Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Rechercher
 
 

Résultats par :
 


Rechercher Recherche avancée

Mots-clés

2013  2010  2012  2014  

Derniers sujets
» compil de textes
accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour EmptyVen 15 Jan - 16:40 par poeteric

» Eros
accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour EmptyMar 26 Aoû - 13:09 par pendantce

» Premier Moment de l'Instant
accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour EmptyMar 26 Aoû - 13:07 par pendantce

» Amour Besoin
accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour EmptyMar 26 Aoû - 13:06 par pendantce

» Laissons Tout Reposer
accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour EmptyMar 26 Aoû - 13:05 par pendantce

» Etouffement
accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour EmptyMar 26 Aoû - 13:03 par pendantce

» Les goëlands
accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour EmptyMar 26 Aoû - 13:02 par pendantce

» Le Drapeau et le Paravent
accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour EmptyMar 26 Aoû - 13:01 par pendantce

» La Terre et le Propos
accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour EmptyMar 26 Aoû - 13:00 par pendantce

Mai 2024
LunMarMerJeuVenSamDim
  12345
6789101112
13141516171819
20212223242526
2728293031  

Calendrier Calendrier

Partenaires

créer un forum

      

-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour

Aller en bas

accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour Empty accrostiche à la pseudo et autres méfaits d'amour

Message par poeteric Ven 4 Sep - 19:49

Au bilan météo de ce pas bel été
Échoué sous des trombes d'eau
Le ciel n'était que de bleu ténu
Quand tant de poètes ont posté
Dans leur coin leur intense aveu

À tous ces textes qui s'emmêlent
Le plaisir est le seul et bon quota

Après c'est suivant si t'es happé
Les contextes tous au bon tempo
Aux puretés de songes illuminés
Par le port de mots en caresses
Dédicaçant les instants de saisie
Souvent avec une encre de feu

Il se dénombre ici des amoureux
Prêt à scander pour leur déesse
En chantant leur corps accotés

Les sentiments se mettent à nue
Des louanges jusqu'aux peines

C'est un flux qui jamais ne cesse
Tous les écrits à la queue leu leu
Par des génies où des hurluberlus
Se croisent quand ils s'interpellent

Des maux de coeurs se vouent au passé
Certains parlent le présent par sursaut
D'autres délibèrent d'un futur imprévu
Le plus important c'est pas d'être fier
Mais au prêt de son coeur et son éclat
Celui qui vous prend le bas de l'aine
En étant en phase avec votre sincérité

