Contraction de flocons d’ivresse, par PSEUDO le superbe !
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Contraction de flocons d’ivresse, par PSEUDO le superbe !
Le vent écaille la neige de cotillons qui volètent après l’ère dépassée
Les granulés de flocon se fondent dans la beauté endormie
La mousse tend un drap sous la surface chérubine des anges
La chaleur des cieux est incurvée sous le zéro absolu emmitouflé
Par le fluide glacial qui s’opacifie sous les marmonnements de notre union
Festoiement adjonctif des instincts préalables insubordonnés
La lymphe sous-cutanée t’asperge craquelée de myriades d’étoiles
Que tes iris feux-follets de diamant opalent sous la traîne des fantômes
Avec l’éjaculation galexicale qui fait la bascule entre deux nuits
La plongée remonte le coeur du torrent devant le sens universel du sublime
Qui torsade les accords rompus de la toison éparpillée d’infini
Nos substrats désorientent les paliers inexistents de la seconde acrobatique
Que des pixels écarlates teintent sur la mosaïque de l’extase
Les pulsions débordant de l’abysse oculaire que les yeux ne circonscrivent plus
Pendant que l’univers plane sur les prunelles d’une dulcinée
Et que les gamètes filent dans le flot enchanteur des comètes utérines
“Plus l’on se ploie dans nos légèretés plus l’on succombe en s’élevant”
Que regardent investis d’évasion les dogmes jurisprudentiels de l’investiture
L’apogée dévoyant les graphiques de la palpitation en couche
Attendons main dans la main l’universel sans fin de la diversité de toi & moi
Ouvrant des territoires de façades où se reflètent mordorés les frissons pulmonaires
À travers les contraintes du parfait déroulées dans la torsade ADN du bien-être quantifié
Les mains reproduisant des caresses d’infini entre deux seins sur la rondeur d’un corps décrispé
Quand l’ablation du décor zénital laisse apparaître l’herbe noire aux fleurs d’étoile
Métamorphose de nos inductions charnelles cueillant le fruit des champs parcourus de poésie
Le temps bat la chamade quand le coeur circonvole les siècles plumés par la frise de la mesure
Le pouls s’agite alors d’une églogue à la contraction d’univers
Dans l’écho de la réverbération menstruelle de l’absence
“La distance la plus lointaine est celle de nos limites”
Selon les ordonnées aléatoires de méta-dimensions délivrant l’inconnu d’une apothéose anarchique
Longeant l’axiome de la dérive qui effleure les atomes crépitant de notre subjugation
Loin de l’absence oubliée du taffetas persan qui enspirale les flocons plumitifs
Car la pluie dissémine l’espoir sur les arpents cadastrés du paysage de tes lumières
La lumière traversée du passage de l’attente enjôlée
Sur le perron des rivières albâtres qui traversent l’arrière-plan du désir écoulé
Nos sens convexes furent centrigugés quand les lèvres s’écrasèrent du baiser à mille radiants
L’horizon cachant les ombres opiacées qui symbolent l’extase sous la pointe d’une dentelle aiguillée
Petite danse subreptice d’un mot de “je t’aime” qui tombe d’un perchoir atmosphérique
En surimpression ténue du sol immaculé de confettis de sperme lacté
Le silence tambourine sur nos murmures maculés d’appogiatures
Les désorientations du climax acclimaté reprennent la tornade chaotique qui tempête
Devant les froissements de promesses qui drapent l’humanité consolable
Pendant que les graines d’orgeat des nuages gris fermentent la terre des jeunes pousses
Sur la surface matinale des mires de l’aube en contre-bleu azur sur le crépuscule persistant
Cette froideur de l’été engourdit une impression sulfurisée marbrant la jeunesse mémorielle
Une architecture de surcouches arrondit l’angularité de nos regards passant en lignes droites
D’une feuille d’asphalte aux manuscrits des pas pressés déflorant la courbe d’espace-temps
Quand une année-lumière se résorbe à la jointure amoureuse de nos deux index ensevelis
Livrés à la délivrance d’alcôve couvert d’une natte laineuse
Sous les tropiques de notre cocon près des saupoudres de cacao
Où l’on regarde les palmiers peints boire le magenta du plateau de nos lèvres
Autant qu’on se rapproche par nos bras tentaculaires cerclant la distance décentrée-réduite
Le jour velouté disparaissant sous le velours des corps comprimés par l’écliptique de la nuit
Quand deux corps nagent dans les récifs entrelacés et dénudés des poissons d’âme humaine
Bâtifolant sur les reliefs qui rétrécissent à mesure que les raies explosent sous le baldaquin
