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égyptologie
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égyptologie
par aude Mer 3 Sep - 20:18
brûlure d’éternité
sous la silice étincelante
entre or rouge et barque solaire
la poussière sacrée afflue au firmament
en géométries liquides
foudroyées par les volutes ambrées
éclats d’albâtre et de pomme
essences de musc et de granit
sensualité minérale ruisselante
entre les voiles claires-obscures
de la dévotion solennelle d’une voix momifiée
sous les bandelettes de cœur
comme une bénédiction d’outre-tombe
émancipée à perte de vie
aussi étrangement intime
qu’une énigme illuminée
sous la silice étincelante
entre or rouge et barque solaire
la poussière sacrée afflue au firmament
en géométries liquides
foudroyées par les volutes ambrées
éclats d’albâtre et de pomme
essences de musc et de granit
sensualité minérale ruisselante
entre les voiles claires-obscures
de la dévotion solennelle d’une voix momifiée
sous les bandelettes de cœur
comme une bénédiction d’outre-tombe
émancipée à perte de vie
aussi étrangement intime
qu’une énigme illuminée
Dernière édition par aude le Mer 3 Sep - 20:50, édité 1 fois
aude- Admin
- Nombre de messages : 768
Age : 57
Localisation : Cincinnati OH USA
Date d'inscription : 17/11/2007 -
Re: égyptologie
par pseudonymes1 Mer 3 Sep - 20:30
Bardé d’une coupe hiéracocéphale érigeant les têtes proclamées
Le fils de l’homme devient fils de Dieu promu par le Delta
Dans la réappropriation mythologique des cultes rhumanisés
Parfums désertiques des réincarnations héliocentriques ardentes
Au sommet sceptaculaire de Gizeh recompilé sur son tombeau
De grandes architectures à la conquête des phénomènes naturels
Pour saisir l’abstraction en passant des idéogrammes éculés
Aux hiéroglyphes linéaires puis hiératiques en chauffant les gravures
Modernité démotique sur la Pierre de Rosette à l’ascension de l’obélisque
Assouvir les désirs égyptologiques sur la craie des Champollions
Poussière du temps sur les aplats de la conviction religieuse nourrie
Envolée lors du Jugement de l’âme au contrepoids de la déesse Maât
Généalogies incessantes des hommes sous les rayons d’Amon-Rê
Luxuriance féerique des jours sous la cerpe des nuits d’Apophis
Poésie de l’Au-delà au sein du Livre des Morts où l’abstraction finit
Grandiloquence exacerbée dans les processus de momifications
Formol ancestral où l’homme devient l’embryon transfiguré
Dans une armure de papyrus enroulés sur les corps éviscérés
Recouverts des sarcophages pour traverser les Styx en crue
Arrivée dans le monde des morts et decendre du tombeau
À l’écoute des explications polythéistes en nouvelle cartographie
Le défunt aux voyages de Gulliver et d’Ulysse chassant Moby Dick
En pleine transformation spécieuse recouvrant les formes futures
Accomplissant la métamorphose du lotus les paumes indirigées
Omniscience dans la résurgence des soufres de feux-follets
Les diamètres opposés aux centres qui virgulent ininterrompus
Sous les ailes inquisitrices d’Osiris en juge d’instance divine
Le fils de l’homme devient fils de Dieu promu par le Delta
Dans la réappropriation mythologique des cultes rhumanisés
Parfums désertiques des réincarnations héliocentriques ardentes
Au sommet sceptaculaire de Gizeh recompilé sur son tombeau
De grandes architectures à la conquête des phénomènes naturels
Pour saisir l’abstraction en passant des idéogrammes éculés
Aux hiéroglyphes linéaires puis hiératiques en chauffant les gravures
Modernité démotique sur la Pierre de Rosette à l’ascension de l’obélisque
Assouvir les désirs égyptologiques sur la craie des Champollions
Poussière du temps sur les aplats de la conviction religieuse nourrie
Envolée lors du Jugement de l’âme au contrepoids de la déesse Maât
Généalogies incessantes des hommes sous les rayons d’Amon-Rê
Luxuriance féerique des jours sous la cerpe des nuits d’Apophis
Poésie de l’Au-delà au sein du Livre des Morts où l’abstraction finit
Grandiloquence exacerbée dans les processus de momifications
Formol ancestral où l’homme devient l’embryon transfiguré
Dans une armure de papyrus enroulés sur les corps éviscérés
Recouverts des sarcophages pour traverser les Styx en crue
Arrivée dans le monde des morts et decendre du tombeau
À l’écoute des explications polythéistes en nouvelle cartographie
Le défunt aux voyages de Gulliver et d’Ulysse chassant Moby Dick
En pleine transformation spécieuse recouvrant les formes futures
Accomplissant la métamorphose du lotus les paumes indirigées
Omniscience dans la résurgence des soufres de feux-follets
Les diamètres opposés aux centres qui virgulent ininterrompus
Sous les ailes inquisitrices d’Osiris en juge d’instance divine
pseudonymes1- Nombre de messages : 119
Age : 44
Localisation : paris
Date d'inscription : 08/03/2008 -
Re: égyptologie
par pseudonymes1 Jeu 4 Sep - 10:53
Un sphinx projettant ses éclats vers Orion
sur les liserés pourpres contrastant le ciel
brûlure d’éternité sur la chair d’un son et lumières
densimétrie de l’histoire sous la silice étincelante
Les roses violacées orbitent les trapèzes stratifiés
le long des remparts triangulés de l’horizon
la terre pointue enchante le ciel rebouché du feu
entre l’or rouge encoraillé et les barques déglutissantes
Les poussières nuageuses comme des âmes réincarnées
filant la divinité affluée au firmament épochal
dans limbes voilées d’un azur crachant d’opacité
au rappel du noir et blanc historique d’Amenhotep
Écoulement d’une géométrie liquide sur la rocaille
les traces de sa marche au sang des esclaves encordés
les crêtes se déroulent lors des rotations terrestres
foudroyées par les volutes ambrées des soirs achetés
La couleur de l’histoire dans le couloir des pyramides
en multiples éclats d’albâtre et de pomme granuleuse
pépins épineux au milieu de l’éclatement perspectiviste
détroussement des façades à 90° du regard violacé
Quelques essences émanent des profondeurs
entre le musc des sortilèges et le granit conservateur
conservation d’un site sous les échafaudages solaires
bruinant d’une sensualité minérale ruisselante
L’âme réside au regard descendu à la pointe
les roches éclatées par les pans de l’histoire mitraillée
entre les voiles clairs obscurs des felouques jumelées
un pied à l’air sur les marches atomiques de la transparence
Toucher les dieux en humant l’altitude émiettée
en oyant la dévotion solennelle d’une voix momifiée
entre les incantations sèches de l’aridité bandelée
et les pleurs morigénateurs postérieurs aux pillages
Les Grands-prêtres d’Osiris entendent les couleurs de l’aube
une bénédiction salvatrice d’outre-tombe
pour réunir les collèges autour des rites quotidiens
hémérologie prédictrice des bienfaits récoltés
Après l’ablution le réveil du dieu protecteur
incarnation pharaonique émancipée à perte de vie
aussi étrangement intime qu’une énigme illuminée
dissoute dans la fumigation d’encens vaporeux
sur les liserés pourpres contrastant le ciel
brûlure d’éternité sur la chair d’un son et lumières
densimétrie de l’histoire sous la silice étincelante
Les roses violacées orbitent les trapèzes stratifiés
le long des remparts triangulés de l’horizon
la terre pointue enchante le ciel rebouché du feu
entre l’or rouge encoraillé et les barques déglutissantes
Les poussières nuageuses comme des âmes réincarnées
filant la divinité affluée au firmament épochal
dans limbes voilées d’un azur crachant d’opacité
au rappel du noir et blanc historique d’Amenhotep
Écoulement d’une géométrie liquide sur la rocaille
les traces de sa marche au sang des esclaves encordés
les crêtes se déroulent lors des rotations terrestres
foudroyées par les volutes ambrées des soirs achetés
La couleur de l’histoire dans le couloir des pyramides
en multiples éclats d’albâtre et de pomme granuleuse
pépins épineux au milieu de l’éclatement perspectiviste
détroussement des façades à 90° du regard violacé
Quelques essences émanent des profondeurs
entre le musc des sortilèges et le granit conservateur
conservation d’un site sous les échafaudages solaires
bruinant d’une sensualité minérale ruisselante
L’âme réside au regard descendu à la pointe
les roches éclatées par les pans de l’histoire mitraillée
entre les voiles clairs obscurs des felouques jumelées
un pied à l’air sur les marches atomiques de la transparence
Toucher les dieux en humant l’altitude émiettée
en oyant la dévotion solennelle d’une voix momifiée
entre les incantations sèches de l’aridité bandelée
et les pleurs morigénateurs postérieurs aux pillages
Les Grands-prêtres d’Osiris entendent les couleurs de l’aube
une bénédiction salvatrice d’outre-tombe
pour réunir les collèges autour des rites quotidiens
hémérologie prédictrice des bienfaits récoltés
Après l’ablution le réveil du dieu protecteur
incarnation pharaonique émancipée à perte de vie
aussi étrangement intime qu’une énigme illuminée
dissoute dans la fumigation d’encens vaporeux
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aude- Admin
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