Après c'est chacun sa traduction…

Aurais je l'évanescence d'une échappée belle
Le bouleversement d'une dramaturgie ensorcelante
Comme l'irraison d'une sourdine hypnotisée par un chant
Le ravissement sardonique d'un jeu de duels
Comme se tapir à la moindre hâte de se recouvrir de frénésie
Le rachis de nos coeurs en secousses concomitantes
Comme se cacher derrière les sensations du parcours des aimants
La fiction des fantasmes fixée sur tes yeux en plein axe
Comme dériver d'un isolement sulfureux à une diablerie
La pâleur d'un soupir ébroué dans l'éboulement d'une tendresse
Comme dévaler les champs azalées au travers d'une côte ardente
L'androgynie des spasmes sous mélopée de la lune au sax
Comme l'extinction d'une mécanique imprimant des identités
La certitude d'un mystère assombri au corpuscule d'une ivresse
Comme l'ascension d'un exploit par une facilité déconcertante
La transfiguration vertigineuse d'une métamorphose
Comme la négation soumise à une appréhension dépassée
La portée d'une poussée à se mélanger de stances d'exaltations
Comme laisser notre écoute s'attentionner au moindre ébat ébloui
Le roulis en roue libre de nous enrôler dans un spi rose
Comme fendre la mer de ta peau sur des creux chaloupant
La subculture des anges prélassés au chant d'une évangélisation
Comme plonger dans des papillotes d'argent au revers de rubis
La sépulture embrumée d'une vapeur de passion séreuse
Comme astreindre le nouvel air d'une idylle à notre dépend
La collision d'empressements dans la trame d'une spontanéité
Comme agir gauchement par une débauche de contrôle à vif
La délicieuse attirance de frôler les flots d'une nébuleuse
Comme quitter l'esplanade d'un regard pour se culminer en planant
La gravitation ascensionnelle d'une mise en pulsion extensionnelle
Comme réinventer le fuselage du plastron de l'infini expansif
La ferveur délicate de s'abandonner à nous unir encore
Comme remplir de nous le vide laissé vaquant des laques du néant
La redondance au cycle imprévu d'une mis en boucle originelle
Comme la possibilité de se répéter multiplier par photo syncope
La vendange du feu sur les vignes du désir à cueillette d'or
Comme déguster l'arome déliant de tes brûlures abruptes
L'externalisation moelleuse d'un épanchement soudain
Comme la virulence de ton épanchement limbaire m'enveloppe
La délivrance fantasmagorique d'un substrat sentimental qui rode
Comme amadouer la meilleur position d'une extase à la lutte
La répercussion des entrechocs sur des chemins sans fin
Comme s'arraisonner de nos sonar aux perditions des abysses
La révolte à lisière électrique aux entrelacs du néant qu'on maraude
Comme lancer les éclairs de nos frottis au fronton qui s'édulcore
La sublimation d'un débordement des subtilités qu'on propage
Comme instaurer la dérive d'une griffe en impact sur tes cuisses
La réminiscence gestuelle d'une profusion de geintes parcimonieuses
Comme reluire aux étincelles pour que leur brasier nous dévore
La satisfaction neurologique d'étendre l'embrasement d'un encrage
Comme court-circuité la rareté d'une profusion de chaque instant
La sublimation d'une dévalorisation corporelle à charge audacieuse
Comme s'arc-bouter à la mutinerie d'une dévolution délinquante
La fertilité phénoménale d'une effervescence de phéromones
Comme n'être plus que l'imprégna suivant et l'imprégna suivant
La naissance d'une assimilation au brûlot chuchoté à concupiscence
Comme à genoux déclamer la réalité d'une métabolique avenante
La sensation effusée d'étreindre les fuseaux baignés à l'ozone
Comme y repaît à plus d'un titre l'abondance de notre uniformité
La fuite d'une chape calorifère formant des nuages de recrudescence
Comme bafouer l'illusion d'un trouble en balayant tes cheveux
La dématérialisation environnante au profit d'un rêve en vol
Comme s'animer sur la cime d'une vérité à souder nos deux entités
La volontarisme du hasard à conjurer nos sorts entre ses inconnus
Comme s'égarer aux éclaboussures des serments entre amoureux
La hiérarchisation chaotique d'un big-bang d'éros en symbole
Comme admirer la gravure fragile d'une promesse éternelle
La plénitude gravitationnelle d'un marasme de méli-mélo suspendu
Comme déstabiliser une ferveur par des intentions de brassage
La primauté d'une extinction ravissante dans un dédale d'amour
Comme la stimulation d'une renaissance au vas viens vers l'essentiel
La gageur de stimuli en synthèse synonymique d'alliance de flux
Comme s'arrondissent les pourtours de nos mouvances au fer rouge

J'aime la vanille de ton cornet friand
Sous les chaleurs maltées d'un grand ciel menthe à l'eau
Où l'astre en pupille nous regarde brillant
Sur le sable doré où longeant l'haut des flots

L'écume pétille sur l'horizon fondant
Au paysage iodé s'en halant de halos
Qu'un soleil habille ce tableau en suspend
Sur la traîne bleutée soumise à son flambeau

Verrons nous ensemble sur le véloce mauve
D'une orbite ingénue dénudant les étoiles
Dans la lisière ambre de mille faisceaux fauves
Soupirant l'aube à vue où nos corps font entoile

Là-bas s'émoustille ton pouls surprend ma peau
Des livrées de vrilles retournent les coraux
Du cépage doré aux pastels dissolues

Là-bas s'entrejambe l'affront de deux grands voiles
Du jour qui se cambre sous la nuit en saroual
Découpant l'alcôve des parcelles du temps

De ton corps investir je veux y prendre part
À l'entrée des chaleurs de ton ventre battant
Aux tumultes soupirs des frissons à l'amarre
Je vois bien des lueurs dans tes yeux palpitants

