la passion est-elle un non-amour
la passion est-elle un non-amour
la regarder regarder ce qui nous regarde pas
Quel bien de se sentir envolé de voler en écrits sur ses dévolus à ses absolus
comme une faculté occulte de cultiver ses accoutumances aux vagabondages surréalistes
parmi les décors en mus des arches de nos ciels où vagabondent nos esprits en partage
Je vais rejoindre mon cocon et les vertiges de mon univers,
n’espérant qu’être chenille au parvis des souffles de l’air
pour contempler ce qui brille sous vos détours sincères.
Et la cavalcade donne vie aux myriades sur nos cœurs en chamade,
au pas des plus tard la houle des en retards si près de leurs
phares déferlent leurs forces au
quart de notre intense regard au
coin de la rue de
l’amour
dans la
cité
de la
passion
Cette folle dérive de nos pulsions et de notre attirance sur nos râles
abandonnés où l’on joue a jouir et nous donner en symbiose lorsque
à genoux nos envies escortent de près nos corps explosifs de frissons
à tous airs entraînant de passion harnachés au duo de nos regards
en contacts charnels et universels qui se targuent à s’embellir en
une seconde d’une traîtrise sensuelle allusionniste piquant au cœur
emporté de renaître à la force des ailes de papillons sans en être
atteint que de tremblements stupeur gagnant le terrain d’un souffle
au cœur ouvert sur les deux barricades d’un monde remplie de suaves
heures or rougissantes de passion au goût d’amour profond qui s’est
attardé sur toute sa surface en allant jusqu’à remplir le flacon vie
de saisons entremêlées sur les beaux revêts créés de nos sourires
embarqués en radeau sur la traverse de l’absence des jours riants
aux larmes sans calculs que l'horizon baigné de tes yeux amoureux.
La passion est-
elle alors un non-amour,
créant son charme dans les calques de nos frissons?
l'écart sous distance de nos murmures si proches ont ils pour
défauts nos coeurs épris en ricoches sur les milles sentiers sans
frontières que les regrets d'être si lointain à nos approches si
volontaires que le reste du monde peut bien vieillir sur des sommets jamais
atteints que par le vent souffleur de notre poésie adjointe à notre
illusion de croire qu'il n'en est rien quand le coeur vous dit tout.
je vous soumet l’esquisse impartiale d’élaborer enfin la croisée irréel de
deux êtres en tout atteignant en un point stratégique l’ivresse de notre
ablation résiduelle de ne plus croire en ce qui est faisable où pas,
sur l’écart rugissants des mondes qui nous sépare.
En serait il de même par procuration de se servir alors que l’on ne peut rien prendre que nos instincts décident
Quel bien de se sentir envolé de voler en écrits sur ses dévolus à ses absolus
comme une faculté occulte de cultiver ses accoutumances aux vagabondages surréalistes
parmi les décors en mus des arches de nos ciels où vagabondent nos esprits en partage
Je vais rejoindre mon cocon et les vertiges de mon univers,
n’espérant qu’être chenille au parvis des souffles de l’air
pour contempler ce qui brille sous vos détours sincères.
Et la cavalcade donne vie aux myriades sur nos cœurs en chamade,
au pas des plus tard la houle des en retards si près de leurs
phares déferlent leurs forces au
quart de notre intense regard au
coin de la rue de
l’amour
dans la
cité
de la
passion
Cette folle dérive de nos pulsions et de notre attirance sur nos râles
abandonnés où l’on joue a jouir et nous donner en symbiose lorsque
à genoux nos envies escortent de près nos corps explosifs de frissons
à tous airs entraînant de passion harnachés au duo de nos regards
en contacts charnels et universels qui se targuent à s’embellir en
une seconde d’une traîtrise sensuelle allusionniste piquant au cœur
emporté de renaître à la force des ailes de papillons sans en être
atteint que de tremblements stupeur gagnant le terrain d’un souffle
au cœur ouvert sur les deux barricades d’un monde remplie de suaves
heures or rougissantes de passion au goût d’amour profond qui s’est
attardé sur toute sa surface en allant jusqu’à remplir le flacon vie
de saisons entremêlées sur les beaux revêts créés de nos sourires
embarqués en radeau sur la traverse de l’absence des jours riants
aux larmes sans calculs que l'horizon baigné de tes yeux amoureux.
La passion est-
elle alors un non-amour,
créant son charme dans les calques de nos frissons?
l'écart sous distance de nos murmures si proches ont ils pour
défauts nos coeurs épris en ricoches sur les milles sentiers sans
frontières que les regrets d'être si lointain à nos approches si
volontaires que le reste du monde peut bien vieillir sur des sommets jamais
atteints que par le vent souffleur de notre poésie adjointe à notre
illusion de croire qu'il n'en est rien quand le coeur vous dit tout.
je vous soumet l’esquisse impartiale d’élaborer enfin la croisée irréel de
deux êtres en tout atteignant en un point stratégique l’ivresse de notre
ablation résiduelle de ne plus croire en ce qui est faisable où pas,
sur l’écart rugissants des mondes qui nous sépare.
En serait il de même par procuration de se servir alors que l’on ne peut rien prendre que nos instincts décident
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
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Ven 15 Jan - 16:40 par poeteric
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