Les caresses voltigeuses délibérant sur le dénouement d’une harmonique consonantique de l’instant
Le chavirement saltimbaque d’une suite royale abondant sur les prés renversés de nouveaux accords
J’aspire les halos brûlants émanant de ton aura sanguine d’être la proie du déploiement ensorcelé
Les mouvements frémissants de la création cyprine implosent de leur fission mutine utérine
Ma bouche au cursus frénétique venant aviver la cible charnelle retenue par des mains inviolentes
Après avoir entendu la horde lascive à l’appel des gémissements lactiques qui intactent la bête
Les rythmes mêmes au galop sur les galets de lave de notre volcanisation aux fumerolles vaporisées
Une membrane remontant la manche du côté décousu où les tourniquets sexuels sont chandelles de toujours
Quand l’aveu vient dévoiler la volition d’être d’eux au sein du cocon primordial de la sainteté baptiste du voeu
Creusant mes pouces sur ton bassin pour battre les percussions de la fesse d’un toucher rallongé du contact
Les chavirements laiteux du corps dégraffé mettant la balance sur l’aiguille du scellement suave du supplice
Passant des clavicules à la fourche sternale de ta fécondité remontée aux embouchures du baiser famélique
Avant de se ceintrer d’orgasmes l’un de l’autre à l’unisson où les râles naviguent en choeur et finissent la gamme
Malgré les interstices tridimensionnels de la sieste en suspend qui vahine de candeur les chairs défaites de l’oubli
Relevant la nuque une fois encore en ce matin prairial des hivers duveteux quand la fenêtre frissonne ouverte
Ce beau voyage emparadisiaque du rappel qui congestionne l’infâme oublié de la citadine débauche du non-sens
Nos élans communs avaient suspendu la réalité clochette par l’équivoque de nos coeurs redressés
Je t’ai vue en belle bayadère préparant le carnaval de l’après et les lumières d’un jour de bal blanc
Le dessert venant dans l’après quand une crème vanille vient barbouiller les papilles opaques du délice
Malgré les caprices chocolat d’une féminité choquée par l’encore à venir jusqu’à plus soif
Devenus succubes de nos corps nous n’étions que l’impérissable offrande de l’orgasme
Sur l’autel léché par nos cinq sens bouillonant de tendresses baveuses quand les suçons sucrés de frissons
Desserte de la posture sur le carrelage brumisé de vapeurs où nos corps en coupelles se délectent
À la faveur d’un déhanchement qui cueillère le jour derrière la rosée ondine d’un sillon mystérieux
Sur les virages pentus du frémissement chutant sur la falaise de tes cuisses je lis les rapides
Où tu transportes le Zambèze à cheval pour montrer la cambrure du continent circularisé
Les commandements érotiques chatouillaient les dernières pulsions du jour à la levrette de minuit
L’ambiance exfoliante d’un hamam somatique où nos suées dénudées glissaient sur les dénivelés
Les perles de nos doigts détaillaient le slalom pour goutter du delta au détroit dans le sillage de l’évidence
Que le serrement de l’instant a permis de recréer lors d’un lendemain de farniente éblouissant de l’écho
La cuirasse de nos moiteurs refroidies se parcelle dans la chaleur humide pointillant la serviette de tes seins
Titubant sur le tantra de nos embrassades pour crouler sous le gui de l’eskatos irrépressible
Seuls au monde sur la banquise onirique où s’amplifient les estampes d’un miroir du soleil relevé d’équateur
Écroulé de jouissance au sein d’un firmament de dépendance aphrodisiaque que guerrit la poésie
Le texte collait nos vies rempaillant les rêves en vieux clair-obscur par le suc d’hydromel de ta sève
Quand l’esprit se bouscule par les répétitions spasmophiles de ton prénom qui transforme les concepts
Mais à même de l’au-revoir une claque féérique pour retrouver la starlette sur la sellette qui chante la météo
La fille qui rêve de doux mieux sans cesser de cogiter à son être amoindri par l’ego galopé sans Provence
Se dépare à l’aube interminable qui dévoile la dernière pellicule du miroir quand l’homme éjecte un tire-off
Car l’homme n’est qu’un animal de poésie qui se profile dans les allers sans retour où tu fais mes escales
Une diatribe à l’emporte-pièces décomptant les secondes déglinguées avant la rupture de nos coeurs délacés
Quand l’évidence du flow réel parvint à mon pavillon amplifié je n’entendis que sa demande d’être femme
Déconvenant l’obstacle obsessionnel d’un homme croulant dans les catacombes de sa psychose féminine
Quand une perle de corps finit par faire la promotion de son sourire sur les rivages de Navarre où je n’abonde
