LES CHUINTEMENTS DE L’INTIME - reprise de BROUHAHA DE MON COEUR part 1
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LES CHUINTEMENTS DE L’INTIME - reprise de BROUHAHA DE MON COEUR part 1
Impossible de copier-coller convenablement, je laisse tomber
Re: LES CHUINTEMENTS DE L’INTIME - reprise de BROUHAHA DE MON COEUR part 1
envois-le moi...je vais voir si je trouve une solution...
le suspens est intenable!
le suspens est intenable!
Errances- Nombre de messages : 108
Age : 53
Localisation : Paris/FarFarOuest
Date d'inscription : 27/06/2008
Re: LES CHUINTEMENTS DE L’INTIME - reprise de BROUHAHA DE MON COEUR part 1
mince j'ai loupé quelque chose...
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: LES CHUINTEMENTS DE L’INTIME - reprise de BROUHAHA DE MON COEUR part 1
I
La main d’une caresse douce sur le dépli rotulien
Le mot réversible ne connaît pas d’absolu
Embué de sublime & de trivial qui désordonnent
Difficulté de la suffisance encornée par la rouille
Je nourris mes glandes de la pluie insecticide
Pulsatile des métaphores angulaires de l’exact
Parmi nous les horlas – aventuriers tibétains – exagèrent
Prisonniers des caractères au glaucome en paysage
Les pointes ordonnent aux fauconniers le rappel
D’un crocodile échappé entre deux frères sous le banc
Qui produit les larmes publivores de la démonstration
Je ris qui tue sa vie dès l’espoir
En godilles chasse-neigeuses
De portes aux étoiles embatonnées
D’un filin sans goupille
Amorcé par les clopes en cashmere
À l’autre bout du mohair désépaissi d’angora
Au coin de la lune brisée en pâte feuilletée
Braisée par le mitron étourdis de farces-attrapes
Au bal qu’on débutine
J’ai les code d’un rappeur
Crachant dans les retours de mic
On/Off sans férir que l’ingé son tripatouille
Téléporté par l’hélice de mon flow triphasé
D’un rotor sur les planches fratricides qui s’écroulent
Le flair de la salle au moment de l’acmé triplé
Quand un gun allume un peu de weed attristé
D’une ambiance vaporeuse où les mots tributaires vont va-tout
Jokers à la gueule triomphale des condés
Dépôts cédés d’un badge ripoux au fond d’un trirème
Deep l’ohm au gégère trieur d’irradiations
Élaguée haine de l’an sainte
Rave en rêves en raves champignonnesques
À l’orgie, se raidit l’arène
Alors j’y serai dit la reine
Devant les vits qu’on démuscle
Retour au flaccide vulgaire
De Monsieur-tout-le monde
Où les clodettes serinent Claudine
Une jarretelle pendante sur la mouche
Voilà le hipe gno(s)tique sans ceSSe
Allez rumba vroom sur les planches surex-pose-et-citées
D’artignan au rapport par le flair au fleuret
Combattant le rasoir d’Ockham avec la prune de Tell
Éclaboussant les maras-des-bois dans un lac de cidre athée
Car laisse poires y six trognons qui s’y tient
Lacan s’est gracié d’auto-consécration
Perdrix à la chasse contre cartouches
Les biches pleurant de coing aux marmites
Non tank îles six croix
Ces faux fils ô chenils qu’en pâme l’oisillon
Hissent judokas effets longs
L’âcre y mal-ipule l’oeillet en levrette
Mes sens déréglés s’agitent ou s’entortillent
Bouillant de chaux sous la silice syphilitique
Que les vapeurs d’alcôve teintent de cyprine
La charogne des coeurs cherchant les restes d’un abricot
Les coqs aux plats font l’oeuf ampoulé
Rafistolé par Méphisto vêtu d’un perfecto
La bouche aux cigares des lampes électrogènes
Pull the plug my friend between smoke & mirrors
Lampe où là où le vin s’est dévers-sifié
Les tonneliers de fumée râlent au levant du jabloir
Plastiquement incombé aux apôtres circoncis d’accuité
Où Lipo suce l’ion thanato Di-Diogène
Dans le pit y étaient des mûres mûrs d’eau fraise
Écoulée par les bâchis d’Ozu-k
Sertis de hier passant le ballet au tea létale
