vagues de méandres
Sur la ligne au feutre des souffles de pastels
la course au mille éclats des couleurs de la vie
Traverse où se sombre cette chaume aux étoiles
pour aboutir au raz d’un arc-en-ciel surpris
sur la toison d’ombres de ta peau végétale
Imprimant les pigments de rayons aurifères
Le soleil transperce la voûte et ton visage
Où l’axe du levant rougeoie dans la sphère
Les chaleurs que bercent tes cheveux au rivage
Nous reluire aux flammes des éclats de nos va
La fierté à l’action de défaire les cieux
Projetant nos âmes dans le vol aux émois
Où braise la raison sur des roses en feu
Cœur recouvert d’été aux habits vaporeux
Gréant entre les peaux l’amour à répartir
Baisés portemanteaux sur les lèvres cashmeres
Au découvert halé à la fonte du feu
Combustion affolée au regard amoureux
La sève brasero écume nos soupirs
Éclats sans distinguo auprès de notre empire
Le ciel à tant brasser l’offrande de tes yeux
S'échoue la glaise des écrins fin filants
Telle une genèse de notre olympe en chant
Refrain poétique des terres de nos rêves
Soleil aux synthèses de ta crinière au vent
Où les flots cantiques te font parures d’Ève
L’or en parenthèse des étoiles d’argent
Toi et Moi
je clame cyclones vers cités versatiles
on/off no more enought la lueur happy end
vague ondoie hors zone l'enchassante tactile
où ton corps m'étoffe tes lands où je me scindes
des rayons me push me candlelife on the flow
rose argilacée coeur l'amont au sunset
fabulous fantasy univers stop and go
Prose macramée ton astre je lichette
l'éphémère infini effleure nos fractales
dreamdance on movie nothing to loose et gagne
sur ton cocktail-flammes drink your leaps on the rocks
ivresse euphorie désorbite cristal
Lampée à ton âme ton soleil m’uni-vogue
lune inavertie palmacée champagne
Frissons purs de vie du shine et hapiness
Flottant comme nos coeurs telle une île en dérive
Passent les jours les nuits sur face yes de nos PEP’S
L'esplanade aux lueurs de collines si vives
Passion nucléée d’un amour véritable
En plein apesanteur des combustions de sens
Sur le tapis de fleurs d’une régénérescence
Cellule embrasée de tout cœur oxydable
Je veux dès cet hiver goûter tes plus beaux fruits
Fraise floconnée ta peau montée en neige
J’effuse entre ces vers ton corps de chantilly
Afin de savourer tes soupirs qui s’allègent
Le réel se gomme nos regards s’affranchissent
Superposent en vol les corps en production
subjectives sommes s’étiolant de l’iris
Au fur qu’ils se collent plus forts en connexion
Au livre à ciel ouvert d’une empreinte carmine
Nos effluves jasmins délient le ruban
Du cuir au vent de l’air par où volent les rimes
Entre flots de nos mains contre deux corps ruffians
Je n’ai de combine que liaisons imparfaites
Frasque où s’amoncelle la pluie alphabétique
D’où je pérégrine par poignées de lettres
Le long des margelles des inspis poétiques
Entre tumulte et paix la passion qu’on essaime
Renverse ‘ à mie jet ’ dans nos cœurs des ’ Je T’aime '
journée d’amoureux mesurée éblouie
à la connivence rejetant les défauts
les coeurs létal en feu ondulent leurs survies
à l’unique échéance de s’offrir en écho
papillons dans les yeux guirlandes de l’envie
les opales dansent les lampions vibratos
sur la piste des cieux la soyeuse harmonie
de l’amour s’élance spiralée au duo
vapeur à rosée pétales d’épiderme
l'une à l’UN enliée aux lettres que l’on sème
gravitant aux pactes d’emphases courtisanes
la beauté drapée comme être soie même
cours l’horizon cobalt d’une extase océane
Caresse murmurée entre perles de gemme
Prenant en modèle tes prunelles carats
En scellant tes lèvres du baiser d’une alliance
De tes yeux ma belle j’ai cerclé tes éclats
Pour monter l’orfèvre des feux qui se fiancent
J’ai fais cheval de toit la voûte que je selle
Puisse t’il d’une danse nous mener à nos rêves
Tu te hisses à moi frissons sensationnels
La course commence sur les bords de nos sèves
Cœurs aux roulés-boulés le décor nous effleure
Donnant au littoral les faisceaux d’une union
Où l’attrait dévoué aux choix révélateurs
Assermente le val de l’aube et ta vision
Blanche robe vêtue au palais des liés
Emblème suspendue à même la mariée
aux tréteaux du désir des cabales d’étains
rêve métallique d'une langue framboise
amadouant nos peaux s’écoulant de satins
Quelle ellipse en sphère que l’on se co-possède
J’avais bien vu du ciel de mon cœur Hubble d’homme
Venir à grand doppler ma si belle Andromède
Pour mâcher mon soleil j’en suis tout bubble-gum
Les jets de nos âmes sur feuilles apatrides,
Filent dans l’univers transperçant le néant,
Fluide aux perles de slam, diode à ta peau limpide,
Chantant depuis ces vers nos cœurs incandescents.