Les granulés de flocon se fondent dans la beauté endormie
La mousse tend un drap sous la surface chérubine des anges
La chaleur des cieux est incurvée sous le zéro absolu emmitouflé
Par le fluide glacial qui s’opacifie sous les marmonnements de notre union
Festoiement adjonctif des instincts préalables insubordonnés
La lymphe sous-cutanée t’asperge craquelée de myriades d’étoiles
Que tes iris feux-follets de diamant opalent sous la traîne des fantômes
Avec l’éjaculation galexicale qui fait la bascule entre deux nuits
La plongée remonte le coeur du torrent devant le sens universel du sublime
Qui torsade les accords rompus de la toison éparpillée d’infini
Nos substrats désorientent les paliers inexistents de la seconde acrobatique
Que des pixels écarlates teintent sur la mosaïque de l’extase
Les pulsions débordant de l’abysse oculaire que les yeux ne circonscrivent plus
Pendant que l’univers plane sur les prunelles d’une dulcinée
Et que les gamètes filent dans le flot enchanteur des comètes utérines
“Plus l’on se ploie dans nos légèretés plus l’on succombe en s’élevant”
Que regardent investis d’évasion les dogmes jurisprudentiels de l’investiture
L’apogée dévoyant les graphiques de la palpitation en couche
Attendons main dans la main l’universel sans fin de la diversité de toi & moi
Ouvrant des territoires de façades où se reflètent mordorés les frissons pulmonaires
À travers les contraintes du parfait déroulées dans la torsade ADN du bien-être quantifié
Les mains reproduisant des caresses d’infini entre deux seins sur la rondeur d’un corps décrispé
Quand l’ablation du décor zénital laisse apparaître l’herbe noire aux fleurs d’étoile
Métamorphose de nos inductions charnelles cueillant le fruit des champs parcourus de poésie
Le temps bat la chamade quand le coeur circonvole les siècles plumés par la frise de la mesure
Le pouls s’agite alors d’une églogue à la contraction d’univers
Dans l’écho de la réverbération menstruelle de l’absence
“La distance la plus lointaine est celle de nos limites”
Selon les ordonnées aléatoires de méta-dimensions délivrant l’inconnu d’une apothéose anarchique
Longeant l’axiome de la dérive qui effleure les atomes crépitant de notre subjugation
Loin de l’absence oubliée du taffetas persan qui enspirale les flocons plumitifs
Car la pluie dissémine l’espoir sur les arpents cadastrés du paysage de tes lumières
La lumière traversée du passage de l’attente enjôlée
Sur le perron des rivières albâtres qui traversent l’arrière-plan du désir écoulé
Nos sens convexes furent centrigugés quand les lèvres s’écrasèrent du baiser à mille radiants
L’horizon cachant les ombres opiacées qui symbolent l’extase sous la pointe d’une dentelle aiguillée
Petite danse subreptice d’un mot de “je t’aime” qui tombe d’un perchoir atmosphérique
En surimpression ténue du sol immaculé de confettis de sperme lacté
Le silence tambourine sur nos murmures maculés d’appogiatures
Les désorientations du climax acclimaté reprennent la tornade chaotique qui tempête
Devant les froissements de promesses qui drapent l’humanité consolable
Pendant que les graines d’orgeat des nuages gris fermentent la terre des jeunes pousses
Sur la surface matinale des mires de l’aube en contre-bleu azur sur le crépuscule persistant
Cette froideur de l’été engourdit une impression sulfurisée marbrant la jeunesse mémorielle
Une architecture de surcouches arrondit l’angularité de nos regards passant en lignes droites
D’une feuille d’asphalte aux manuscrits des pas pressés déflorant la courbe d’espace-temps
Quand une année-lumière se résorbe à la jointure amoureuse de nos deux index ensevelis
Livrés à la délivrance d’alcôve couvert d’une natte laineuse
Sous les tropiques de notre cocon près des saupoudres de cacao
Où l’on regarde les palmiers peints boire le magenta du plateau de nos lèvres
Autant qu’on se rapproche par nos bras tentaculaires cerclant la distance décentrée-réduite
Le jour velouté disparaissant sous le velours des corps comprimés par l’écliptique de la nuit
Quand deux corps nagent dans les récifs entrelacés et dénudés des poissons d’âme humaine
Bâtifolant sur les reliefs qui rétrécissent à mesure que les raies explosent sous le baldaquin
Les caresses voltigeuses délibérant sur le dénouement d’une harmonique consonantique de l’instant
Le chavirement saltimbaque d’une suite royale abondant sur les prés renversés de nouveaux accords
