Jamais loin de l'autre
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Jamais loin de l'autre
Chapitre deux : 13H31,
Nous avons vu à la fin de ce chapitre un toute la necessité d'en écrire une avant de commencer un chapitre deux, sinon comment recevoir des marques (benetton, etc...) d'affections sur vos déambulations verbales si vous ne les mettez pas noires sur blanches, comme celle d'une amie Trompetiste m'ayant à la hâte déposée ses impressions en passant lire un de mes écrits vagabonds, en l'occurence mon intro, elle m'inscrivit, avec toute la gentillesse qui la caractérise autant dans ses propres créations linguistico-inspiré que ses passages volontaires à distiller sa voix depuis les pharyngales de son cœur, une petite dédicace de compassion, elle me nota, je synthétise, ' sympa ton texte ce matin c'est un peu comme tremper son œil dans un bon jus de lecture ', ce qui en soit est une remarque charmante à la vue de l'image, j'ai même pensé deux secondes whoua j'ai du bol elle ne m'a pas dis que mon torchon c'était un jus de serviette même pas bon à filtrer la Lumière un jour d'idées noires, là où je veux en venir autour de sa tendresse à mon égard c'est qu'au petit sourire amusé après relecture de sa bafouille matinale mon œil glissa inopinément en bas du com à droite, là où la date et l'heure fixent à jamais l'instant où elle déposa son message virtuel dans le marbre de mon dix-huit pouces portatif, il était aproximativement treize heure trente et un, Je tiens tout de même a preciser que treize heure trente et un ne fait pas partie du matin, effectivement, à partir de midi il est conventionnelllement établi qu'il est l'heure de déjeuner, et non pas de petit-déjeuner, comme il est de coutume chez les tenants du temps, d'ailleurs, et c'est hors-sujet, il faut que je la prévienne le referendum pour les cantonnales de dimanche a donné gagnant les bulletins blancs, donnant la voie libre de mesurer le nombre de nationaliste pur et durement attaché à attacher tout imigré même sur leur trente et un où autres contrevenants à ne pas être du même sang, néanmoins le résultat fut déjà prévisible des treize heure trente et un en ce jour dominical, ce qui me permet de me recentrer sur le sujet actuel de ce post traitant de la décentralisation des horaires nécessaires à sa propre survie face au monde externe à l'auto-regularisation bringuebalante de ses circulations urbaines roulant sur les segmentations formatées de l'autoroute de Greenwich quand l'horloge interne de chacun est remise en cause par la régularité des embouteillages métronomes s'agglutinant à des tranches d'horaire incessante quand l'époque matérialise des secondes sur un visage au volant d'un homme s'endormant en déphasage avec sa nécessite photovoltaïque d'être au même tempo robotisé rentrant exténué le soir pour son diner s'affalant ronflant sur son plateau repas, et enfin se reveiller d'une nuit pleine et salvatrice avec sur le front un reste du diner de la veille, alors certe certains(es), pourriez vous argumenter, ont leur propre habitude dûe à un emploi du temps particulier à son style de vie, non-obstant son lot de responsabilités où de dents qui poussent sous les étoiles occasionnant une perte de son renouvellement d'energie lunaire, au profit d'une activité pluri-cellulaires de celluloïds brillants dans des yeux assoiffés de décadence corpusculaire, ce qui, dans le sens d'une pendule interne asynchrone avec une frange des autres tout en sachant très bien que son mouvement hiérarchique est lisible depuis l'univers, décalerait la nuit pour le matin et le matin pour midi, ce qui, secondo, remettrait en cause le système en place si un plus grand nombre vivant alors en décalé etait dans la pratique devenue une masse pouvant faire pression sur ceux voulant absolument que continue l'ordre actuel de l'horloge mondial sous ses différents méridiens, parce que ça les arrange vue qu'eux ils dorment tranquille la nuit, pour se lever entre sept heure du matin pour les plus courageux et onze heure pour les plus ireductibles avec un bon tit dèj et zoner jusqu'à ce que le soleil au Zenith sonne leur midi à l'heure de