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    Message par poeteric Sam 30 Avr - 7:44


    ' par où vont les chemins, sur les mêmes miroirs,
    des reflets deux par deux, tels ce un que nous fûmes,
    joignent le mouvement des lueurs allant choir
    dans l'ombre intronisée, aux souvenirs posthumes...

    la dépouille d'un rêve, où vous fûtes l'espoir,
    nonchalament s'étiole, et grave je l'assume,
    ne pas vivre d'amour, c'est manger des rasoirs,
    mais c'est mieux que saigner d'une minable écume.

    Vous étais-je agressif, par trop de prévenance,
    Je n'avais escompté qu'une double évidence,
    Vous espérant l'égal qu'impose cupidon :

    Je nous voyais vieillir d'amours douceheureuses,
    Prenant tous les désirs pour passions ambitieuses...

    Puis, vous avez brisé, commune des faïences,
    La flèche décochée, imaginant d'avance,
    Mon compte incompatible avec vos cœurs sans fond...

    bref trouver l'amour fut recherche laborieuse,
    Qu'une amoureuse dans une meule de...chieuses ! ''

    '' Pauvre petit canard tout seul dans son coin-coin
    nan mais t'as vu ta gueule une tronche de cake
    tu racontes crétin que des salamalecs
    tes pleurs sont en farine avec tant de foin-foin !

    nan, mais sérieux, t'ecoutes ton baratin ?
    et à qui parles-tu ? tu passes, mises, tchakes ?
    c'est tête-à-tête ici, pauvre amateur, sans dec !
    je l'ai compris ton tell espèce de malin ! ''

    il sentit dans ses yeux, pendant qu'ils le fusillent,
    le regard aussi dur que deux diamants qui brillent,
    qu'elle sentait son bluff depuis son souffle court

    ' Tapis ! ', annonça t'il, tout nerveux sur sa chaise,
    dans l'air dubitatif qu'un silence soupèse,

    et elle le suivit fière d'une suite,
    surtout qu'il n'avait sur lui plus guère qu'un slip,
    ' Comme en amour : tu te deshabilles trop vite ! '

    ' ha ha, elle est bien bonne...En plein dans ma fraise...'
    ' dur dur, hein ! mon cœur...allez : mets toi à l'aise ! '




    d'un nerf de ressemblance













    il neige
    les nuages se dénudent
    des filaments
    de lumens furtifs
    fondent
    phosphorescents
    et contournent
    la silhouette en feu
    du charisme d'une ombre
    dont la pointe des seins
    supplante l'obscurité, pâle,
    sous le trouble, apparent,
    d'intentions lumineuses.

    L'embuscade
    d'un susurement
    fredonne
    sur la nuque de l'horizon
    une cavalcade
    de flocons
    jusqu'à la clairière
    d'une cambrure.

    Les reflets intimes
    d'une posture scandaleuse
    lissent ses cheveux
    dans le scintillement d'une stupeur.

    L'obstination sublime
    des empreintes d'ambre
    frétille à pleine lèvre
    sur la plaine de cashmere
    de halos sauvages
    émerveillés
    des poussières cristallines
    légitimisant le voile de noce
    d'une traine d'airain
    flottant en bas du dos
    que des tropiques saupoudrent
    depuis une crique
    où bronze le soleil.

    Sur le sentier qui se cache sous la robe de ses joues, un cerisier stupéfait regarde ses yeux en fleur, lui l'observe maladroitement entre les rameaux de son désir, qu'elle secoue, il entend le bruissement des pas de son amour entre ses battements de cœur,
    au fil de la journée un horizon polaire
    dans le charivari de mille ombres tremblantes
    ploie s'ambivale à l'ivresse latente
    d'une température extrême
    Dans le débat du soleil avec tes yeux qui l'enivrent, le crépuscule trinque au cocktail curaçao en aspirant la pulpe de ta peau, je tchin avec le nombril de ton univers. Telle des traces de glaçon, des frissons font fondre la lune,
    les tournesols cendrés jaunissent les prés verts
    dans le champs de la nuit aux étoiles veillantes
    où la ceinture astrale offerte de ton ventre
    délasse à t'enlacer ton corps qui se desserre

    Sous le berceau luminescent de regards connectés, le temps divague, jusqu'aux rivages des clavicules, contourne un châle éthylique pour s'abreuver à la source des pulsations d'une âme,
    Je t'épouse à ta guise au vent comme un hamac
    en écoutant la brise au sein de cœurs en ressac
    l'emulsion de rapprochements volontaires, dictat évident de préliminaires libérés, suit le frottement divin de sensations à fleur d'écho

    poeteric

    Nombre de messages : 933
    Age : 50
    Date d'inscription : 11/02/2008

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