à la lumière d'une réveil investis
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à la lumière d'une réveil investis
Le ciel s’avouait sur les rondins de l’horizon, des chaleurs suffoquaient l’immensité en pourvoyant le décors de milles teintes tenues à leur découverte. Il n’est plus du soir qu’un matin qui traîne, un bleu métaphore les idées au réveil lumineux d’une nuit passée à deux. Il n’est plus de lune que son squelette phosphorescent, sa pâleur fantomatique est le reste d’une marque au feu d’argent. Il n’est plus d’argent en reflets qu’un jour qui les efface sur sa toile magique, les enfants du soleil se ressourcent en prenant des bains d’oxygène sulfuré dans sa piscine à dissoudre. Aurions nous veillez dans le camp de nos discutions, chacun à retrancher son opinion sur le drapeau blanc marqué en bas du matelas par des accords de signatures, nous en aurions trouvé la négociation entre les fils d’Orion et un seul regard en guise d’affront. Alors dans le chant matinal d’une tranquillité transcendante, j’écoute moins attentivement le moindre frottis résulté d’une enlaçade embryonnaire que deux cœurs sous la cascade d’ampère en halogène sur le continent de notre repère qui s’éclaire aux variations d’une haute saison où l’on devient des fleurs buvant une rosée calorifères. Quel plongeon plus immergent que de nager dans cet état sauvage, au loin la ville rappelle au balcon fenêtre ouverte les bruissements de notre union, je ne sais plus qui écoute les roulements de l’autre. Mais chacun reste attentif à l’inaltération de leur poursuite à observer leur troubles bénéfiques. Surtout dans le calme d’une effusion lente. Il est des reviens en surface quelques flashs en retour fugace d’une précision d’un moment fut il long où intensément bref. Existe-t-il un ordre des choses, à s’être aimer dans tous les sens nous nous sommes semer en nous découvrant. Alors, quand vient déjà midi tout en haut d’une caresse arrogante, que les peaux croustillent à chaleur ventilée, nous nous enveloppons aux saris de quelques bourrasques brûlantes, aux moelleux des papilles de nos chairs inhalées. C’est là la naissance de l’amour, entre ce qui s’effleure et les émanations du nouveau jour, entre exultation désanxiogène d’une logique naturelle relâchant ses principes de combinaisons différentes pour les lier au même schéma d’une adhésion en osmose, qu’on oublie que l’on s’apprend à demi-ton en lançant des serments à tâtons. La révélation d’une attraction mystérieuse est à posteriori du à la probabilité d’une relation magnétisée de frictions parfumeuses. Nous nous consumons à même les solutions choisies au résultat sans test de nos échantillons. Éparses côte à cote j’écris sur ton dos de la plume de mes doigts des poèmes où ton bassin bat en rimes. Je conte les grains de ta beauté qui m’inspirent à les contourner de mille façons à les surprendre par le flanc, je sens bien que tu me lis à chaque réaction honorée d’être à la tension de nos saveurs dans leurs accents.
Dis t’aurais l’heure ?
Plus dans mon cœur !
Allez dis moi j’ai rendez vous…
Moi aussi, ô t’es là c’est fou !
Arrêtes c’est sérieux.
Une heure au mieux.
Suis bien entre tes bras. Je veux pas en voir la fin.
Si t’as un petit creux, tu veux des pâtes carbonara ?
Toi tu sais faire ça ?!
J’ai bien su récolter le sucre de tes yeux dans la distillation de leurs raisins ! Veux tu encore boire au goulot de nous deux à la fontaine des rasades à même nos mains,
Je préfèrerais quand même un verre
C’est du moins vivre d’un nécessaire
J’espère alors que t’as minimum une douche
Je te répondrais que si tu t’y lave la bouche
Hey mais tu me cherches occupes toi de la bouffe !
À mon désordre de votre sensualité, majesté, j’ai de prêt besoin, à quelques ingrédients épicés se trouvant bien cachés contre moi, et j’aimerais assez les redisposer dans leur dispersions substantielles à un état de poudre dans un nuage d’ivresse.