J’aspire les halos brûlants émanant de ton aura sanguine d’être la proie du déploiement ensorcelé
Les mouvements frémissants de la création cyprine implosent de leur fission mutine utérine
Ma bouche au cursus frénétique venant aviver la cible charnelle retenue par des mains inviolentes
Après avoir entendu la horde lascive à l’appel des gémissements lactiques qui intactent la bête
Les rythmes mêmes au galop sur les galets de lave de notre volcanisation aux fumerolles vaporisées
Une membrane remontant la manche du côté décousu où les tourniquets sexuels sont chandelles de toujours
Quand l’aveu vient dévoiler la volition d’être d’eux au sein du cocon primordial de la sainteté baptiste du voeu
Creusant mes pouces sur ton bassin pour battre les percussions de la fesse d’un toucher rallongé du contact
Les chavirements laiteux du corps dégraffé mettant la balance sur l’aiguille du scellement suave du supplice
Passant des clavicules à la fourche sternale de ta fécondité remontée aux embouchures du baiser famélique
Avant de se ceintrer d’orgasmes l’un de l’autre à l’unisson où les râles naviguent en choeur et finissent la gamme
Malgré les interstices tridimensionnels de la sieste en suspend qui vahine de candeur les chairs défaites de l’oubli
Relevant la nuque une fois encore en ce matin prairial des hivers duveteux quand la fenêtre frissonne ouverte
Ce beau voyage emparadisiaque du rappel qui congestionne l’infâme oublié de la citadine débauche du non-sens
Nos élans communs avaient suspendu la réalité clochette par l’équivoque de nos coeurs redressés
Je t’ai vue en belle bayadère préparant le carnaval de l’après et les lumières d’un jour de bal blanc
Le dessert venant dans l’après quand une crème vanille vient barbouiller les papilles opaques du délice
Malgré les caprices chocolat d’une féminité choquée par l’encore à venir jusqu’à plus soif
Devenus succubes de nos corps nous n’étions que l’impérissable offrande de l’orgasme
Sur l’autel léché par nos cinq sens bouillonant de tendresses baveuses quand les suçons sucrés de frissons
Desserte de la posture sur le carrelage brumisé de vapeurs où nos corps en coupelles se délectent
À la faveur d’un déhanchement qui cueillère le jour derrière la rosée ondine d’un sillon mystérieux
Sur les virages pentus du frémissement chutant sur la falaise de tes cuisses je lis les rapides
Où tu transportes le Zambèze à cheval pour montrer la cambrure du continent circularisé
Les commandements érotiques chatouillaient les dernières pulsions du jour à la levrette de minuit
L’ambiance exfoliante d’un hamam somatique où nos suées dénudées glissaient sur les dénivelés
Les perles de nos doigts détaillaient le slalom pour goutter du delta au détroit dans le sillage de l’évidence
Que le serrement de l’instant a permis de recréer lors d’un lendemain de farniente éblouissant de l’écho
La cuirasse de nos moiteurs refroidies se parcelle dans la chaleur humide pointillant la serviette de tes seins
Titubant sur le tantra de nos embrassades pour crouler sous le gui de l’eskatos irrépressible
Seuls au monde sur la banquise onirique où s’amplifient les estampes d’un miroir du soleil relevé d’équateur
Écroulé de jouissance au sein d’un firmament de dépendance aphrodisiaque que guerrit la poésie
Le texte collait nos vies rempaillant les rêves en vieux clair-obscur par le suc d’hydromel de ta sève
Quand l’esprit se bouscule par les répétitions spasmophiles de ton prénom qui transforme les concepts
Mais à même de l’au-revoir une claque féérique pour retrouver la starlette sur la sellette qui chante la météo
La fille qui rêve de doux mieux sans cesser de cogiter à son être amoindri par l’ego galopé sans Provence
Se dépare à l’aube interminable qui dévoile la dernière pellicule du miroir quand l’homme éjecte un tire-off
Car l’homme n’est qu’un animal de poésie qui se profile dans les allers sans retour où tu fais mes escales
Une diatribe à l’emporte-pièces décomptant les secondes déglinguées avant la rupture de nos coeurs délacés
Quand l’évidence du flow réel parvint à mon pavillon amplifié je n’entendis que sa demande d’être femme
Déconvenant l’obstacle obsessionnel d’un homme croulant dans les catacombes de sa psychose féminine
Quand une perle de corps finit par faire la promotion de son sourire sur les rivages de Navarre où je n’abonde
Dernière édition par poeteric le Jeu 19 Fév - 16:34, édité 2 fois
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: Contraction de flocons d’ivresse, par PSEUDO le superbe !