Les contes franchis d’un doux juron
Passant le son du mur des Vosges
Incarnage des commis ferrant les bouquetins
Ondulant de l’ongulet pour triplet les octuors
Des tyroliennes en passe-murailles
Le hameau dessus les cimes posées du pâturage
Le bateau ivre batifolle au bassin que les bois bouturent en retrait
Sans férir le frisson s’enferme dans les fentes des forbans mis forfaits
J’ai jumelé en jactance la jachère de mes joues aux villas joies des jumeaux
Nus pieds nous nageâmes nulle part ni ici ma naïade
Suçant le suc des secondes sur l’onde glissant par sachets de saphirs
Un film x asphyxié d’oxygène où nous acceptâmes de nous excroître
C’était le temps des cerises quand nous chantonnions du même choeur le refrain de l’élan
Perdus dans la couleur des géraniums repliés sur la mezzanine du monde en rocking-chair
Prenant tes seins dans mes mains pour ennoblir la couverture du monde pointant le téton
À la vitesse du sourire qui redresse nos mâles attitudes quand je prononce “je t’aime” aux
crochets de toi
Les isthmes n’accueillent plus les vérités palottes
Orbitales du zénith du même en déclinaison de kérozène
Allumés par les feux de Bengale quand rugissent les sacripans
Pendant que l’odeur fait l’amour au toucher enrubanné de jouissance
Je suis hapé d’être à toi de nous
De mots qui pluie la peur de toi en là-bas
Où je ne suis qu’un pion de quark sans vie
Plût à Dieu que la joie des rimes la mue amarrée de noos
J’ai Toi bien gravé dedans l’icelle adoration, magnificat prodigue de l’amour
Sur les stalactites des cristaux d’uranium
Où s’envoûtent les reflets parsemés de la taille
Entrecroisés par le burin du créateur yéti
Une patte de velour défrayant la chronique alpiniste
Quand le premier de cordée regarde les bonhommes de neige
Faire du patin sur les pentes déclivées de l’Occident
Une Aléoute donnant la main à l’Inuit
Comme les Montagus aux Capulets
Le piolet s’encorde à la roche qui dévisse
Sous les patins crantés du froid
Le talc ne plie jamais sous le Feldspath
Car les cornes de l’homme sont meilleures
Que les bois du Caribou
L’impermanence du temps présent
Le temps défile en ligne droite
Selon la règle géométrique
Du plus court chemin pour allier la mort
Commissures de brèves esquisses
Sur l’atoll peuplé de silences à la queu-leu-leu
L’Océan enlargi par une rêverie
Taillant le rorqual au cachalot
Car Circé se fait diablesse
Au plus grand mât de la navigation
À l’inverse du tirant d’air
Deux fées marines conversent d’eau
Parlant du point d’ébullition d’Ulysse
Longeant le rift comme un trident diamantaire
Sous le basalte fertile qui secoue les blés marins
Que vient croquer la seule sirène de nos rêves
Celle qui nous tire de la nuit pâlie cendrée
D’une éjaculation enharmonique de Disney
Minerve est restée au port du Cap d’Agde
Le héros partant du départ où les canards sauvages
Traînent leur petit qui soudainement
Se mettent à voler en dépliant l’azur
Par-dessus les convexions aériennes
Où l’homme trouve son visage déformé de jalousie
Car s’il savait parler l’albatros serait l’ange de la Pentecôte
Reprenez vos esprits car les crustacés se sédimentent
Dans les bocaux que les sages montent au formol
Pleine d’embûches la forêt aux maléfices qui mal y pense
Crevant l’abcès des amanites tue-mouche et phalloïde
Où le pue se déverse en régénérant la chlorophylle
Regardez les douves par-delà les trois couleurs fondamentales
Quand le cyan et le magenta ont trop pleuré sur le canevas
Et ne reste accroupie qu’une pochade verdâtre retournée
Qui cherche encore son effacement pastel au pistil de l’ivresse
Ta main est retenue par des menottes jugulaires
Les chaînes d’airain giclent au son du tambour
Les mailles liquéfiées de l’extrême pudeur
