Rêverie d'un poême solitaire ( sourire )
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Rêverie d'un poême solitaire ( sourire )
un poème, solitaire, aborde le fronton d'une premiere page, en marge de vagues en désordre, il, à force de chahuter avec le sable, alors que lui ne cherchait qu'à gicler avec son écume sur le paysage, alla se reposer en admirant les coraux crépusculaire de l'embouchure de l'horizon, des cristaux d'ombre tentant d'y surnager, à découvert, bigarrant L'enluminure d'une vaste alchimie universelle, noyée dans un conglomérat de vicissitudes solaires, d'où, L'alternoiement de collusions chromatiques en prime, il joue avec l'ondulation d'une chevelure saline.
un peigne en parallèles dans sa main, la lune coiffe le vent, defaisant des noeuds nucléaires, puis etira ses yeux comme un ruban autour de l'infini.
le poème, alangui, sur la grève des étoiles, suit le trouble de comètes fuselant leur éclat entre des regards d'amoureux, prêts à s'échapper avec elles.
Les simagrées du néant décolmatent l'effusion du temps, ensevelie entre deux bouches, dont l'intempérance tentait d'y teinter leur sucion intemporelle sur la vanité absolue du vide à avaler l'éternité, quand des lèvres suspendues de par leur frôlement laissent leur magnétisme absorber la mécanique des astres pendulaires, leur masse quantifiable bercée par des chaos hérissés, implosions venues depuis le battement de cœur de deux êtres embrasés.
un peigne en parallèles dans sa main, la lune coiffe le vent, defaisant des noeuds nucléaires, puis etira ses yeux comme un ruban autour de l'infini.
le poème, alangui, sur la grève des étoiles, suit le trouble de comètes fuselant leur éclat entre des regards d'amoureux, prêts à s'échapper avec elles.
Les simagrées du néant décolmatent l'effusion du temps, ensevelie entre deux bouches, dont l'intempérance tentait d'y teinter leur sucion intemporelle sur la vanité absolue du vide à avaler l'éternité, quand des lèvres suspendues de par leur frôlement laissent leur magnétisme absorber la mécanique des astres pendulaires, leur masse quantifiable bercée par des chaos hérissés, implosions venues depuis le battement de cœur de deux êtres embrasés.
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: Rêverie d'un poême solitaire ( sourire )
dans la chilarité de leur ressemblance, depuis le chant corporel d'ondulations communes, leurs murmures mesuraient les confrontations de halos sensuels, tout en suivant leur tempo sur la raisonnance de convictions lumineuses, les yeux fermés en plein spin.
le poème, intimidé par leur big-bang, détourna son inspiration en cherchant un nouveau spectacle, sans forcement tout un apanage de chamboulement cosmique, pour tomber nez à nez sur le vol de deux colombes combinant leur silhouette, il contempla depuis son temple sans toit l'harmonie de leurs spirales, avant qu'elles n'aillent se cacher entre des roseaux, ressemblant fortement aux cils d'une nymphe émerveillée, il pouvait meme deceler entre les lignes de chemtrails en réverbération sur la surface de ses prunelles toute l'amplitude d'un onirisme dépouillé, dont le tissu grammaticale floquait les échos de ses rumeurs émotionnelles dans un vertige sans teint, seulement dessiné par l'intensité atomique d'un corps à corps à cœur perdu pour une réalité par trop émoustillée de par sa prestance angélique.
le poème, intimidé par leur big-bang, détourna son inspiration en cherchant un nouveau spectacle, sans forcement tout un apanage de chamboulement cosmique, pour tomber nez à nez sur le vol de deux colombes combinant leur silhouette, il contempla depuis son temple sans toit l'harmonie de leurs spirales, avant qu'elles n'aillent se cacher entre des roseaux, ressemblant fortement aux cils d'une nymphe émerveillée, il pouvait meme deceler entre les lignes de chemtrails en réverbération sur la surface de ses prunelles toute l'amplitude d'un onirisme dépouillé, dont le tissu grammaticale floquait les échos de ses rumeurs émotionnelles dans un vertige sans teint, seulement dessiné par l'intensité atomique d'un corps à corps à cœur perdu pour une réalité par trop émoustillée de par sa prestance angélique.
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: Rêverie d'un poême solitaire ( sourire )
la sueur subliminale d'un envol de frisson sur sa peau en carbone, le poème s'imprègnait d'une foultitude d'images sensitives, recueillant ici des fantasmes extatiques, et là des ébauches de dialectique subjuguée par l'ampleur d'accouplement anatomique, sans prêter attention, au début, aux diverses phénomènes de spleen irradiant depuis les imperfections de ses sens lyrique.
ce fut une fois le couple de colombe disparu entre les mèches du soleil, n'étant plus que des reflets mnémoniques sur la surface des souvenirs, qu'il s'aperçut de l'étrangeté d'une main depuis le corps d'un nuage venant griffonner sur lui une declaration d'amour, destinée à la brûme du matin, à l'aide d'une plume en tige de rose, des épines comme des virgules.
ce fut une fois le couple de colombe disparu entre les mèches du soleil, n'étant plus que des reflets mnémoniques sur la surface des souvenirs, qu'il s'aperçut de l'étrangeté d'une main depuis le corps d'un nuage venant griffonner sur lui une declaration d'amour, destinée à la brûme du matin, à l'aide d'une plume en tige de rose, des épines comme des virgules.
poeteric- Nombre de messages : 933
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Re: Rêverie d'un poême solitaire ( sourire )
sur ses champs d'illusion des gens sèment du vent
façon de récolter le fruit d'un moindre espoir
s'illuminant en eux jusqu'au fameux grand soir
Où se cache dans l'ombre une Mort qui attend
Elle observe dans l'onde où se grave le temps
soupèse dans leur cœur leur poids en cauchemard
pour en crever l'abcès du fabuleux nectar
leur peur au goût du feu des sèves de printemps
Par quel jour n'entendrais je plus un chant d'oiseaux,
Ne sentirais les corps tannés d'un même écho;
quand irais je m'eteindre au sein de ce grand feu?...
pourtant je la voyais m'emporter des amis
je n'y avais à peine encore réfléchie :
il a juste fallu que je sois amoureux...
façon de récolter le fruit d'un moindre espoir
s'illuminant en eux jusqu'au fameux grand soir
Où se cache dans l'ombre une Mort qui attend
Elle observe dans l'onde où se grave le temps
soupèse dans leur cœur leur poids en cauchemard
pour en crever l'abcès du fabuleux nectar
leur peur au goût du feu des sèves de printemps
Par quel jour n'entendrais je plus un chant d'oiseaux,
Ne sentirais les corps tannés d'un même écho;
quand irais je m'eteindre au sein de ce grand feu?...
pourtant je la voyais m'emporter des amis
je n'y avais à peine encore réfléchie :
il a juste fallu que je sois amoureux...
poeteric- Nombre de messages : 933
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