Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Rechercher
 
 

Résultats par :
 


Rechercher Recherche avancée

Mots-clés

2014  2012  2010  2013  

Derniers sujets
» compil de textes
à la lumière d'une réveil investis EmptyVen 15 Jan - 16:40 par poeteric

» Eros
à la lumière d'une réveil investis EmptyMar 26 Aoû - 13:09 par pendantce

» Premier Moment de l'Instant
à la lumière d'une réveil investis EmptyMar 26 Aoû - 13:07 par pendantce

» Amour Besoin
à la lumière d'une réveil investis EmptyMar 26 Aoû - 13:06 par pendantce

» Laissons Tout Reposer
à la lumière d'une réveil investis EmptyMar 26 Aoû - 13:05 par pendantce

» Etouffement
à la lumière d'une réveil investis EmptyMar 26 Aoû - 13:03 par pendantce

» Les goëlands
à la lumière d'une réveil investis EmptyMar 26 Aoû - 13:02 par pendantce

» Le Drapeau et le Paravent
à la lumière d'une réveil investis EmptyMar 26 Aoû - 13:01 par pendantce

» La Terre et le Propos
à la lumière d'une réveil investis EmptyMar 26 Aoû - 13:00 par pendantce

Mai 2024
LunMarMerJeuVenSamDim
  12345
6789101112
13141516171819
20212223242526
2728293031  

Calendrier Calendrier

Partenaires

créer un forum

      

Sujets similaires
    Le Deal du moment :
    Réassort du coffret Pokémon 151 ...
    Voir le deal