Prenant son baiser d’adieu avec la moue pleine de charme d’un tic qui dépucèle ses lèvres d’une façon de midi
Malgré l’esquisse de l’éclair je restais à contempler l’ombre s’éloigner d’un geste cupide où l’oubli confond le poème
Car la pochette surprise des jours heureux ouvre l’opercule de Pandore où le geste d’espoir suffit à sortir
Demande d’être-avec pour la poésie d’un soir au renouvèlement des contrats ludiques des amours mises à profit
Puis la conversation pour démysthifier le non-dit alangui par les langues du jour passé et mordillé de sucres
Je devins le scripte de ses jours quand sa bouche dénoua son rôle d’actrice à éclaircir une maman fébrile
La fille hellène devenait soudainement la mère d’autre-chose que sa vie subalterne tenait en plus de respect
Renvoyant l’homme à sa paternité encore visible dans ses paumes urinantes du jour d’un bébé à naître
La maternité fournissant la nouvelle matière d’être de l’humanité redécorée par la responsabilité du prochain
Un bébé à la ville autant qu’une fille dans le réel nourrissait la succion de mes jours encordés d’ombilic
Dans l’apostrophe de ces personnages que la poésie enfante les âmes sont reliées de la même parole balbutiante
Les filles candides oublient ici les idiomes des rictus malingres pour jouer la détresse et la violence de l’espoir
Les siècles se satisfont toujours des extrêmes opposés quand les bons côtés nourrissent les âmes charitables
Le long de son dos jusqu’à sa nuque parlait de l’inhumanité d’une minorité se donnant immunité
Je veux être ton Pégase incendiaire de blancheur crême mon amazone aux flancs arqués de tes flèches indociles
Déposant mon coeur en livre ouvert entre les parenthèses de ses yeux me fixant d’une virgule d’ironie
Puisse la Paradis accueillir tous les hommes s’ils voulaient choisir leur lieu de naissance
Lisant dans le phénomène de guerre l’incroyable absurdité des balles qui tracent leur route
D’un homme à l’autre qui se refile le pressoir du mortier pour faire sauter une case dans la savane
Les Kalashnikov ont un taux de circulation plus rapide que l’argent en passant d’un mort à l’autre
Où tous laissent leurs empreintes en garantissant l’immatriculation d’une arme qui mitraille à tout-va
En défouraillant dans les fourées où défilent les éléphants que les braconniers regardent choir
La poésie fait perdre la vue mais ne peut enrayer seule le canon rayé des armureries enrichies
Car les commandes sont plus nombreuses du côté des balistiques que des poétiques de l’instant
Regarde et n’oublie pas cher lecteur qui attend
Un teint de vérité au milieu du discours
Car il faut s’attendre au milieu au levant
D’un axiome parfait qui prend suivant le tour
La guerre est historique et régule l’humain
Qui ne peut s’enrichir s’il paraît trop nombreux
Car il faut réguler en un temps d’une main
Qui saisit la gâchette et presse ce levier
On pleure et on larme quand on peut respirer
Les morts traînent à terre et gisent de charniers
Recouverts de savane au point que leurs filleuls
Passeront dès demain sans voir leurs vieux linceuls
C’est la vie, cher Éric, il faut être poète
Quand on veut invoquer de l’homme l’hémisphère
Mais écrire en penseur pour juger de la guerre
Car le sang qui se verse est celui des fillettes
Qui naissent de nos veines autant que de l’histoire
Et il faut regarder cet oblique bavoir
Où les uns font leurs dents que les autres déciment
Quand un père a tourné ses mots pour quelques rimes
Nous venons de poussières et nous retournerons
À cela qui ne meurt continuant son ronron
Pendant que les mères mettent bas à leur couche
Et livrent à nos yeux une enfance farouche
C’est la vie, note-t-on, quand on ne peut régir
Cela qu’on nomme atroce et qui tue les sourires
Mais ils n’en seraient pas s’il n’était le malheur
Où l’on juge à l’inverse en souhaitant le meilleur
Les artificiers de nos coeurs continuaient à tirer la mèche de notre rencontre fortifiée par les brumes
Quand l’homme songe davantage aux incohérences de liaison du hasard qu’aux suites énamourées de la pluie
Contemplant les vagues lucioles des ponts sous les chaussés en réverbération de la Seine méandrée par les mouches
Tu glissais sur l’asphalte avec des patins de satin rapides faits d’une lame des rails de la moiteur
J’avais passé le jour à t’écrire belle inconnue en dessinant la trame des cheveux délissés que j’avais embrochés
Sur la piste de glace où les émotions sanglantes ont pâli pour crisser des grêles
Au moment où nous tombâmes dans les bras que les mots insufflent de rares puissances pénitentiaires