Bah si t’as un bain de vapeur je suis partante
Hey mais j’ai un jacuzzi à bulles massantes. J’ai mis des petites baffes kabass et un boomer en dilettante. Un écran sur pied de quelques pouces. Va t’installer dans le hammam à ouverture minutée sur le thermostat de ton intérieur indélébile en sueur. Tu mangeras ensuite en te détendant avec une coupelle le vin de l’ambiance au velours du bois sous la charpente de ma salle d’eau, là où la poutrelle côtoie le lac bleu d’un grand velux donnant sur l’après-midi anamorphosé au bien d’être de la vue d’une plage d’or en dedans d’un hors de soi dès lors que deux corps font fort de se supplier plusieurs fois. Autant qu’un remoud peut atteindre la rive pour sembler rejoindre d’où elle semble déjà vouloir aller pour revenir à nous relancer au loin avec elles. Il est bon dans ma position assise face à et l’horizon allant traîneur et ton visage gémissant ton bonheur de ne rien sentir d’autre que le chant de notre stagnation à nous chevaucher.
J’aime assez à te regarder nue dans les courbes détachées de ton naturelle à ma poigne.
Comme aller sous tes cheveux pour en menotter ta nuque d’abord d’une main ferme pour ensuite la laisser se relâcher aux crissements statiques de mes ongles au circuit de pétards palpitants sur le redressement des arêtes de ton bassin qui se cambre au moindre retentissement explosif d’une bulle de nerf dénoué. Bien sur les ipod ont des réveils métriques qui calculent le meilleur moment pour nous sortir de notre état suspensif quand la belle avait prévu d’être avertie qu’elle devait s’absenter.
Le velux ouvert une horde de brume laisse peu à peu place à la pièce vide, pas un bruit de porte qui claque, et dans le salon y’a juste mon costume mes habitudes mes clics et mes clac, faut dire le tout un peu en vrac avec mon esprit pris de court dedans. J’ai tout de suite cherché la trace témoin de ton irréalité envoûtante, sous les oreillers le lit et ce probable reste de lavande épicé de ton charme roborant. J’aurais pas du fumer ce joint écrasé dans le cendrier. Mais bon c’était le premier en deux mois. Mais où je l’ai eu ce sheet m’en rappelle plus. Même la pire des polices pourrait tenter, je n’aurais le début d’un aveu à me compromettre.
Alors depuis cet après midi qui retombe
Pour mieux brûler l’instant d’après
J’écris en me levant doucement à l’ombre
De ta lumière est ce que je rêvais
Je vais aller faire un tour pour voir
Si par hasard je te reconnais
Tellement j’ai pu t’apercevoir
Aux baisers qui nous liaient
Sous un crépuscule sensuel
Depuis j’attends qu’elle m’appelle…
Si tant est qu’elle est mon numéro
Ouah je sais plus ce qu’est réel
Mais d’où il venait ce bédot
Je garde une trace d’elle
Comme on trace au pastel
Les strass ascensionnelles
D’un vertige ébloui
Quand mon phonetell
Vrombit dans la gamelle
D’un saut à l’interpelle
Moi le cœur en bouillis
Était ce ma belle
Vite prendre l’appel
Pourquoi il se met en veille ?
Merde plus de batterie…
Y’avait marqué masqué
Sur l’écran éteint
Je le voyais clignoter
En me disant putain…
Sur l’asphalte mouillée
D’un été caniculaire
C’était un instant chaviré
D’un rendez vous qui se perd
Mais je suis confiant
Elle sait où j’habite
Rue de ses sentiments
Chaque jour je l’invite
Dis t’aurais l’heure ?
Plus dans mon cœur !
Allez dis moi j’ai rendez vous…
Moi aussi, ô t’es là c’est fou !
Arrêtes c’est sérieux.
Une heure au mieux.
Suis bien entre tes bras. Je veux pas en voir la fin.
Si t’as un petit creux, tu veux des pâtes carbonara ?
Toi tu sais faire ça ?!
J’ai bien su récolter le sucre de tes yeux dans la distillation de leurs raisins ! Veux tu encore boire au goulot de nous deux à la fontaine des rasades à même nos mains,
Je préfèrerais quand même un verre
C’est du moins vivre d’un nécessaire
J’espère alors que t’as minimum une douche
Je te répondrais que si tu t’y lave la bouche
Hey mais tu me cherches occupes toi de la bouffe !