S'arpente le désir sur ta peau macassar
Les ombres s'effleurent toi sur moi je m'étends
Ton regard m'attire tes courbes m'accaparent
D'un long baisé rythmeur tu montes et descends

J'aime aller dans le sens de tes ardeurs sauvages
En prenant d'avance tes écarts de langage
Sur l'air bénéfique d'un trouble salvateur

Mes mains à tes hanches suivent l'ample voltage
À ton viens qu'enclenche mon vas qui te propage
Pendant qu'on s'applique de nous donner en chœur

Tel le manteau indélébile du ciel en plume de paon
Tel l'alternance
De ces brillances
de nuit des ombres
d'une lumière qui sombre
Tel la rumeur de faisceaux résistant au roulé boulé d'une orbite

Il n'est plus de temps
Aux passagers en surplace
Regardant loin devant
En repensant à hier et plus

Il naît moins de printemps
Depuis l'automne en glace
Les jours passent et le vent
Fond la neige qu'il ramasse

Il n'haie plus au sarment
D'enlierrer les palissades
Grimpant continuellement
Des souvenirs en façade

Il n'hait moins d'originalité
D'une boule au ventre en fonte
À l'instar d'une curiosité
Hors d'haleine à lire un décompte

Il n'est plus de temps
Aux substituts du réel lasse
S'hagardant souvent
De contre effets qui convulsent

Il naît moins de décalage
Qu'une vague mortifère
Accueillant dans son sillage
Des heures faites de lumières

Il n'haie plus d'un timing pile
Dans l'agenda des saisons
Les rendez-vous s'estampillent
Dans des micros liaisons

À l'assistanat d'oxygène par boite de douze j'ai déclipsé l'opercule de ma fenêtre libérant la première vague d'écume de mon âme dans l'étouffement de la pollution à inhaler le rejet rageur du dégazement d'un trop plein de torpeur à s'agiter en moi pour que sa pulpe à terre remonte de son goût amer aux pétillements d'un cocktail sucré de vivre de quand même, comme une plume perdue d'un oiseau à l'autre bout de la terre viendrait me servir de stylo pour écrire la première lettre de ton nom dans la forme d'une lande d'archipels, pour en écrire la deuxième dans les rivières en lacets d'une forêt aux feuilles d'émeraudes, j'aimerais assez apprécier la troisième entre les bigarrures péninsulaires du parchemin étalé des rives de nuages sous le soleil dériveur, voici donc à tant de mots somptueux le seul assez important pour apposer ta quatrième lettre au panthéon du dictionnaire des cœurs synonymes inventant ainsi toute une liste de possibilités quand ton nom les supplante toutes quand tu frôles intentionnellement ma main pour te serrer contre moi, alors les autres lettres de ton nom s'assimilent à chaque angle où ma vision se surprend à t'apercevoir partout. Je bois au goulot la liberté échappée des émanations de ta bienveillance. Je me laisse à ce que tu me donnes comme je prends le temps de répondre à mes frissons reçus pour te rendre avec certitude la subjugation intime de te chuchoter en secret ton nom en moi autant de fois qu'il me plait de l'accompagner de toute la tendresse investis dans les caresses des regards collatéraux, aspirés, peut être y aura-t-il la somme exact des similitudes de notre encourt au grès d'un tatouage éphémère sur le cristal d'arc des peaux juchés au dessus du four de l'osmose où nos souffles donnent la forme de l'emphase pour la remplir des fleurs de notre communion, qu'en serait t-il à l'apanage encéphale d'une émission de douceurs cutanées lorsque d'un doigt je peints avec toi les estampes d'un panache de frissons. La précédente et l'idée suivante se regarderaient abasourdies de nous être formés dans la matière d'une homogénéité où seul règne une essence précieuse aux saveurs des dilutions de l'intime. Pas de meilleur. Pas de podium. Juste la précision d'un don de soi. Pas de dépassement de l'autre, juste la satisfaction de courir en sentant sa force gravir d'explosivité la piste du point a à pas plus loin qu'une ligne d'arrivée ayant la même distance aux cheveux Prêts Partez mon souffle se relève du starting bloc de ton cou et je m'élance en bondissant dans le couloir de ta colonne où au bout de quelques mètres franchis à parcourir tes lignes suaves tu commences déjà à te prélasser dans l'exploit d'une différence dubitative quand je continue d'avancer pour t'extasier devant les foulées de ma puissance à dépasser les bornes des possibilités marquées en bas de la coupe de tes reins qu'un chrono enjambe lorsqu'en affolant les compteurs de tes limites il tombe de quelques dizaines de centièmes pour lui quand meurt tout un monde pour l'homme et la femme le réinventant à leur effigie. Au concours de la plus belle photo finish nous prenons chaque instant comme un nouveau départ. Le matin nous effaçons les tablettes homologuées la veille. L'après midi étouffant d'un été dévolu à diluer l'assèchement au point telle que notre nudité s'habille des dernières perles incolore dans la transparence de nos peaux mates en sueur s'assombrit soudain à l'éclipse de ton corps sur le mien. Emmitouflés dans le drapeau des apatrides nous multiplions les tours d'honneur devant la foule acquise d'une poignée de nous-mêmes s'applaudissant dans des olas d'étreintes.