Puisque l’amour porté embrase la matière
Ce sont des mots sans faille
Sans vermine sans apparât
Qui croquent la pomme blanchie de sperme
Nourris de la matière d’être humain
Jusqu’à l’éclosion
Du dernier humain
Dans les langes de chez moi
La main d’une caresse douce sur le dépli rotulien
Le mot réversible ne connaît pas d’absolu
Embué de sublime & de trivial qui désordonnent
Difficulté de la suffisance encornée par la rouille
Je nourris mes glandes de la pluie insecticide
Pulsatile des métaphores angulaires de l’exact
Parmi nous les horlas – aventuriers tibétains – exagèrent
Prisonniers des caractères au glaucome en paysage
Les pointes ordonnent aux fauconniers le rappel
D’un crocodile échappé entre deux frères sous le banc
Qui produit les larmes publivores de la démonstration
Je ris qui tue sa vie dès l’espoir
En godilles chasse-neigeuses
De portes aux étoiles embatonnées
D’un filin sans goupille
Amorcé par les clopes en cashmere
À l’autre bout du mohair désépaissi d’angora
Au coin de la lune brisée en pâte feuilletée
Braisée par le mitron étourdis de farces-attrapes
Au bal qu’on débutine
J’ai les code d’un rappeur
Crachant dans les retours de mic
On/Off sans férir que l’ingé son tripatouille
Téléporté par l’hélice de mon flow triphasé
D’un rotor sur les planches fratricides qui s’écroulent
Le flair de la salle au moment de l’acmé triplé
Quand un gun allume un peu de weed attristé
D’une ambiance vaporeuse où les mots tributaires vont va-tout
Jokers à la gueule triomphale des condés
Dépôts cédés d’un badge ripoux au fond d’un trirème
Deep l’ohm au gégère trieur d’irradiations
Élaguée haine de l’an sainte
Rave en rêves en raves champignonnesques
À l’orgie, se raidit l’arène
Alors j’y serai dit la reine
Devant les vits qu’on démuscle
Retour au flaccide vulgaire
De Monsieur-tout-le monde
Où les clodettes serinent Claudine
Une jarretelle pendante sur la mouche
Voilà le hipe gno(s)tique sans ceSSe
Allez rumba vroom sur les planches surex-pose-et-citées
D’artignan au rapport par le flair au fleuret
Combattant le rasoir d’Ockham avec la prune de Tell
Éclaboussant les maras-des-bois dans un lac de cidre athée
Car laisse poires y six trognons qui s’y tient
Lacan s’est gracié d’auto-consécration
Perdrix à la chasse contre cartouches
Les biches pleurant de coing aux marmites
Non tank îles six croix
Ces faux fils ô chenils qu’en pâme l’oisillon
Hissent judokas effets longs
L’âcre y mal-ipule l’oeillet en levrette
Mes sens déréglés s’agitent ou s’entortillent
Bouillant de chaux sous la silice syphilitique
Que les vapeurs d’alcôve teintent de cyprine
La charogne des coeurs cherchant les restes d’un abricot
Les coqs aux plats font l’oeuf ampoulé
Rafistolé par Méphisto vêtu d’un perfecto
La bouche aux cigares des lampes électrogènes
Pull the plug my friend between smoke & mirrors
Lampe où là où le vin s’est dévers-sifié
Les tonneliers de fumée râlent au levant du jabloir
Plastiquement incombé aux apôtres circoncis d’accuité
Où Lipo suce l’ion thanato Di-Diogène
Dans le pit y étaient des mûres mûrs d’eau fraise
Écoulée par les bâchis d’Ozu-k
Sertis de hier passant le ballet au tea létale
Les contes franchis d’un doux juron
Passant le son du mur des Vosges
Incarnage des commis ferrant les bouquetins
Ondulant de l’ongulet pour triplet les octuors
Des tyroliennes en passe-murailles
Le hameau dessus les cimes posées du pâturage
Le bateau ivre batifolle au bassin que les bois bouturent en retrait
Sans férir le frisson s’enferme dans les fentes des forbans mis forfaits
J’ai jumelé en jactance la jachère de mes joues aux villas joies des jumeaux
Nus pieds nous nageâmes nulle part ni ici ma naïade
