intactiles NERVURES DES TROUVAILLES
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intactiles NERVURES DES TROUVAILLES
intactiles
là
lovés dans ce mot
les yeux en étoile
les sens en fanfare
suspendus
immobiles
perdus
découverts
intactiles
offerts
subjugués
en dehors de tout
de l'intériorité
univers d’un seul mot
NERVURES DES TROUVAILLES de pseudonymes1
Émembrement lactique des semi-conducteurs
Implosion générée des microns allongés
Décharge mégaphone des épistyles corinthiens
Déperfection des ouvrages incommodés
Démodelage roboratif des axiomes de fausseté
Imperfusion débranchée des tuyaux inconducteurs
Déroutement constant des non-accès mémoriels
Au souvenir de nous dans le fléchage des historicismes
Où se décrée en différence l’imparfait qui remodèle
N’importe tout puisque rien n’y accède
Dépliures macrophages de nos inservitudes
Qui veulent se déraisonner sur le dos de nos poitrines
Et pleuvine un torrent dans l’amoncellement des transparences
Qui surcouvrent les redimensions spatiales des immatériels
L’axisme s’emploie en déploiement angulaire pour barycentrer
Les origines du néant à partir de l’infinitude des fins
Au spectre particulaire se revient l’antimatière en chaos d’ions
Se laisse impenser le feu picosecondé du flash créationniste
La retouche nous désaccroche car l’inessentiel est en submersion
Subversion des prétextes secondant les originaux en déprise de l’âme
Télécommando des robots mécanisés aux indéfinitions non factices
Retour aux fictivités surréelles qui démontent les réalismes virtuels
Pour imaginer un tour de droit au détour des passe-droits dans le retour du non-dit
Dédisant les dédicaces au sortir pénétrant des atomes
Façant un tableau dépriorisé où la craie évanouie se déjumèle en surface
Pour délaisser la traîne évapoluminescente de la déshérence apprêtée
Au vitriol des intoxiqués se morfondent les bonmalheurs ajournés
Et se déterrent en des amoncellements les désossements en remembrement
Prétérition performative des reparaître aux entournures
Dans le pardon antidoté des irreligiosités reportées aux désacralisations indexées
Tambourinent en fanfare les superpouvoirs de la puissance carolingienne
Souvenirs gothiques qui démantibulent alchimiquement
En déconstruisant les participes des passés vers l’anticipe chimie
S’égrènent en escaliers les marches des pluies qui se radioactivent
Dans la scission réescarpée d’un uranium de lointain
Confrontée à la requête introspective d’un positron en ballade
Le savoir en positivisme négationne les dentelles poétiques fichues en bordures
Et se sabrent les cotes dans le code de l’esprit désépris
Supernovexplosion des mégasens dans l’infini quantique particulier
Où souffrent même les vides arithmétiques et arrangés
Qui se bataillent dans le surespace des courbures spatio-temporelles
Qui retrouvent les brasiers lexicaux où finissent les mots
Pour émerger en messie précisé futurisé au scalpel découpant des présents
Car en recherche des impossibles se trouvent les impensés en déni dérouté
Dans la rencontre einsteinienne où la brisure du temps ouvre les cassures de texte
Éclaboussement inaquatique et permanence instantanée des (sé)vérités trempées
Au long fi(na)lement où se glissent les doublons dans la gémellité gamétique
Aux prophéties de fraternité alors un peut-être en jointure
Où se réunissent deux textes en deux
Infusion de deux-en-trois puis l’enfant dans l’infanticide suprême en dépravation
Cri primal teintant le mazout prairial où l’or se boutonne au chêne centenaire
là
lovés dans ce mot
les yeux en étoile
les sens en fanfare
suspendus
immobiles
perdus
découverts
intactiles
offerts
subjugués
en dehors de tout
de l'intériorité
univers d’un seul mot
NERVURES DES TROUVAILLES de pseudonymes1
Émembrement lactique des semi-conducteurs
Implosion générée des microns allongés
Décharge mégaphone des épistyles corinthiens
Déperfection des ouvrages incommodés
Démodelage roboratif des axiomes de fausseté
Imperfusion débranchée des tuyaux inconducteurs
Déroutement constant des non-accès mémoriels
Au souvenir de nous dans le fléchage des historicismes
Où se décrée en différence l’imparfait qui remodèle
N’importe tout puisque rien n’y accède
Dépliures macrophages de nos inservitudes
Qui veulent se déraisonner sur le dos de nos poitrines
Et pleuvine un torrent dans l’amoncellement des transparences
Qui surcouvrent les redimensions spatiales des immatériels
L’axisme s’emploie en déploiement angulaire pour barycentrer