Malgré l’esquisse de l’éclair je restais à contempler l’ombre s’éloigner d’un geste cupide où l’oubli confond le poème
Car la pochette surprise des jours heureux ouvre l’opercule de Pandore où le geste d’espoir suffit à sortir
Demande d’être-avec pour la poésie d’un soir au renouvèlement des contrats ludiques des amours mises à profit
Puis la conversation pour démysthifier le non-dit alangui par les langues du jour passé et mordillé de sucres
Je devins le scripte de ses jours quand sa bouche dénoua son rôle d’actrice à éclaircir une maman fébrile
La fille hellène devenait soudainement la mère d’autre-chose que sa vie subalterne tenait en plus de respect
Renvoyant l’homme à sa paternité encore visible dans ses paumes urinantes du jour d’un bébé à naître
La maternité fournissant la nouvelle matière d’être de l’humanité redécorée par la responsabilité du prochain
Un bébé à la ville autant qu’une fille dans le réel nourrissait la succion de mes jours encordés d’ombilic
Dans l’apostrophe de ces personnages que la poésie enfante les âmes sont reliées de la même parole balbutiante
Les filles candides oublient ici les idiomes des rictus malingres pour jouer la détresse et la violence de l’espoir
Les siècles se satisfont toujours des extrêmes opposés quand les bons côtés nourrissent les âmes charitables
Le long de son dos jusqu’à sa nuque parlait de l’inhumanité d’une minorité se donnant immunité
Je veux être ton Pégase incendiaire de blancheur crême mon amazone aux flancs arqués de tes flèches indociles
Déposant mon coeur en livre ouvert entre les parenthèses de ses yeux me fixant d’une virgule d’ironie
Puisse la Paradis accueillir tous les hommes s’ils voulaient choisir leur lieu de naissance
Lisant dans le phénomène de guerre l’incroyable absurdité des balles qui tracent leur route
D’un homme à l’autre qui se refile le pressoir du mortier pour faire sauter une case dans la savane
Les Kalashnikov ont un taux de circulation plus rapide que l’argent en passant d’un mort à l’autre
Où tous laissent leurs empreintes en garantissant l’immatriculation d’une arme qui mitraille à tout-va
En défouraillant dans les fourées où défilent les éléphants que les braconniers regardent choir
La poésie fait perdre la vue mais ne peut enrayer seule le canon rayé des armureries enrichies
Car les commandes sont plus nombreuses du côté des balistiques que des poétiques de l’instant
Regarde et n’oublie pas cher lecteur qui attend
Un teint de vérité au milieu du discours
Car il faut s’attendre au milieu au levant
D’un axiome parfait qui prend suivant le tour
La guerre est historique et régule l’humain
Qui ne peut s’enrichir s’il paraît trop nombreux
Car il faut réguler en un temps d’une main
Qui saisit la gâchette et presse ce levier
On pleure et on larme quand on peut respirer
Les morts traînent à terre et gisent de charniers
Recouverts de savane au point que leurs filleuls
Passeront dès demain sans voir leurs vieux linceuls
C’est la vie, cher Éric, il faut être poète
Quand on veut invoquer de l’homme l’hémisphère
Mais écrire en penseur pour juger de la guerre
Car le sang qui se verse est celui des fillettes
Qui naissent de nos veines autant que de l’histoire
Et il faut regarder cet oblique bavoir
Où les uns font leurs dents que les autres déciment
Quand un père a tourné ses mots pour quelques rimes
Nous venons de poussières et nous retournerons
À cela qui ne meurt continuant son ronron
Pendant que les mères mettent bas à leur couche
Et livrent à nos yeux une enfance farouche
C’est la vie, note-t-on, quand on ne peut régir
Cela qu’on nomme atroce et qui tue les sourires
Mais ils n’en seraient pas s’il n’était le malheur
Où l’on juge à l’inverse en souhaitant le meilleur
Les artificiers de nos coeurs continuaient à tirer la mèche de notre rencontre fortifiée par les brumes
Quand l’homme songe davantage aux incohérences de liaison du hasard qu’aux suites énamourées de la pluie
Contemplant les vagues lucioles des ponts sous les chaussés en réverbération de la Seine méandrée par les mouches
Tu glissais sur l’asphalte avec des patins de satin rapides faits d’une lame des rails de la moiteur
J’avais passé le jour à t’écrire belle inconnue en dessinant la trame des cheveux délissés que j’avais embrochés
Sur la piste de glace où les émotions sanglantes ont pâli pour crisser des grêles
Au moment où nous tombâmes dans les bras que les mots insufflent de rares puissances pénitentiaires
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: Contraction de flocons d’ivresse, par PSEUDO le superbe !