Suçant le suc des secondes sur l’onde glissant par sachets de saphirs
Un film x asphyxié d’oxygène où nous acceptâmes de nous excroître
C’était le temps des cerises quand nous chantonnions du même choeur le refrain de l’élan
Perdus dans la couleur des géraniums repliés sur la mezzanine du monde en rocking-chair
Prenant tes seins dans mes mains pour ennoblir la couverture du monde pointant le téton
À la vitesse du sourire qui redresse nos mâles attitudes quand je prononce “je t’aime” aux
crochets de toi
Les isthmes n’accueillent plus les vérités palottes
Orbitales du zénith du même en déclinaison de kérozène
Allumés par les feux de Bengale quand rugissent les sacripans
Pendant que l’odeur fait l’amour au toucher enrubanné de jouissance
Je suis hapé d’être à toi de nous
De mots qui pluie la peur de toi en là-bas
Où je ne suis qu’un pion de quark sans vie
Plût à Dieu que la joie des rimes la mue amarrée de noos
J’ai Toi bien gravé dedans l’icelle adoration, magnificat prodigue de l’amour
Sur les stalactites des cristaux d’uranium
Où s’envoûtent les reflets parsemés de la taille
Entrecroisés par le burin du créateur yéti
Une patte de velour défrayant la chronique alpiniste
Quand le premier de cordée regarde les bonhommes de neige
Faire du patin sur les pentes déclivées de l’Occident
Une Aléoute donnant la main à l’Inuit
Comme les Montagus aux Capulets
Le piolet s’encorde à la roche qui dévisse
Sous les patins crantés du froid
Le talc ne plie jamais sous le Feldspath
Car les cornes de l’homme sont meilleures
Que les bois du Caribou
L’impermanence du temps présent
Le temps défile en ligne droite
Selon la règle géométrique
Du plus court chemin pour allier la mort
Commissures de brèves esquisses
Sur l’atoll peuplé de silences à la queu-leu-leu
L’Océan enlargi par une rêverie
Taillant le rorqual au cachalot
Car Circé se fait diablesse
Au plus grand mât de la navigation
À l’inverse du tirant d’air
Deux fées marines conversent d’eau
Parlant du point d’ébullition d’Ulysse
Longeant le rift comme un trident diamantaire
Sous le basalte fertile qui secoue les blés marins
Que vient croquer la seule sirène de nos rêves
Celle qui nous tire de la nuit pâlie cendrée
D’une éjaculation enharmonique de Disney
Minerve est restée au port du Cap d’Agde
Le héros partant du départ où les canards sauvages
Traînent leur petit qui soudainement
Se mettent à voler en dépliant l’azur
Par-dessus les convexions aériennes
Où l’homme trouve son visage déformé de jalousie
Car s’il savait parler l’albatros serait l’ange de la Pentecôte
Reprenez vos esprits car les crustacés se sédimentent
Dans les bocaux que les sages montent au formol
Pleine d’embûches la forêt aux maléfices qui mal y pense
Crevant l’abcès des amanites tue-mouche et phalloïde
Où le pue se déverse en régénérant la chlorophylle
Regardez les douves par-delà les trois couleurs fondamentales
Quand le cyan et le magenta ont trop pleuré sur le canevas
Et ne reste accroupie qu’une pochade verdâtre retournée
Qui cherche encore son effacement pastel au pistil de l’ivresse
Ta main est retenue par des menottes jugulaires
Les chaînes d’airain giclent au son du tambour
Les mailles liquéfiées de l’extrême pudeur
Puisque l’amour porté embrase la matière
Ce sont des mots sans faille
Sans vermine sans apparât
Qui croquent la pomme blanchie de sperme
Nourris de la matière d’être humain
Jusqu’à l’éclosion
Du dernier humain
Dans les langes de chez moi
Re: LES CHUINTEMENTS DE L’INTIME - reprise de BROUHAHA DE MON COEUR part 1
II
Des iliades
Voyages sans fin
Conduits par Yoda ou yogis
Attracteur de vérités
Sur les pas sans frontière
Le reflux de l’inerte sans mobile
Qui croule sous l’obligation de mouvement
Fatigué d’être à moitié