Les origines du néant à partir de l’infinitude des fins
Au spectre particulaire se revient l’antimatière en chaos d’ions
Se laisse impenser le feu picosecondé du flash créationniste
La retouche nous désaccroche car l’inessentiel est en submersion
Subversion des prétextes secondant les originaux en déprise de l’âme
Télécommando des robots mécanisés aux indéfinitions non factices
Retour aux fictivités surréelles qui démontent les réalismes virtuels
Pour imaginer un tour de droit au détour des passe-droits dans le retour du non-dit
Dédisant les dédicaces au sortir pénétrant des atomes
Façant un tableau dépriorisé où la craie évanouie se déjumèle en surface
Pour délaisser la traîne évapoluminescente de la déshérence apprêtée
Au vitriol des intoxiqués se morfondent les bonmalheurs ajournés
Et se déterrent en des amoncellements les désossements en remembrement
Prétérition performative des reparaître aux entournures
Dans le pardon antidoté des irreligiosités reportées aux désacralisations indexées
Tambourinent en fanfare les superpouvoirs de la puissance carolingienne
Souvenirs gothiques qui démantibulent alchimiquement
En déconstruisant les participes des passés vers l’anticipe chimie
S’égrènent en escaliers les marches des pluies qui se radioactivent
Dans la scission réescarpée d’un uranium de lointain
Confrontée à la requête introspective d’un positron en ballade
Le savoir en positivisme négationne les dentelles poétiques fichues en bordures
Et se sabrent les cotes dans le code de l’esprit désépris
Supernovexplosion des mégasens dans l’infini quantique particulier
Où souffrent même les vides arithmétiques et arrangés
Qui se bataillent dans le surespace des courbures spatio-temporelles
Qui retrouvent les brasiers lexicaux où finissent les mots
Pour émerger en messie précisé futurisé au scalpel découpant des présents
Car en recherche des impossibles se trouvent les impensés en déni dérouté
Dans la rencontre einsteinienne où la brisure du temps ouvre les cassures de texte
Éclaboussement inaquatique et permanence instantanée des (sé)vérités trempées
Au long fi(na)lement où se glissent les doublons dans la gémellité gamétique
Aux prophéties de fraternité alors un peut-être en jointure
Où se réunissent deux textes en deux
Infusion de deux-en-trois puis l’enfant dans l’infanticide suprême en dépravation
Cri primal teintant le mazout prairial où l’or se boutonne au chêne centenaire
Re: intactiles NERVURES DES TROUVAILLES
J'ai dit "intactile" pour résumer.
Mais j'ai bien regardé tout le poème "trophée" continuellement en écrivant le mien...
Quand même : tout ça en partant d'un seul mot, ça fait beaucoup.
Et du coup, re-poétiser le mot derrière, pour le coup, fait assez ridicule.
Ton "intactile" est merveilleux dans son contexte, pas dehors.
Tout comme le "la lumière relief son venin" sublime, est-ce que je vais m'amuser à l'extraire ? Eh ben oui, puisque je le fais...
Mais j'ai bien regardé tout le poème "trophée" continuellement en écrivant le mien...
Quand même : tout ça en partant d'un seul mot, ça fait beaucoup.
Et du coup, re-poétiser le mot derrière, pour le coup, fait assez ridicule.
Ton "intactile" est merveilleux dans son contexte, pas dehors.
Tout comme le "la lumière relief son venin" sublime, est-ce que je vais m'amuser à l'extraire ? Eh ben oui, puisque je le fais...
Re: intactiles NERVURES DES TROUVAILLES
peu importe au fond...quand un mot en appelle un autre, il suffit de laisser la magie s'accomplir et contempler le résultat
merci
merci
Re: intactiles NERVURES DES TROUVAILLES
je contemple le résultat...qu'est-ce que c'est beau...limpide...je lis avec délectation...
c'est ça
je me délecte en liquéficience,!
Ô Pseudonyme 1
j'envie cette possibilité profonde de te fondre en toi geyserisant ces mots en flots logiques sur le fond des abstraits absolu extraits de ton âme poétique
le seul moyen de te remercier
c'est d'être à la hauteur de ta leçon de laissez-vous aller à votre paix sans crainte d'être et d'écrire
merci pseudo
c'est ça
je me délecte en liquéficience,!
Ô Pseudonyme 1
j'envie cette possibilité profonde de te fondre en toi geyserisant ces mots en flots logiques sur le fond des abstraits absolu extraits de ton âme poétique
le seul moyen de te remercier
c'est d'être à la hauteur de ta leçon de laissez-vous aller à votre paix sans crainte d'être et d'écrire
merci pseudo
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
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