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mes accents bagatelles

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Message par poeteric Sam 24 Jan - 16:44

retiré


Dernière édition par poeteric le Mer 24 Juin - 8:03, édité 1 fois

poeteric

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mes accents bagatelles Empty Re: mes accents bagatelles

Message par poeteric Lun 26 Jan - 10:49

Le jour où le monde dans la course des chutes oublia le pourquoi de la fin de leurs guerres une nouvelle onde va vient et répercute les défis de la foi dans l’aube après l’enfer.

J’ai envie de m’asseoir sur le rebord du monde y voir les versants de nos secondes se fracasser sur l’univers des années lumières j’aimerais sonder la grandeur d’âme de cette terre filant sur le plastron des profondeurs à la vitesse d’un soleil qui nous aspire et nous transperce de ses turbulences pertinentes sur notre mort lente j’aimerais dire j’aimerais quand déjà ce soir je ne sais qu’une nuit qui arrive sans savoir si le matin viendra naître ses couleurs entre les ressorts des regards ribambelles sur un horizon d’étincelles aux mesures solennelles de nos respirations sereines expirant leurs bouffées de vie dans l’air qui les emporte j’aimerais que le mot secret ne cache que les mots doux que l’on se susurre à l’oreille pendant que je gobe l’acide de ton parfum aux vapeurs de ton cou ouvrant son sésame lorsque je mordille ton lobe j’aimerais t’offrir un thé aux arômes des pâturages du ciel qui prônent sur des champs de fleurs sauvages j’aimerais nous embaumer des zestes pétillants des goûts d’éclats de groseilles entremêlées aux humeurs soyeuses du duvet rose des framboises j’aimerais rouler des cerises cherry confites sur des chemins aux goudrons de sucre rouge je suivrais à la langue leurs traces sur ta peau qui tremble quand suinte ton ventre sous le pot de glace haagendass de ton parfum préféré que je lape du nombril jusqu’à tes lèvres brownie en croquant le fondant de ton macademia j’aimerais goûter la lune dans les sillons de ton regard je mangerais l’infini jusqu’aux surcouches de nos baisés en bouches bées je veux éclabousser les bâtons de tests des retours de codas de nos profondeurs assimilées j’aime rai inamovible de la distance de nos pas jusqu’au bord de ce qu’on peut voir que l’espace prolonge j’aimerais t’inviter te parler comme un être normal se constitue en bombant le torse pour se montrer plus dur qu’un monde à son schéma pour être au bout de la chaîne des forces dans toute son identité minéralogique j’aimerais que la souffrance soit une maladie le cancer une humeur j’aimerais l’amour à perte et non la perte d’amour j’aimerais les fruits de la nuit sur les vendanges de nos corps j’aimerais l’échange contre les changes j’aimerais l’omniscience de la justice inhérente à la conviction de sa justesse j’aimerais ni des prisons que des cellules de formation du comment regarder ceux plus haut qui croquent pendant qu’ils crack qu’ils deal entre crocodiles affamés sentant au loin les bais de nos fleurs sauvages regardant flotter des oiseaux aux plumes de marées noires j’aimerais te laisser te débrouiller avec ce que j’écris sans avoir à ma justifier dans la façon où je crois que la frime ne te rime à rien sinon montrer la basse estime pour ton prochain que tu regardes d’un air oblique et yeux de cocker en levant ta pâte délébile sur ton clavier qui te trouves débile hey get up tu n’as de stand up que la rareté des battements de ton pouls sur le tempo de ta recherche identitaire qu’un détective à trois sous trouvera dans le tiroir de la caisse vide de ton cœur et je dis ça à tous ceux qui roulent des hey pool sur toute leur hystérie de bastons virtuelles suis sur que vous faites l’amour sur une machine à jeux érotiques j’aimerais te faire l’amour sur un flipper et mettre de toute mon énergie des coups de tilts entre tes cuisses aux compteurs de ta jouissance j’aimerais courir la jungle et mitrailler tous tes désirs embusqués qui sautent sur ma grande surprise de te désintégrer en poussières de chairs venant se répandre tous les morts à la seconde entre mes tirs qui te fusillent j’aimerais être l’agence de voyage de tes