Quadrillage baliverne sur péremption d'il fut un temps récitée par chaque époque succincte en montant des marches par douze mètres de profondeurs quand les abysses savent atteindre l'omniprésence d'un noir total accroché aux lampions des diverses phosphorescences d'une faune ayant pris vie entre les flammes du néant dans la vitrine de mes yeux en bobine d'une vingt cinquième image de ta main qui me guette sur ta peau qui se révèle jusqu'aux bretelles fines de tes épaules offertes à mon entre dedans sans boussole ni équarrissage de ta cuirasse d'écrevisse dans la houle des marées de mon corpus sur toutes les partitions de ton campus symphonique avec tes yeux majorettes délibérant sur le choix du meilleur saut d'un laissé aller entre les virevoltes des aléas d'une pirouette de ma bouche sur ton bouton rose aspirée par tressaut de bouffées entre les lissures maltées de tes lèvres irish coffe flottant un matin frais sur l'esplanade d'un lac d'écosse et les rochers éboulant de ses falaises le long de golfes pourpres tout ça poncé entre tes iris en pierres alignées sous le vent du temps sculpteur d'œuvres minimales découvertes dans la période d'après dés hibernation des cloches de Pâques fondant ses grelots dans la révolte des unions les nuits de saint valentin par des couples de loup dithyrambique déversant continuellement leur ardeur boulimique sur les reflets d'argent de tes prunelles en reconversion sur la vapeur obscure présentant d'une cape d'invisibilité la jurisprudence de toute alimentation cryogénique dans le caisson d'un seul cœur apostrophé sur les bigarrures désappointées d'un entichement trans pondérale à la vacuité insubordonné d'une catéchèse plurifonctionnelle à un seul orgasme diffus d'une condensation de sieste récréative dans la brièveté d'une fin de midi allongée sur le canapé à zapper entre tes jambes dénudées et l'entière valeur de ta brumisation opiacée aux effleurements d'une hégémonie à notre désordre préétablie sur les repères de nos traces d'adéquation restées marquées à même le tissu de l'absolu nous ayant donné la solution consensuelle de notre état hors prédilection qu'une avancée de caresses farouches à la récompense d'une attente de saveur en miction de notre globalité et l'appréciation de nos diversités bio métrique calquant la solution exact d'un éparpillement de notre somme d'irrationnelle tant la valeur d'un corps trempé dans le fourmillement d'une expansion cubique sous les alvéoles déshydratante du soleil rampe une antépénultième dernière fois sur le tapis de souvenirs brodés des quintessences du canevas de nos positions corrompues par les contremarques du destin insoupçonnable tant la valeur de sa candidature à nous diviser reste sujet à l'insubordination de nos saturations d'appels incessants sous mise en demeure de se rapprocher d'une ivresse infalsifiable bouillonnante entre les fjords de nos prunelles dans la cache d'une mégalopole traversée par les omnibus à combustion de mon souffle sur ta peau en fibre de carbone où ta poitrine élégante se part belle sur mon torse à griffer des dernières sensations de ton vertige à mes coups rebelles pour enfin t'emmener sur ma moto avec comme seul casque le ciel.

poeteric

Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser