Un février en fête au fil des saisons
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Un février en fête au fil des saisons
Tel le papillon sur les lèvres algides
Des hydres de l’hiver saluant le printemps
D’où rêvent les bourgeons leur teinte rubiconde
Cette vie éphémère aime s’éclore aux vents
Dans l’air les violons font de grâces sylphides
Fondre des bougies dansant aux frôlements
D’un regard cupidon invitant à la ronde
Sa belle valentine en ce jour diamant
Douces sérénades de leur chant consacré
À l’éternelle aubade aux cœurs accouplés
Des âmes s’enserrant pour des saisons nouvelles
Là même où se gambade en ce soleil glacé
La passion qu’éprend comme un vol d’hirondelle
Nos amours en parade entre nos yeux d’été
Mes sens à travers toi où le temps s'ensemence
vont vers où s'éradique une part de nous-même
la redéfinissant dans les jets d'indécence
d'amour qui se frictionne entre deux épidermes
sur l'impression fatale au monde en flamboyance
effaçant les contours des restes du système
je dresse un lit d'orage aux éclairs de romance
en allumant la foudre où nos cœurs se clairsèment
tes spectres que j'allonge émettent dans la nuit
les sensations que songe un réel infini
dont sa scène expansive en aime à te drapper
d'une lueur orange aux flammes en poudreuse
t'enlaçant sensitive en tes yeux animés
dans les bras de ton ange aux ailes nébuleuses
Sur tes cotes l'été oblongue s'installe
Mélangeant au zephyr des valses de l'azur
la chaleur qui s'étire au chant des tessitures
de rumeur élancée entre cœurs littorals
dans la liqueur bleutée au soleil abyssal
le long des élixirs qu'une alchimie épure
les pigments du désir dessinent l'échancrure
d'un baiser panacée au cocktail d'or astral
dans la douceur carmine un front pourpre et safran
délaye ma rétine aux iris flamboyants
d'un prisme cobalt sur ta peau et tes lèvres
la passion sanguine explose l'orpiment
aux caresses de smalt des vagues sur la grève
là même où l'on s'incline à nous rouler dedans...
J'ai dans l'oeil panaché une dentelle nacre
aux horizons lointains d'un trouble rapproché
dont l'ambre où tu te tiens s'éclate en mille G
quand ton point tant caché s'abolit dans ses âcres
les spasmes saccadés de tes primeurs en fiacre
tremblent entre mes mains te tenant attachée
tu te cambres tes reins pour mieux te cramponer
quand un vertige en sied tes hanches que j'attrape
les ondes que j'immisce aux mouvements contraires
de tornades en lice à ton désir primaire
te rendent toute folle aspirant tes pulsions
larguant dans un prémice un orgasme en ta chair
que j'empare en plein vol t'éparpillant au son
de ta bouche qui plisse une ode qui t'éclaire
Des hydres de l’hiver saluant le printemps
D’où rêvent les bourgeons leur teinte rubiconde
Cette vie éphémère aime s’éclore aux vents
Dans l’air les violons font de grâces sylphides
Fondre des bougies dansant aux frôlements
D’un regard cupidon invitant à la ronde
Sa belle valentine en ce jour diamant
Douces sérénades de leur chant consacré
À l’éternelle aubade aux cœurs accouplés
Des âmes s’enserrant pour des saisons nouvelles
Là même où se gambade en ce soleil glacé
La passion qu’éprend comme un vol d’hirondelle
Nos amours en parade entre nos yeux d’été
Mes sens à travers toi où le temps s'ensemence
vont vers où s'éradique une part de nous-même
la redéfinissant dans les jets d'indécence
d'amour qui se frictionne entre deux épidermes
sur l'impression fatale au monde en flamboyance
effaçant les contours des restes du système
je dresse un lit d'orage aux éclairs de romance
en allumant la foudre où nos cœurs se clairsèment
tes spectres que j'allonge émettent dans la nuit
les sensations que songe un réel infini
dont sa scène expansive en aime à te drapper
d'une lueur orange aux flammes en poudreuse
t'enlaçant sensitive en tes yeux animés
dans les bras de ton ange aux ailes nébuleuses
Sur tes cotes l'été oblongue s'installe
Mélangeant au zephyr des valses de l'azur
la chaleur qui s'étire au chant des tessitures
de rumeur élancée entre cœurs littorals
dans la liqueur bleutée au soleil abyssal
le long des élixirs qu'une alchimie épure
les pigments du désir dessinent l'échancrure
d'un baiser panacée au cocktail d'or astral
dans la douceur carmine un front pourpre et safran
délaye ma rétine aux iris flamboyants
d'un prisme cobalt sur ta peau et tes lèvres
la passion sanguine explose l'orpiment
aux caresses de smalt des vagues sur la grève
là même où l'on s'incline à nous rouler dedans...