destinations imprévues tous les instants où je m’avoue à toi dans un silence chargé de nos confrontations sensuelles j’aimerais faire honneur au passé en vivant dans mon présent qui subjective l’avenir sur son calendrier d’espoirs j’aimerais la dérision naturelle comme soupape à la pression chimique et non la violence aux querelles des différentes logiques j’aime tes sussions de boire goulûment le nectar précieux retenu entre les pétales de nos corps qui raisonnent sous les frémissements de miel qui dégoulinent de mon dard je veux les nuits de nos batailles une orgie de nos armées de clones pour le matin abattus nous nous éveiller lovés rien que tous les deux je veux payer sans retard notre état en déclarant nos cœurs qui s’imposent majorée de tendresses sur la fermeté de tes rappels je veux une mensualisation je veux une mutuelle l’assurance ne prend pas tout en charge je veux payer plein pot un jour de soldes je veux du lait dans une coupe noix de coco avec un soupçon d’orgeat et ouvrir mon ordi pour écrire ce que j’aimerais ce que je veux comme un scribouillard qui ski dans le brouillard d’une avalanche à ses trousses faisant des sapins géants des petits crayons de papier quand les mégas bâtiments passeraient pour des stylos-pubs d’acier je veux surfer sur les vagues blanches des roulis de ton cœur où notre bien être raisonne dans le silence de nos rouleaux inexorablement entraînés l’un sur l’autre vers la rive de leur tranquillité émouvante je veux apprendre la peinture sur soie de ton corps à dessiner de l’encre érotique de tes échines in statiques aux calligrammes physiques de nos positions qui s’animent avec les reflets du ciel béant faisant front sur l’océan où l’on se chancelle parmi les nuages flanelles des étoffes de feux des dernières brûlures du soleil avant l’apparition des lueurs lointaines des étoiles qui s’éteignent lorsque l’on se consume en s’étiolant sur les braises du bout de nos doigts venant frôler la souveraineté du firmament où l’on s’endort entre les symboliques de nos corps étendus l’un contre l’autre et qui se chuchotent des mots d’amour je veux chuchoter nos ambivalences qui se complètent sur ton cœur qui m’écoute et me répond je n’ai de voluptés que le velouté de nos fréquences qui s’accouplent parmi les mouvements éphémères de notre refrain sexe clamant je veux t’entendre déposer tes plaintes sur le comptoir policé où je te prends je veux casser les barreaux que le monde a construit autour de ton innocence je veux t’évader à bord de l’hélicoptère de nos délices lorsque l’on stagne pour s’enfuir de nos sens à hélices au turbo de nos souffles sur nos prisons qui se fissent je veux rougir ta honte quand ta raison se disperse emportant des bouts de toi que tu regardes indécise entre vouloir les rattraper et vouloir t’en échapper pour t’y sentir conquise lorsque tu te laisses aller à tes râles en crises d’absorptions orgasmiques qui te percent je veux l’exclusivité entière de notre interview je veux étudier passionnément chaque tableau de tes mouvements je veux atteindre la température de ta fente en étuve et t’allonger sur le banc de bois du sauna où nos bouffées somatisent nos gouttes de sueurs sur les pierres chaudes de nos corps qui grésillent je veux couvrir comme une bulle à la vitesse d’un bisou qui remonte par écho son frisson propagateur je veux un combat debout pour nous mâter par terre je veux un combat dans une fondue de chocolat comme un champs de cacao d’une ère en plein soleil où l’on se glisserait entre les bras je veux ton cœur en kinder je veux trouver ton trésor dans une ville en plastique quand on se personnage je veux ton cœur en kinder que l’on se construise nos expériences en kit je veux ton cœur en kinder je veux un monde juste dans ses déséquilibres je veux admirer chaque étape des éléments naturels sur les embarcations de l’urbanisme face aux tempêtes qu’ils déclenchent je veux penser à la conciliation de nos différences qui font de notre unicité la chaîne de nos vies


alors je serais ton homme ma femme

poeteric

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Message par aude Mar 27 Jan - 18:28

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