En ne cheminant jamais
Les lumens se réduisent des femmes stores fermés
Envoilées dans les draps de débauches impromptues
Les fluxions des odeurs de plastic
Dans la gorge taquine qui susurre
Mille déclamations de rang au coeur
Le frisson récurrent de l’orgasme
La saisie de la bête à deux dos
Au claquement d’une latte de bois décousue
Le timbre et le ton tintinnabulent
Des friselis de connivences au-delà du flirt
Fourmillant de tentations hors dicibles
À l’écoute de l’inaudible
Les phrases doctorales s’accouplent aux suivantes
Rebondissant sur les cache-sexes italianisants
Inintelligibles sous-entendus
Que les contraires s’attirent
Par les prémisses sucrées de l’instantané
Sur la robe déglutissante de transparence spermatique
Les mots se préfixent dans la vulve
Devenus peu à peu onomatoppés
Et rien d’autre que râles d’être
Quand le corps attisent les poumons
D’un souffle qui s’égaye à tenir la raison hors d’haleine
Tenir le tiens pour dit
Et l’alcôve à baldaquin une dernière fois
Car des losanges forment les armoiries
D’une chambre secrête de l’Institut
Quand les clers déposent leurs vertes épées
Pour sauter les héllènes redevenues femelles
Sur les lèvres diaboliques
Aux côtés de broderie
L’intérieur en sursis
Me dresse du phallique
Fiat lux pulsatile et vibrant d’un coeur de genèse
Marivaudage fallacieux entre Traviata et Trouvère
Rigolant dos-à-dos sur les planches ob-scène du public
Reprenant la énième au théâtre sans splendeur
Pendant qu’en coulisse sopranes et ténors
Se sexe-faufilent en se chauffant la voix
Matamore de l’art extrême
Fléchant les prairies au passe-partout
Dévoyant la campagnarde et la poulette
Dans les foins piquants engrangés des fesses aiguisées
Dussé-je réclamer j’aurais mon droit
Un centimètre charnel de toi
Un inch au nouvel an
Un lambeau de peu de souvenir
Sur la nacelle d’un zeppelin
Dans l’osier d’un ballon
Derrière les carreaux du Transsibérien
Au sommet de Florence
Dans une taverne de Tolstoï
Sur le bûcher des vanités
Dans une mare gelée éperdue de cygnes
Dans les entrelacs recoins du chat perché
Dans les cabanes de Gergovie
Aux calendes de Navarre grecque
Au centre de Cassiopée ou de Bételgeuse
Au firmament de l’instant
Lors d’un repli sur nous
Le doigt levé de la demande
Allongé dans les caravansérails
Promis par les tours opérators
Sur une couche d’eucalyptus aux Maldives
Pour se dire toujours de renaître en revenant
Parce que ton visage m’ultra gloss
Relevant la panière d’eau fraîche de Dalì au port de Figueres
Voir un chiot qui dort le museau sur la pate sur le museau
Entrebaîllé par la voix de son maître crissante
Le nuage est passé au vent de l’impossible
Retour sur terre à la traîne somnambule
Je t’aime pour ma double chérie
D’une paix affermie par demain
Un coutelas de grêle si tu absentes
Un parfum qui me retourne
D’un souvenir bombé call-girl
Des fruits ceints de l’essaim de l’interdit maso
Un dos de femme sur torse d’homme
Compilation resto verso sur la tranche du hasard
Comme une horreur bestial du Cerbère l’égide
Disant la bonne aventure pour tout accueil
Sur cambrures de grands écarts
Elle m’a fait son numéro
Écarquillant l’instinct du ciel
De sublimes pyromanies
En geysers de folie
Je n’ai pas la coutume de lire
Au détour des strophes et stances de nous
Le profil haut bas courbe toile
Il n’est rien de beau que la beauté
À ce pays auquel tu appartiens
Avant d’être mienne
L’obsolescence juvénile du pouvoir qui s’émeut de désirs
Puis nous pisserons l’un après l’autre dans les marais en toute confiance
D’une même satiété de l’instant évidé d’être d’urine turquoise
Embrassement inaudible du murmure recroquevillé en chacun de nous
Qui surface l’étang cognitif du même sentiment où l’on se répête
À la lisière érectile d’un maelström de délices qui glapissent sous l’effet foehn
Le fond septentrionnal de l’air submerge les subterfuges d’une aurore boréale irrisée
Par la compression adiabatique qui passionne les mots humectant du silence
Comédie romantique en crève-la-faim
Subissant les bourrasques du bon sentiment
Toutes les fleurs bleus sont des marguerites à la folie pas du tout
Qu’il s’agisse des tourelles du poème ou du lance-pierres des jeunes
Si l’amour est hors lit
Le lit est hors-là
Au-dedans de l’encore
Où se caressent les non-dits
Des mots de minuiendo
Ailleurs que le motif en froufrou
Que les tombes dépilent
Pour l’à-venue des justes
Cédant place aux cédilles assassines
De l’orthographe remplumé
Que les mines décochent
Chiropraxie du verbe orientalisé
Façonné d’une pompe cubique à la racine
Écartelé en ses deux origines
“sur les sommes d’extrêmes”
Recourbés uniques sur l’axologie du juste
En levant la fanfare qui tambourine de ses doigts de fée
Sur tes cils de rameaux de déesse
J’ai vu pendue une histoire du monde
Pour qu’un roi aille à l’inceste d’une gloire espagnole
En levant les armées contre la coalition
Pendant que les crèmes émeraudes du royaume
Filaient le train des visages jaloux
Ils ont fini dos-à-dos
Perdus puis honorés
Amants ou bien amis
Dans un cosy sofa
Où ils se déboussolent
D’un baiser que cela
On l’on reste lascif
Dans le cœur du sanglot
Évaporation de la fugacité
Dans des bruines sans teinte
Remontant l’éclaboussure
Sur les écorchures de la peau
L’oeil ouvert sans lumière reste nuit
Obligé nu du réflexe qui pulse l’instinct
Il se lève des aubades étourdies
Depuis les pots d’échappement
Des iliades
Voyages sans fin
Conduits par Yoda ou yogis
Attracteur de vérités
Sur les pas sans frontière
Le reflux de l’inerte sans mobile
Qui croule sous l’obligation de mouvement
Fatigué d’être à moitié
En ne cheminant jamais
Les lumens se réduisent des femmes stores fermés
Envoilées dans les draps de débauches impromptues
Les fluxions des odeurs de plastic
Dans la gorge taquine qui susurre
Mille déclamations de rang au coeur
Le frisson récurrent de l’orgasme
La saisie de la bête à deux dos
Au claquement d’une latte de bois décousue
Le timbre et le ton tintinnabulent
Des friselis de connivences au-delà du flirt
Fourmillant de tentations hors dicibles
À l’écoute de l’inaudible
Les phrases doctorales s’accouplent aux suivantes
Rebondissant sur les cache-sexes italianisants
Inintelligibles sous-entendus
Que les contraires s’attirent
Par les prémisses sucrées de l’instantané
Sur la robe déglutissante de transparence spermatique
Les mots se préfixent dans la vulve
Devenus peu à peu onomatoppés
Et rien d’autre que râles d’être
Quand le corps attisent les poumons
D’un souffle qui s’égaye à tenir la raison hors d’haleine
Tenir le tiens pour dit
Et l’alcôve à baldaquin une dernière fois
Car des losanges forment les armoiries
D’une chambre secrête de l’Institut
Quand les clers déposent leurs vertes épées
Pour sauter les héllènes redevenues femelles
Sur les lèvres diaboliques
Aux côtés de broderie
L’intérieur en sursis
Me dresse du phallique
Fiat lux pulsatile et vibrant d’un coeur de genèse
Marivaudage fallacieux entre Traviata et Trouvère
Rigolant dos-à-dos sur les planches ob-scène du public
Reprenant la énième au théâtre sans splendeur
Pendant qu’en coulisse sopranes et ténors
Se sexe-faufilent en se chauffant la voix
Matamore de l’art extrême
Fléchant les prairies au passe-partout
Dévoyant la campagnarde et la poulette
Dans les foins piquants engrangés des fesses aiguisées
Dussé-je réclamer j’aurais mon droit
Un centimètre charnel de toi
Un inch au nouvel an
Un lambeau de peu de souvenir
Sur la nacelle d’un zeppelin
Dans l’osier d’un ballon
Derrière les carreaux du Transsibérien
Au sommet de Florence
Dans une taverne de Tolstoï
Sur le bûcher des vanités
Dans une mare gelée éperdue de cygnes
Dans les entrelacs recoins du chat perché
Dans les cabanes de Gergovie
Aux calendes de Navarre grecque
Au centre de Cassiopée ou de Bételgeuse
Au firmament de l’instant
Lors d’un repli sur nous
Le doigt levé de la demande
Allongé dans les caravansérails
Promis par les tours opérators
Sur une couche d’eucalyptus aux Maldives
Pour se dire toujours de renaître en revenant
Parce que ton visage m’ultra gloss
Relevant la panière d’eau fraîche de Dalì au port de Figueres
Voir un chiot qui dort le museau sur la pate sur le museau
Entrebaîllé par la voix de son maître crissante
Le nuage est passé au vent de l’impossible
Retour sur terre à la traîne somnambule
Je t’aime pour ma double chérie
D’une paix affermie par demain
Un coutelas de grêle si tu absentes
Un parfum qui me retourne
D’un souvenir bombé call-girl
Des fruits ceints de l’essaim de l’interdit maso
Un dos de femme sur torse d’homme
Compilation resto verso sur la tranche du hasard
Comme une horreur bestial du Cerbère l’égide
Disant la bonne aventure pour tout accueil
Sur cambrures de grands écarts
Elle m’a fait son numéro
Écarquillant l’instinct du ciel
De sublimes pyromanies
En geysers de folie
Je n’ai pas la coutume de lire
Au détour des strophes et stances de nous
Le profil haut bas courbe toile
Il n’est rien de beau que la beauté
À ce pays auquel tu appartiens
Avant d’être mienne
L’obsolescence juvénile du pouvoir qui s’émeut de désirs
Puis nous pisserons l’un après l’autre dans les marais en toute confiance
D’une même satiété de l’instant évidé d’être d’urine turquoise
Embrassement inaudible du murmure recroquevillé en chacun de nous
Qui surface l’étang cognitif du même sentiment où l’on se répête
À la lisière érectile d’un maelström de délices qui glapissent sous l’effet foehn
Le fond septentrionnal de l’air submerge les subterfuges d’une aurore boréale irrisée
Par la compression adiabatique qui passionne les mots humectant du silence
Comédie romantique en crève-la-faim
Subissant les bourrasques du bon sentiment
Toutes les fleurs bleus sont des marguerites à la folie pas du tout
Qu’il s’agisse des tourelles du poème ou du lance-pierres des jeunes
Si l’amour est hors lit
Le lit est hors-là
Au-dedans de l’encore
Où se caressent les non-dits
Des mots de minuiendo
Ailleurs que le motif en froufrou
Que les tombes dépilent
Pour l’à-venue des justes
Cédant place aux cédilles assassines
De l’orthographe remplumé
Que les mines décochent
Chiropraxie du verbe orientalisé
Façonné d’une pompe cubique à la racine
Écartelé en ses deux origines
“sur les sommes d’extrêmes”
Recourbés uniques sur l’axologie du juste
En levant la fanfare qui tambourine de ses doigts de fée
Sur tes cils de rameaux de déesse
J’ai vu pendue une histoire du monde
Pour qu’un roi aille à l’inceste d’une gloire espagnole
En levant les armées contre la coalition
Pendant que les crèmes émeraudes du royaume
Filaient le train des visages jaloux
Ils ont fini dos-à-dos
Perdus puis honorés
Amants ou bien amis
Dans un cosy sofa
Où ils se déboussolent
D’un baiser que cela
On l’on reste lascif
Dans le cœur du sanglot
Évaporation de la fugacité
Dans des bruines sans teinte
Remontant l’éclaboussure
Sur les écorchures de la peau
L’oeil ouvert sans lumière reste nuit
Obligé nu du réflexe qui pulse l’instinct
Il se lève des aubades étourdies
Depuis les pots d’échappement
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Ven 15 Jan - 16:40 par poeteric
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