confidence au vent
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confidence au vent
est-ce le silence qui chuchote ainsi droit au cœur
les preuves criantes que la raison refuse d’admettre ?
intuition ou illusion
clairvoyance ou projection
désir ou évidence
qui croire ?
le clamé ou le non-dit ?
l’écrit ou l’écho ?
qu’importe
s’il n’est rien à perdre
il n’est rien à investir
s’il n’est rien à gagner
il n’est rien à vendre
reste un soupir en confidence au vent
qui l’entraine à la couronne de l’astre scintillant
le feu n’en resplendit pas moins intransigeant
pas moins merveilleusement aveuglant
les preuves criantes que la raison refuse d’admettre ?
intuition ou illusion
clairvoyance ou projection
désir ou évidence
qui croire ?
le clamé ou le non-dit ?
l’écrit ou l’écho ?
qu’importe
s’il n’est rien à perdre
il n’est rien à investir
s’il n’est rien à gagner
il n’est rien à vendre
reste un soupir en confidence au vent
qui l’entraine à la couronne de l’astre scintillant
le feu n’en resplendit pas moins intransigeant
pas moins merveilleusement aveuglant
Re: confidence au vent
ma confidence au vent !
Les marges en marche des règlements de comptes
Jouxtent les mesures des halus qui déclassent
Les titres en fonte d’hurlements sous les arches
Aux maux qui font face par halos aux fissures
Au déni d’impasse le manque de sa pair
Détourne une boule d’un échiquier en pièces
Qu’un temps de mystère dans cet affront de masses
Débouche les quiès des frissons qu’on refoule
Alors désamanté de tes regards toxines
J’ai crevé le plat fond des abysses acides
Recouvert tes mines du panneau de dangers
Avant que s’oxyde mon cœur dans ton poison
Ta bouche ceinture mes larmes explosives
Au cri à ta gloire serti de l’amour sain
Qu’un croyant coursive dans son rêve en peinture
En coulant le ton vain des reflets aux miroirs
Les je t’aime en came que ton absence sèvre
Firent de moi un tox par-delà l’épilogue
Où le cycle aux lèvres des tremblements infâmes
Rappel au prologue notre passion botox
Les pastels dans le noir sont des restes d’aura
Surlignant les courbes des voiles d’illusions
Berçant ces bouts de toi par orbite en mémoire
Dans ce manque en fission où mon âme s’embourbe
Saurais-j’en effacer de mon tableau magique
Les filaments d’argent de tes cils d’ardoises
Sans que soit tragique le choix de ton tracé
Tant d’autres turquoises dans l’espace béant
Ma tendre au val d’amour j’irais creuser la tombe
Au parfum fantôme de mes bras dans le vide
Où de chute en trombe je vois filer les jours
Au destin du guide de solitude en baume
Est-ce toi que je pleurs par sang que l’eau d’un pur
Dilue aux fantasmes de nous couvrir unis
Mêlant nos carbures pour faire en un seul cœur
La naissance infini du monde encore aux spasmes
Les couleurs explorent les rouleaux de nuages
Par filin de cieux aux doux enclos de mille ocres
Où le saumon nage parmi le bleu en port
Des nouveaux acres aux dessins si mélodieux
Avant que s’en aille le soleil et ses traits
Je bois au cocktail des rêves aux pinceaux
Qu’un buvard de violet déteint en représailles
D’un orage aux chevaux de mon amour en selle
Les sabots aux galops martèlent l’horizon
Marquant de chaque appuie d’empreinte sur l’azur
La clarté en fusion des courses aux échos
Des rumeurs de la pluie scintillant dans l’obscur
Si le vent peut coudre ses portraits de voyages
Son souffle transcende ce que l’on en inspire
Au bal des mirages je danse avec la foudre
Avant d’y reluire ce qu’y s’y appréhende
Puise t’il exister la vraie bonne question
Résolvant l’énigme des profondeurs sublimes
Laissant à leurs brouillons d’irrégularités
Les dessous intimes des dentelles en hymne
J’ai l’âme suave dans tes odeurs sauvages
Nos muscs s’assaillent quand tu saillis mon torse
Je bombe aux ravages les désirs que tu paves
En gravant nos forces des envies qui tressaillent
Une fois dans la poupe de cette vie intense
Mes ans ralentissent quand mon humeur s‘excite
Prenant en défense par peur de ce qui coupe
Ce que plébiscite mes ombres qui vieillissent
Les marges en marche des règlements de comptes
Jouxtent les mesures des halus qui déclassent
Les titres en fonte d’hurlements sous les arches
Aux maux qui font face par halos aux fissures
Au déni d’impasse le manque de sa pair
Détourne une boule d’un échiquier en pièces
Qu’un temps de mystère dans cet affront de masses
Débouche les quiès des frissons qu’on refoule
Alors désamanté de tes regards toxines
J’ai crevé le plat fond des abysses acides
Recouvert tes mines du panneau de dangers
Avant que s’oxyde mon cœur dans ton poison
Ta bouche ceinture mes larmes explosives
Au cri à ta gloire serti de l’amour sain
Qu’un croyant coursive dans son rêve en peinture
En coulant le ton vain des reflets aux miroirs
Les je t’aime en came que ton absence sèvre
Firent de moi un tox par-delà l’épilogue
Où le cycle aux lèvres des tremblements infâmes
Rappel au prologue notre passion botox
Les pastels dans le noir sont des restes d’aura
Surlignant les courbes des voiles d’illusions
Berçant ces bouts de toi par orbite en mémoire
Dans ce manque en fission où mon âme s’embourbe
Saurais-j’en effacer de mon tableau magique
Les filaments d’argent de tes cils d’ardoises
Sans que soit tragique le choix de ton tracé
Tant d’autres turquoises dans l’espace béant
Ma tendre au val d’amour j’irais creuser la tombe
Au parfum fantôme de mes bras dans le vide
Où de chute en trombe je vois filer les jours
Au destin du guide de solitude en baume
Est-ce toi que je pleurs par sang que l’eau d’un pur
Dilue aux fantasmes de nous couvrir unis
Mêlant nos carbures pour faire en un seul cœur
La naissance infini du monde encore aux spasmes
Les couleurs explorent les rouleaux de nuages
Par filin de cieux aux doux enclos de mille ocres
Où le saumon nage parmi le bleu en port
Des nouveaux acres aux dessins si mélodieux
Avant que s’en aille le soleil et ses traits
Je bois au cocktail des rêves aux pinceaux
Qu’un buvard de violet déteint en représailles
D’un orage aux chevaux de mon amour en selle
Les sabots aux galops martèlent l’horizon
Marquant de chaque appuie d’empreinte sur l’azur
La clarté en fusion des courses aux échos
Des rumeurs de la pluie scintillant dans l’obscur
Si le vent peut coudre ses portraits de voyages
Son souffle transcende ce que l’on en inspire
Au bal des mirages je danse avec la foudre
Avant d’y reluire ce qu’y s’y appréhende
Puise t’il exister la vraie bonne question
Résolvant l’énigme des profondeurs sublimes
Laissant à leurs brouillons d’irrégularités
Les dessous intimes des dentelles en hymne
J’ai l’âme suave dans tes odeurs sauvages
Nos muscs s’assaillent quand tu saillis mon torse
Je bombe aux ravages les désirs que tu paves
En gravant nos forces des envies qui tressaillent
Une fois dans la poupe de cette vie intense
Mes ans ralentissent quand mon humeur s‘excite
Prenant en défense par peur de ce qui coupe
Ce que plébiscite mes ombres qui vieillissent
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: confidence au vent
Ma confidence aux vents
J'ai jeté les mots
Que tu ne voulais entendre
Pour personne
Sont sortis
Les émois émus
De mon âme
Pour toi nue
Ainsi criés
Proférés chantés
Hurlés ragés
Psalmodiés
Libérés
Dans les chaos des tempêtes
Ainsi libéré
J'ai glissé vers l'oubli
J'ai jeté les mots
Que tu ne voulais entendre
Pour personne
Sont sortis
Les émois émus
De mon âme
Pour toi nue
Ainsi criés
Proférés chantés
Hurlés ragés
Psalmodiés
Libérés
Dans les chaos des tempêtes
Ainsi libéré
J'ai glissé vers l'oubli
Errances- Nombre de messages : 108
Age : 53
Localisation : Paris/FarFarOuest
Date d'inscription : 27/06/2008
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