ombre solaire
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ombre solaire
le souffle se meurt dans la bouche
chaque courbe se cintre sous la main
volute de flamme au fil des cils
juste à la dernière extrémité de la langue
là où les mots s’éteignent
sous le fouet inflexible de la lumière
simple restitution d’ombre
solaire comme un poème d’amour
chaque courbe se cintre sous la main
volute de flamme au fil des cils
juste à la dernière extrémité de la langue
là où les mots s’éteignent
sous le fouet inflexible de la lumière
simple restitution d’ombre
solaire comme un poème d’amour
Re: ombre solaire
La sensualité mèche nos costumes par frissons d’étincelles
Aux caresses rêvées les peaux se fusionnent sous leurs échos en poudre
Les corps se consument baignant dans les effets du palpitant au ciel
L’amour qui raisonne dans le chant espéré de nos doux flots de foudre
Mes traces de muscs s’infusent du parfum rosé de tes épaules
Des airs désireuse l’oasis communie tes prémices ondines
Tu pris alors en main ma forte envie brusque de t’être le seul pôle
Là où se rassasie la chair onctueuse de tes lèvres sanguines
Ta tresse entre mes doigts déporte entre tes reins ton regard trouble halo
Tes courbes se creusent quand ma bouche embrasse tes envies qui s’ondulent
Où je soulève enfin ta détresse aux émois de tes hanches badots
Mes baisers remontent ta longue colonne jusqu’à mordre ta nuque
Poursuivant les traces des ombres osseuses reliant nos clavicules
Pendant que frissonnent nos efforts sans honte jusqu’à fondre nos sucs
Aux caresses rêvées les peaux se fusionnent sous leurs échos en poudre
Les corps se consument baignant dans les effets du palpitant au ciel
L’amour qui raisonne dans le chant espéré de nos doux flots de foudre
Mes traces de muscs s’infusent du parfum rosé de tes épaules
Des airs désireuse l’oasis communie tes prémices ondines
Tu pris alors en main ma forte envie brusque de t’être le seul pôle
Là où se rassasie la chair onctueuse de tes lèvres sanguines
Ta tresse entre mes doigts déporte entre tes reins ton regard trouble halo
Tes courbes se creusent quand ma bouche embrasse tes envies qui s’ondulent
Où je soulève enfin ta détresse aux émois de tes hanches badots
Mes baisers remontent ta longue colonne jusqu’à mordre ta nuque
Poursuivant les traces des ombres osseuses reliant nos clavicules
Pendant que frissonnent nos efforts sans honte jusqu’à fondre nos sucs
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
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Ven 15 Jan - 16:40 par poeteric
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