Quelques secondes suffirent à ouvrir les yeux laissant l’état de choc envahi par le nouveau désordre amoureux
Le coude écorché par la glace qui prend feu sur les braises de mon hématome j’avais souri au coup du sortilège
Puisque la foudre avait défini une frontière d’espace-temps qui dérobait le givre sur l’hématome kysté refermé
Nous retrouvant à chaque baisé positionné de tous les côtés de la tête idem tournant enivrée de surprise
Comme si les premiers fussent les itérations de l’unique répété à la générale du parterre des passions
Ma timidité par terre de glace
Regardant écarquillée l’âme s’évanouir
Couverte de la sincérité du ciel expert
Le désir en géodésie du sortilège d’amour
Quand ses voiles marbres glissent de ce soir
Entre les palabres parolières de nos avoeux non-dits
Remplis de contes de fée et des mille-et-une nuits
Marchant sur les tréteaux pavés de l’amour équilibriste
Sous les premiers flocons du jour qui disparaît derrière lui
Lors de cet hiver au mausolée blanc rugissant au passage du passeur
Pour nous mommifier dans ce cocon intrinsèque tapissé d’une mosaïque lapis-lazuli
Quand le regard chauffe ses sentiments avec l’étincelle de couleur qui reflue dans l’iris drappé
Inconnu l’un de l’autre à refaire le monde pour nous définir d’élégiaques effigies entichés de bonheur
La promesse est une extraversion qui mène aux chemins à la parole sangsue
L’écoute cette intraversion douloureuse qui se profile à l’horizon de l’immanence
Devenant les hôtes de nos extrêmes au croisement de notre complément assujetti
Crêchant dans le parc du monde surplombant Bangkok by night où nous dînons
La clé est amour pour les passe-murailles dyonisiaques qui hument les vignes de Thèbes
Où nous sentons les mêmes rameaux du solstice éclaté derrière la couronne de l’éclipse
Qui dépose une tiare immortelle de poésie sur la limbe imaginaire qui borde ta contraction
Percé de part en part par les ficelles filamenteuses écliptiques de l’univers fakir de l’atome
Comptant les jours à la défilée des pages blanches du carnet constatant l’immaculée bleuité
Des nombreuses lunes qui s’évident en passant d’un coin à l’autre de leur quartier
Visibilité anthracite des nombreux lacs et cratères de la marée nostrum qui reflue sur les cotes
Car le rythme de la consécration suit les flots endigués qui nourrissent le cycle inéluctable du poème
À l’exclame de deux jeunes amoureux qui parlent de la vie sans éviter de parler d’eux
Portant l’existence en eux qui luminent à la dérobée d’ailleurs dans leurs yeux
Les jours passés ensembles allaient voir débarquer des années pleines d’amis parmi les nôtres
Voyant passer le long d’une seule écharpe la faune hydrophile d’un oasis immortel où les bédoins restent
Buvant dans l’eau du lac d’apesanteur les molécules tapissant de translucidité l’irréalité reculée du désert peuplé
Un caravansérail garé sur le parking de notre recoin de nuit derrière les pelouses arrosées de métropolis
Au coucher du soleil le carosse devint un squat d’artistes et le déchaussement de Cendrillon vers Shéhérazade
Portant les coups de dés des gambleurs du Texes Hold’Em sur tapis vert et les mines aérobies des accros de Wii
Pétris d’effets de manche en bousculant les héros plasmatiques qui peignent Zelda traversant une forêt de psychanalyse
Avant que nous partions au jour levé décrocher la pyramide de Gizeh au sommet transparent d’un Louvre sans âge
Avançant sur des vestiges d’époque en reculant le temps figé dans le prestige des oeuvres accrochées à la grande muraille
De la haute école de l’humanité qui bâtissait les remparts de l’avenir où nous placions l’espoir de nos fondations
Dans les travées alvéolaires d’une gaufre au nutella tapissant la bouche des saveurs noisettes où fond le baiser
La neige en sucre glace tapissait la patinoire du grand air balayé par le ballet de nos dérapages appariés
La vitesse de ces élans au souvenir de la première fois sur roulettes au carrefour de l’entre-deux accidentel
Tendrement sur la piste tranquille où l’on se serre de la nouvelle fois
Réalisant une arabesque sur l’ellipse simple en mimant le demi-tour achevé dans le centre en plein coeur scellé du baiser
Rejoignant en fin de soirée le jardin apaisant de notre Eden hululant sous les chants archangéliques de la bénédiction
La force de l’être-là au sein de l’être-au-monde quand on parle d’union des corps
Accentuée dans le silence de l’écoute qui meurtrit les diableries passées
L’amour greffant un tuner aux fréquences musicales des fantasmes disc-jockeys
Sublimant entre nos mains unis la fresque désarmée du chemin de nos vies