À mon désordre de votre sensualité, majesté, j’ai de prêt besoin, à quelques ingrédients épicés se trouvant bien cachés contre moi, et j’aimerais assez les redisposer dans leur dispersions substantielles à un état de poudre dans un nuage d’ivresse.
Bah si t’as un bain de vapeur je suis partante
Hey mais j’ai un jacuzzi à bulles massantes. J’ai mis des petites baffes kabass et un boomer en dilettante. Un écran sur pied de quelques pouces. Va t’installer dans le hammam à ouverture minutée sur le thermostat de ton intérieur indélébile en sueur. Tu mangeras ensuite en te détendant avec une coupelle le vin de l’ambiance au velours du bois sous la charpente de ma salle d’eau, là où la poutrelle côtoie le lac bleu d’un grand velux donnant sur l’après-midi anamorphosé au bien d’être de la vue d’une plage d’or en dedans d’un hors de soi dès lors que deux corps font fort de se supplier plusieurs fois. Autant qu’un remoud peut atteindre la rive pour sembler rejoindre d’où elle semble déjà vouloir aller pour revenir à nous relancer au loin avec elles. Il est bon dans ma position assise face à et l’horizon allant traîneur et ton visage gémissant ton bonheur de ne rien sentir d’autre que le chant de notre stagnation à nous chevaucher.
J’aime assez à te regarder nue dans les courbes détachées de ton naturelle à ma poigne.
Comme aller sous tes cheveux pour en menotter ta nuque d’abord d’une main ferme pour ensuite la laisser se relâcher aux crissements statiques de mes ongles au circuit de pétards palpitants sur le redressement des arêtes de ton bassin qui se cambre au moindre retentissement explosif d’une bulle de nerf dénoué. Bien sur les ipod ont des réveils métriques qui calculent le meilleur moment pour nous sortir de notre état suspensif quand la belle avait prévu d’être avertie qu’elle devait s’absenter.
Le velux ouvert une horde de brume laisse peu à peu place à la pièce vide, pas un bruit de porte qui claque, et dans le salon y’a juste mon costume mes habitudes mes clics et mes clac, faut dire le tout un peu en vrac avec mon esprit pris de court dedans. J’ai tout de suite cherché la trace témoin de ton irréalité envoûtante, sous les oreillers le lit et ce probable reste de lavande épicé de ton charme roborant. J’aurais pas du fumer ce joint écrasé dans le cendrier. Mais bon c’était le premier en deux mois. Mais où je l’ai eu ce sheet m’en rappelle plus. Même la pire des polices pourrait tenter, je n’aurais le début d’un aveu à me compromettre.
Alors depuis cet après midi qui retombe
Pour mieux brûler l’instant d’après
J’écris en me levant doucement à l’ombre
De ta lumière est ce que je rêvais
Je vais aller faire un tour pour voir
Si par hasard je te reconnais
Tellement j’ai pu t’apercevoir
Aux baisers qui nous liaient
Sous un crépuscule sensuel
Depuis j’attends qu’elle m’appelle…
Si tant est qu’elle est mon numéro
Ouah je sais plus ce qu’est réel
Mais d’où il venait ce bédot
Je garde une trace d’elle
Comme on trace au pastel
Les strass ascensionnelles
D’un vertige ébloui
Quand mon phonetell
Vrombit dans la gamelle
D’un saut à l’interpelle
Moi le cœur en bouillis
Était ce ma belle
Vite prendre l’appel
Pourquoi il se met en veille ?
Merde plus de batterie…
Y’avait marqué masqué
Sur l’écran éteint
Je le voyais clignoter
En me disant putain…
Sur l’asphalte mouillée
D’un été caniculaire
C’était un instant chaviré
D’un rendez vous qui se perd
Mais je suis confiant
Elle sait où j’habite
Rue de ses sentiments
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poeteric- Nombre de messages : 933
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Date d'inscription : 11/02/2008
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Ven 15 Jan - 16:40 par poeteric
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