    à la lumière d'une réveil investis

    Aller en bas

    à la lumière d'une réveil investis Empty à la lumière d'une réveil investis

    Message par poeteric Jeu 16 Juil - 13:09

    Le ciel s’avouait sur les rondins de l’horizon, des chaleurs suffoquaient l’immensité en pourvoyant le décors de milles teintes tenues à leur découverte. Il n’est plus du soir qu’un matin qui traîne, un bleu métaphore les idées au réveil lumineux d’une nuit passée à deux. Il n’est plus de lune que son squelette phosphorescent, sa pâleur fantomatique est le reste d’une marque au feu d’argent. Il n’est plus d’argent en reflets qu’un jour qui les efface sur sa toile magique, les enfants du soleil se ressourcent en prenant des bains d’oxygène sulfuré dans sa piscine à dissoudre. Aurions nous veillez dans le camp de nos discutions, chacun à retrancher son opinion sur le drapeau blanc marqué en bas du matelas par des accords de signatures, nous en aurions trouvé la négociation entre les fils d’Orion et un seul regard en guise d’affront. Alors dans le chant matinal d’une tranquillité transcendante, j’écoute moins attentivement le moindre frottis résulté d’une enlaçade embryonnaire que deux cœurs sous la cascade d’ampère en halogène sur le continent de notre repère qui s’éclaire aux variations d’une haute saison où l’on devient des fleurs buvant une rosée calorifères. Quel plongeon plus immergent que de nager dans cet état sauvage, au loin la ville rappelle au balcon fenêtre ouverte les bruissements de notre union, je ne sais plus qui écoute les roulements de l’autre. Mais chacun reste attentif à l’inaltération de leur poursuite à observer leur troubles bénéfiques. Surtout dans le calme d’une effusion lente. Il est des reviens en surface quelques flashs en retour fugace d’une précision d’un moment fut il long où intensément bref. Existe-t-il un ordre des choses, à s’être aimer dans tous les sens nous nous sommes semer en nous découvrant. Alors, quand vient déjà midi tout en haut d’une caresse arrogante, que les peaux croustillent à chaleur ventilée, nous nous enveloppons aux saris de quelques bourrasques brûlantes, aux moelleux des papilles de nos chairs inhalées. C’est là la naissance de l’amour, entre ce qui s’effleure et les émanations du nouveau jour, entre exultation désanxiogène d’une logique naturelle relâchant ses principes de combinaisons différentes pour les lier au même schéma d’une adhésion en osmose, qu’on oublie que l’on s’apprend à demi-ton en lançant des serments à tâtons. La révélation d’une attraction mystérieuse est à posteriori du à la probabilité d’une relation magnétisée de frictions parfumeuses. Nous nous consumons à même les solutions choisies au résultat sans test de nos échantillons. Éparses côte à cote j’écris sur ton dos de la plume de mes doigts des poèmes où ton bassin bat en rimes. Je conte les grains de ta beauté qui m’inspirent à les contourner de mille façons à les surprendre par le flanc, je sens bien que tu me lis à chaque réaction honorée d’être à la tension de nos saveurs dans leurs accents.
    Dis t’aurais l’heure ?
    Plus dans mon cœur !
    Allez dis moi j’ai rendez vous…
    Moi aussi, ô t’es là c’est fou !
    Arrêtes c’est sérieux.
    Une heure au mieux.
    Suis bien entre tes bras. Je veux pas en voir la fin.
    Si t’as un petit creux, tu veux des pâtes carbonara ?
    Toi tu sais faire ça ?!
    J’ai bien su récolter le sucre de tes yeux dans la distillation de leurs raisins ! Veux tu encore boire au goulot de nous deux à la fontaine des rasades à même nos mains,
    Je préfèrerais quand même un verre
    C’est du moins vivre d’un nécessaire
    J’espère alors que t’as minimum une douche
    Je te répondrais que si tu t’y lave la bouche
    Hey mais tu me cherches occupes toi de la bouffe !
    À mon désordre de votre sensualité, majesté, j’ai de prêt besoin, à quelques ingrédients épicés se trouvant bien cachés contre moi, et j’aimerais assez les redisposer dans leur dispersions substantielles à un état de poudre dans un nuage d’ivresse.
    Bah si t’as un bain de vapeur je suis partante
    Hey mais j’ai un jacuzzi à bulles massantes. J’ai mis des petites baffes kabass et un boomer en dilettante. Un écran sur pied de quelques pouces. Va t’installer dans le hammam à ouverture minutée sur le thermostat de ton intérieur indélébile en sueur. Tu mangeras ensuite en te détendant avec une coupelle le vin de l’ambiance au velours du bois sous la charpente de ma salle d’eau, là où la poutrelle côtoie le lac bleu d’un grand velux donnant sur l’après-midi anamorphosé au bien d’être de la vue d’une plage d’or en dedans d’un hors de soi dès lors que deux corps font fort de se supplier plusieurs fois. Autant qu’un remoud peut atteindre la rive pour sembler rejoindre d’où elle semble déjà vouloir aller pour revenir à nous relancer au loin avec elles. Il est bon dans ma position assise face à et l’horizon allant traîneur et ton visage gémissant ton bonheur de ne rien sentir d’autre que le chant de notre stagnation à nous chevaucher.
    J’aime assez à te regarder nue dans les courbes détachées de ton naturelle à ma poigne.
    Comme aller sous tes cheveux pour en menotter ta nuque d’abord d’une main ferme pour ensuite la laisser se relâcher aux crissements statiques de mes ongles au circuit de pétards palpitants sur le redressement des arêtes de ton bassin qui se cambre au moindre retentissement explosif d’une bulle de nerf dénoué. Bien sur les ipod ont des réveils métriques qui calculent le meilleur moment pour nous sortir de notre état suspensif quand la belle avait prévu d’être avertie qu’elle devait s’absenter.
    Le velux ouvert une horde de brume laisse peu à peu place à la pièce vide, pas un bruit de porte qui claque, et dans le salon y’a juste mon costume mes habitudes mes clics et mes clac, faut dire le tout un peu en vrac avec mon esprit pris de court dedans. J’ai tout de suite cherché la trace témoin de ton irréalité envoûtante, sous les oreillers le lit et ce probable reste de lavande épicé de ton charme roborant. J’aurais pas du fumer ce joint écrasé dans le cendrier. Mais bon c’était le premier en deux mois. Mais où je l’ai eu ce sheet m’en rappelle plus. Même la pire des polices pourrait tenter, je n’aurais le début d’un aveu à me compromettre.
    Alors depuis cet après midi qui retombe
    Pour mieux brûler l’instant d’après
    J’écris en me levant doucement à l’ombre
    De ta lumière est ce que je rêvais
    Je vais aller faire un tour pour voir
    Si par hasard je te reconnais
    Tellement j’ai pu t’apercevoir
    Aux baisers qui nous liaient
    Sous un crépuscule sensuel

    Depuis j’attends qu’elle m’appelle…
    Si tant est qu’elle est mon numéro
    Ouah je sais plus ce qu’est réel
    Mais d’où il venait ce bédot

    Je garde une trace d’elle
    Comme on trace au pastel
    Les strass ascensionnelles
    D’un vertige ébloui

    Quand mon phonetell
    Vrombit dans la gamelle
    D’un saut à l’interpelle
    Moi le cœur en bouillis

    Était ce ma belle
    Vite prendre l’appel
    Pourquoi il se met en veille ?
    Merde plus de batterie…

    Y’avait marqué masqué
    Sur l’écran éteint
    Je le voyais clignoter
    En me disant putain…

    Sur l’asphalte mouillée
    D’un été caniculaire
    C’était un instant chaviré
    D’un rendez vous qui se perd

    Mais je suis confiant
    Elle sait où j’habite
    Rue de ses sentiments
    Chaque jour je l’invite

    poeteric

    Nombre de messages : 933
    Age : 50
    Date d'inscription : 11/02/2008

    Revenir en haut Aller en bas

    Revenir en haut

    - Sujets similaires

     
    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
    Ne ratez plus aucun deal !
    Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
    IgnorerAutoriser