Le coude écorché par la glace qui prend feu sur les braises de mon hématome j’avais souri au coup du sortilège
Puisque la foudre avait défini une frontière d’espace-temps qui dérobait le givre sur l’hématome kysté refermé
Nous retrouvant à chaque baisé positionné de tous les côtés de la tête idem tournant enivrée de surprise
Comme si les premiers fussent les itérations de l’unique répété à la générale du parterre des passions
Ma timidité par terre de glace
Regardant écarquillée l’âme s’évanouir
Couverte de la sincérité du ciel expert
Le désir en géodésie du sortilège d’amour
Quand ses voiles marbres glissent de ce soir
Entre les palabres parolières de nos avoeux non-dits
Remplis de contes de fée et des mille-et-une nuits
Marchant sur les tréteaux pavés de l’amour équilibriste
Sous les premiers flocons du jour qui disparaît derrière lui
Lors de cet hiver au mausolée blanc rugissant au passage du passeur
Pour nous mommifier dans ce cocon intrinsèque tapissé d’une mosaïque lapis-lazuli
Quand le regard chauffe ses sentiments avec l’étincelle de couleur qui reflue dans l’iris drappé
Inconnu l’un de l’autre à refaire le monde pour nous définir d’élégiaques effigies entichés de bonheur
La promesse est une extraversion qui mène aux chemins à la parole sangsue
L’écoute cette intraversion douloureuse qui se profile à l’horizon de l’immanence
Devenant les hôtes de nos extrêmes au croisement de notre complément assujetti
Crêchant dans le parc du monde surplombant Bangkok by night où nous dînons
La clé est amour pour les passe-murailles dyonisiaques qui hument les vignes de Thèbes
Où nous sentons les mêmes rameaux du solstice éclaté derrière la couronne de l’éclipse
Qui dépose une tiare immortelle de poésie sur la limbe imaginaire qui borde ta contraction
Percé de part en part par les ficelles filamenteuses écliptiques de l’univers fakir de l’atome
Comptant les jours à la défilée des pages blanches du carnet constatant l’immaculée bleuité
Des nombreuses lunes qui s’évident en passant d’un coin à l’autre de leur quartier
Visibilité anthracite des nombreux lacs et cratères de la marée nostrum qui reflue sur les cotes
Car le rythme de la consécration suit les flots endigués qui nourrissent le cycle inéluctable du poème
À l’exclame de deux jeunes amoureux qui parlent de la vie sans éviter de parler d’eux
Portant l’existence en eux qui luminent à la dérobée d’ailleurs dans leurs yeux
Les jours passés ensembles allaient voir débarquer des années pleines d’amis parmi les nôtres
Voyant passer le long d’une seule écharpe la faune hydrophile d’un oasis immortel où les bédoins restent
Buvant dans l’eau du lac d’apesanteur les molécules tapissant de translucidité l’irréalité reculée du désert peuplé
Un caravansérail garé sur le parking de notre recoin de nuit derrière les pelouses arrosées de métropolis
Au coucher du soleil le carosse devint un squat d’artistes et le déchaussement de Cendrillon vers Shéhérazade
Portant les coups de dés des gambleurs du Texes Hold’Em sur tapis vert et les mines aérobies des accros de Wii
Pétris d’effets de manche en bousculant les héros plasmatiques qui peignent Zelda traversant une forêt de psychanalyse
Avant que nous partions au jour levé décrocher la pyramide de Gizeh au sommet transparent d’un Louvre sans âge
Avançant sur des vestiges d’époque en reculant le temps figé dans le prestige des oeuvres accrochées à la grande muraille
De la haute école de l’humanité qui bâtissait les remparts de l’avenir où nous placions l’espoir de nos fondations
Dans les travées alvéolaires d’une gaufre au nutella tapissant la bouche des saveurs noisettes où fond le baiser
La neige en sucre glace tapissait la patinoire du grand air balayé par le ballet de nos dérapages appariés
La vitesse de ces élans au souvenir de la première fois sur roulettes au carrefour de l’entre-deux accidentel
Tendrement sur la piste tranquille où l’on se serre de la nouvelle fois
Réalisant une arabesque sur l’ellipse simple en mimant le demi-tour achevé dans le centre en plein coeur scellé du baiser
Rejoignant en fin de soirée le jardin apaisant de notre Eden hululant sous les chants archangéliques de la bénédiction
La force de l’être-là au sein de l’être-au-monde quand on parle d’union des corps
Accentuée dans le silence de l’écoute qui meurtrit les diableries passées
L’amour greffant un tuner aux fréquences musicales des fantasmes disc-jockeys
Sublimant entre nos mains unis la fresque désarmée du chemin de nos vies
poeteric- Nombre de messages : 933
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