Crystal Palace
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Crystal Palace
Crystal Palace
La pluie des adagios romarins
Ruissèle vers ton levant Andalou
Le cerveau des cerfs sauvages
Dessine sur le clavier l’ombre
Dont le soleil gonfle les voiles des deltas impatients
Un rayon étonné
Descend des collines en azur moucheté
Et esquisse ses saisons sur les nervures de ton regard
L’invitation des écureuils se fait pressante
L’assemblée plénière des cétoines oriente le vent de Mai
Vers les fréquences fériées de l’horizon
Les argiles antiques veinées de sourires bleutés
Ramifient ton nom en été à gousset
Donnant l’heure aux papillons dont les migrations
Se dirigent vers l’aquarelle de l’aube
Une aube fine murmure la renaissance des haies
Sur les berges du lac des fées
L’aubépine et le martinet se rejoignent en sillages lents
Ornant les songes et les mimiques des salsepareilles
De paroles en mirage
Là où les poissons volants exhalent des brumes rares
Habitat précaire de crustacés familiers du Zodiac
Quand l’aube était encore solitaire
Et la brise si sauvage que la rosée se faisait
Diadème de chuchotements le long des littoraux mandarine
Quand les sables des plages de mica
Reflétaient la charpente du crépuscule
Quand l’iris servait de matériau de base
A l’aile de libellules carbonifère
Quand enfin l’œil naquit du puits des harpes
Parmi les fougères au bord de marais ardoisés
Peu à peu l ‘empreinte devint sillage confirmé
Le mouvement des galets entra
Dans le catalogue des diadèmes
La vie vint alors habiter son écrin.
15Mai et 6 Juin 2011
La pluie des adagios romarins
Ruissèle vers ton levant Andalou
Le cerveau des cerfs sauvages
Dessine sur le clavier l’ombre
Dont le soleil gonfle les voiles des deltas impatients
Un rayon étonné
Descend des collines en azur moucheté
Et esquisse ses saisons sur les nervures de ton regard
L’invitation des écureuils se fait pressante
L’assemblée plénière des cétoines oriente le vent de Mai
Vers les fréquences fériées de l’horizon
Les argiles antiques veinées de sourires bleutés
Ramifient ton nom en été à gousset
Donnant l’heure aux papillons dont les migrations
Se dirigent vers l’aquarelle de l’aube
Une aube fine murmure la renaissance des haies
Sur les berges du lac des fées
L’aubépine et le martinet se rejoignent en sillages lents
Ornant les songes et les mimiques des salsepareilles
De paroles en mirage
Là où les poissons volants exhalent des brumes rares
Habitat précaire de crustacés familiers du Zodiac
Quand l’aube était encore solitaire
Et la brise si sauvage que la rosée se faisait
Diadème de chuchotements le long des littoraux mandarine
Quand les sables des plages de mica
Reflétaient la charpente du crépuscule
Quand l’iris servait de matériau de base
A l’aile de libellules carbonifère
Quand enfin l’œil naquit du puits des harpes
Parmi les fougères au bord de marais ardoisés
Peu à peu l ‘empreinte devint sillage confirmé
Le mouvement des galets entra
Dans le catalogue des diadèmes
La vie vint alors habiter son écrin.
15Mai et 6 Juin 2011
mercier- Nombre de messages : 8
Date d'inscription : 25/10/2011
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