J'ai dans l'oeil panaché une dentelle nacre
aux horizons lointains d'un trouble rapproché
dont l'ambre où tu te tiens s'éclate en mille G
quand ton point tant caché s'abolit dans ses âcres
les spasmes saccadés de tes primeurs en fiacre
tremblent entre mes mains te tenant attachée
tu te cambres tes reins pour mieux te cramponer
quand un vertige en sied tes hanches que j'attrape
les ondes que j'immisce aux mouvements contraires
de tornades en lice à ton désir primaire
te rendent toute folle aspirant tes pulsions
larguant dans un prémice un orgasme en ta chair
que j'empare en plein vol t'éparpillant au son
de ta bouche qui plisse une ode qui t'éclaire
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
Re: Un février en fête au fil des saisons
Au rythme où tu le prends,
au doigt plissé sur ta tension ondulante
les torsions manifestes de tes écarts
s'étourdissent au dégradé volontaire
de ta chute d'airain s'intimant insoumise
à la duplicité de ma langue visionnaire
validant tes désidératas sublissimes
au dépourvu de ta candeur ébourifée
sur l'antre cuisse de tes pulsions
suintant sur la soie de ta peau
où les dentelles de ton débardé
respirent le duvet de tes émotions
là où les siphons de ton ventre
se tempèrent à l'enfer idyllique
de tes prospérités éphémères
où l'avidité de ton chao humide
au rythme de tes déhanchés
suit le tremblement irréguliers
de tes déconvenues rageuses
de ne plus rien contrôler
sous l'influence extatique
de ton corps à tressauter
d'implosions orgasmiques
dans la posture de ton lâché prise
l'externalisation de tes hébétudes béates
se subordonnent à l'inaction symphonique
du rendu de tes outre-mesure en volées
dans un va et vient délicieux
le délit de tes yeux se blottie
dans cet accord délictueux
de l'avant garde de tes ressentis
les élancés palpables
de ta douceur conquérante
aspirent mon immuable
collusion permanente
la frénésie se lancine
par degré chamarré
aux éclats d'amarante
Sur la félure intégrale de tes désirs
l'illusion apparente
se noit dans l'ostracime
de tes racines perdues
dans l'étalage de ta chair
la valeur ignorée
de tes tréfonds envahis
oublie des certitudes
en soulevant des voiles sur tes prunelles
la féminité de tes épaules angéliques
dans le panorama de ta nuque idéale
ressort sur la nudité métempsychique
de ta grâce suppliciante entre tes râles
le larmoiement fécond de ta désinvolture eurythmique
ornemente la narration de mes souffles sur ton corps
la désinvestiture évidente de tes liaisons neurologiques
irrupte au meilleur choc savourant leur mise amor
la durée se déconceptualise à la lisière de tes visions
renommant les parcelles de tes vertiges conformes
au bouillant decalage de tes appels à la déraison
lorsque tu te sens cette femme éprise sous son homme
le charivari du coeur à tambour ouvert
encense la chamade de ton existence
admirant dans les entrefilets de tes paupières
les ondes libérées de tes essences
au doigt plissé sur ta tension ondulante
les torsions manifestes de tes écarts
s'étourdissent au dégradé volontaire
de ta chute d'airain s'intimant insoumise
à la duplicité de ma langue visionnaire
validant tes désidératas sublissimes
au dépourvu de ta candeur ébourifée
sur l'antre cuisse de tes pulsions
suintant sur la soie de ta peau
où les dentelles de ton débardé
respirent le duvet de tes émotions
là où les siphons de ton ventre
se tempèrent à l'enfer idyllique
de tes prospérités éphémères
où l'avidité de ton chao humide
au rythme de tes déhanchés
suit le tremblement irréguliers
de tes déconvenues rageuses
de ne plus rien contrôler
sous l'influence extatique
de ton corps à tressauter
d'implosions orgasmiques
dans la posture de ton lâché prise
l'externalisation de tes hébétudes béates
se subordonnent à l'inaction symphonique
du rendu de tes outre-mesure en volées
dans un va et vient délicieux
le délit de tes yeux se blottie
dans cet accord délictueux
de l'avant garde de tes ressentis
les élancés palpables
de ta douceur conquérante
aspirent mon immuable
collusion permanente
la frénésie se lancine
par degré chamarré
aux éclats d'amarante
Sur la félure intégrale de tes désirs
l'illusion apparente
se noit dans l'ostracime
de tes racines perdues
dans l'étalage de ta chair
la valeur ignorée
de tes tréfonds envahis
oublie des certitudes
en soulevant des voiles sur tes prunelles
la féminité de tes épaules angéliques
dans le panorama de ta nuque idéale
ressort sur la nudité métempsychique
de ta grâce suppliciante entre tes râles
le larmoiement fécond de ta désinvolture eurythmique
ornemente la narration de mes souffles sur ton corps
la désinvestiture évidente de tes liaisons neurologiques
irrupte au meilleur choc savourant leur mise amor
la durée se déconceptualise à la lisière de tes visions
renommant les parcelles de tes vertiges conformes
au bouillant decalage de tes appels à la déraison
lorsque tu te sens cette femme éprise sous son homme
le charivari du coeur à tambour ouvert
encense la chamade de ton existence
admirant dans les entrefilets de tes paupières
les ondes libérées de tes essences
poeteric- Nombre de messages : 933
Age : 50
Date d'inscription : 11/02/2008
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Ven 15 Jan - 16:40 par poeteric
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