L’entre peaux en flammes sur la route du vide,
L’émotion au geyser du tarmac craquelant,
Vols camphrés aux charmes des éruptions hybrides,
Poche en cristal d’air le souffle des amants.
L’approche vitale des suées compactes
Abonde en symphonie au flux des flots de lyres,
S’en s’erre dans le bal des caresses contactes,
À la liturgie féconde du désir.
Nous comblerons le temps de l’ordre des secondes,
Quand un seul sentiment créera notre monde.
à matière espoir rive matelassée
parmi les luxions de reflets entêtants
une craie aigle noir pastel plûmes cendrées
perce aux combustions des chaos s'orbitant
entoile amoureuse de caresses tissées
ayant ambition d'effets euphorisants
quand lamente heureuse l'idylle sirotée
à vivisections de son prince charmant
bois moi à la lie s’offrant à tes coraux
cocktail en cadence de pulpes d'oxygène
l'ivresse empathie cuvée des vaisseaux
nectar de jouvence mes veines sont les tiennes
aspire transie mon plasma sforzando
assimile ma vie et vole de nouveau
flocons en rencontre qu'yeux sans vigiles lancent
à l'apostrophe écho mais me tempèrerais-je
sait-on aller contre cet éclat d'évidence
où les corps archichauds tempêtent de leurs n’ais-je
éclosions lactées place dérive aux songes
globules zizanie estampillant flâneur
la rue enlacée nous contemple et allonge
sa lumière ravie émoustillant nos coeurs
Bleu d'automne ciré les cieux au teint glaçant
serpillière l'été visages étrennant
saisons aux pourlèches des amants qui s'enivrent
voie cannelée de chutes en suspend
suturant les brèches des morsures de vivre
l'été à l'allée d'un baiser de printemps
Nues du bel hiver sculptures de glaçons
Les vapeurs s’échinent des entre corps thermiques
Où l’amour nous bruine de buées statiques
Virevoltant l’ère du drap de nos frissons
Lanières du vent froid d’un volatil exquis
Banquise à la lèvre d’une flambée extrême
Cou offert jusqu’au flanc tel un bûcher transi
Atteignant la fièvre de nos baisers grand schlem
Courses de deux amants dans l’étau stimuli
Flaques miroitées reflets de tigres blanc
La cime incontestée entre les sentiments
Des âmes s’éprenant du ciel vif où l’on frît
Alors les caresses bûchent d'écharpes chaudes
Halos d’une ivresse par le souffle d’une ode
Villes de courants d’air sous la nappe orangée
Du voile reluisant l’urbanisme aux souches
De champs réverbères le long de la vallée
Aux reflets confluant du fleuve qui les couche
Eau couchée aux reflets d’une étendue d’ambres
Teinte or en calfeutre sur l’horizon de miel
profonde et claire haie aux vagues de méandres
Sur la ligne au feutre des souffles de pastels
la course au mille éclats des couleurs de la vie
Traverse où se sombre cette chaume aux étoiles
pour aboutir au raz d’un arc-en-ciel surpris
sur la toison d’ombres de ta peau végétale
Imprimant les pigments de rayons aurifères
Le soleil transperce la voûte et ton visage
Où l’axe du levant rougeoie dans la sphère
Les chaleurs que bercent tes cheveux au rivage
Nous reluire aux flammes des éclats de nos va
La fierté à l’action de défaire les cieux
Projetant nos âmes dans le vol aux émois
Où braise la raison sur des roses en feu
Cœur recouvert d’été aux habits vaporeux
Gréant entre les peaux l’amour à répartir
Baisés portemanteaux sur les lèvres cashmeres
Au découvert halé à la fonte du feu
Combustion affolée au regard amoureux
La sève brasero écume nos soupirs
Éclats sans distinguo auprès de notre empire
Le ciel à tant brasser l’offrande de tes yeux
S'échoue la glaise des écrins fin filants
Telle une genèse de notre olympe en chant
Refrain poétique des terres de nos rêves
Soleil aux synthèses de ta crinière au vent
Où les flots cantiques te font parures d’Ève
L’or en parenthèse des étoiles d’argent
Toi et Moi
je clame cyclones vers cités versatiles
on/off no more enought la lueur happy end
vague ondoie hors zone l'enchassante tactile
où ton corps m'étoffe tes lands où je me scindes
des rayons me push me candlelife on the flow
rose argilacée coeur l'amont au sunset
fabulous fantasy univers stop and go
Prose macramée ton astre je lichette
l'éphémère infini effleure nos fractales
dreamdance on movie nothing to loose et gagne
sur ton cocktail-flammes drink your leaps on the rocks
ivresse euphorie désorbite cristal
Lampée à ton âme ton soleil m’uni-vogue
lune inavertie palmacée champagne
Frissons purs de vie du shine et hapiness
Flottant comme nos coeurs telle une île en dérive
Passent les jours les nuits sur face yes de nos PEP’S
L'esplanade aux lueurs de collines si vives
Passion nucléée d’un amour véritable
En plein apesanteur des combustions de sens
Sur le tapis de fleurs d’une régénérescence
Cellule embrasée de tout cœur oxydable
Je veux dès cet hiver goûter tes plus beaux fruits
Fraise floconnée ta peau montée en neige
J’effuse entre ces vers ton corps de chantilly
Afin de savourer tes soupirs qui s’allègent
Le réel se gomme nos regards s’affranchissent
Superposent en vol les corps en production
subjectives sommes s’étiolant de l’iris
Au fur qu’ils se collent plus forts en connexion
Au livre à ciel ouvert d’une empreinte carmine
Nos effluves jasmins délient le ruban
Du cuir au vent de l’air par où volent les rimes
Entre flots de nos mains contre deux corps ruffians
Je n’ai de combine que liaisons imparfaites
Frasque où s’amoncelle la pluie alphabétique
D’où je pérégrine par poignées de lettres
Le long des margelles des inspis poétiques
Entre tumulte et paix la passion qu’on essaime
Renverse ‘ à mie jet ’ dans nos cœurs des ’ Je T’aime '
journée d’amoureux mesurée éblouie
à la connivence rejetant les défauts
les coeurs létal en feu ondulent leurs survies
à l’unique échéance de s’offrir en écho
papillons dans les yeux guirlandes de l’envie
les opales dansent les lampions vibratos
sur la piste des cieux la soyeuse harmonie
de l’amour s’élance spiralée au duo
vapeur à rosée pétales d’épiderme
l'une à l’UN enliée aux lettres que l’on sème
gravitant aux pactes d’emphases courtisanes
la beauté drapée comme être soie même
cours l’horizon cobalt d’une extase océane
Caresse murmurée entre perles de gemme
Prenant en modèle tes prunelles carats
En scellant tes lèvres du baiser d’une alliance
De tes yeux ma belle j’ai cerclé tes éclats
Pour monter l’orfèvre des feux qui se fiancent
J’ai fais cheval de toit la voûte que je selle
Puisse t’il d’une danse nous mener à nos rêves
Tu te hisses à moi frissons sensationnels
La course commence sur les bords de nos sèves
Cœurs aux roulés-boulés le décor nous effleure
Donnant au littoral les faisceaux d’une union
Où l’attrait dévoué aux choix révélateurs
Assermente le val de l’aube et ta vision
Blanche robe vêtue au palais des liés
Emblème suspendue à même la mariée
Dernière édition par poeteric le Lun 14 Déc - 10:38, édité 1 fois
poeteric- Nombre de messages : 933
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