leurs gargouillis exacts, oui avant sept heure c'est l'aube allumant la dernière étincelle d'un rêve et après onze heure il est généralement dis qu'il est presque midi, alors sans chercher midi à quatorze heure déplacer midi à seize heure fait que l'on goute des apéros à vingt heure moins le quart avec des quatre quart salés genre quiche à déguster sur le canapé avant de diner à minuit pour prendre des forces à ne plus en avoir, et enfin aller occuper ses nuits devenues des débuts de soirée dans des before, comme il est usuel de se la raconter avec des thermes au centre de la mode dans des milieux excentrés, en général souvent sur un trente et un excentrique, en effet une tenue borderline est souhaitable si l'on veut paraitre assez differenciable de ses contemporains, quitte à les faire passer pour des potaches avec leurs habits du dimanche qui se portent même à treize heure trente et un, en soulevant une anedocte du style à cette heure là je prenais mon tit dèj en balladant mes yeux qui se promenaient déjà dans mon coltard en cassant délicatement la coquille de mon œuf à la coque du tit dèj avec un chant de coqs révisionistes transperçant les tympans pour sortir du bulletin de ma tête à une heure trente et un d'une irréalité quantique de ronflements sous la couette imprimée d'un horizon bleu profond encore orangé d'une pulpe de rayons où trois dauphins sautaient comme des salamandres dans la case trente et un d'un calendrier aux lignes s'estompantes dans le dégradé des vagues en orbite s'alternant au pivot de son axe poché au fer rouge de ses explosivités faisant passer des bombes nucléaires comme de simples jouets de seniors perturbés essayant de dresser des atomes sissipares afin de mieux supporter leur mort unique en général due aux effets boomerang de leurs propres perversités consensuelles sous l'oeil semi-ouvert de la plupart des gens lambdas essayant de se conformer aux exigences des attentes pécuniaires estimant que chaque trente et un il serait utile de toucher un salaire pouvant permettre de se mettre sur un trente et un au moins une fois un jour en fin de mois, même à treize heure trente et un.
Je vous dirais donc pour clore, me permettant d'aller finir le chapitre un, ce deuxième chapitre, dédié aux fuseaux horaires de l'individu face aux nomenclatures calendaires si difficiles à définir tant la complexité de la masse des travailleurs de jour croise celle ayant courue la nuit, ce que j'ai répondu à mon amie trompétiste jouant du clairon du matin à treize heure trente et un : je vous souhaite une bonne nuit même si ce devait être de bon matin.
Salamandre
Perdu dans les synapses d'une peste bubonique ton alter égo dandine avec les rats discutant affaire avec des chemises jaunes sur le nombre de morts incalculable au rabais dans un stand de tir où tu danses au rythme des doom-doom à la solde de ton excédent de testotérones
Nous avons vu à la fin de ce chapitre un toute la necessité d'en écrire une avant de commencer un chapitre deux, sinon comment recevoir des marques (benetton, etc...) d'affections sur vos déambulations verbales si vous ne les mettez pas noires sur blanches, comme celle d'une amie Trompetiste m'ayant à la hâte déposée ses impressions en passant lire un de mes écrits vagabonds, en l'occurence mon intro, elle m'inscrivit, avec toute la gentillesse qui la caractérise autant dans ses propres créations linguistico-inspiré que ses passages volontaires à distiller sa voix depuis les pharyngales de son cœur, une petite dédicace de compassion, elle me nota, je synthétise, ' sympa ton texte ce matin c'est un peu comme tremper son œil dans un bon jus de lecture ', ce qui en soit est une remarque charmante à la vue de l'image, j'ai même pensé deux secondes whoua j'ai du bol elle ne m'a pas dis que mon torchon c'était un jus de serviette même pas bon à filtrer la Lumière un jour d'idées noires, là où je veux en venir autour de sa tendresse à mon égard c'est qu'au petit sourire amusé après relecture de sa bafouille matinale mon œil glissa inopinément en bas du com à droite, là où la date et l'heure fixent à jamais l'instant où elle déposa son message virtuel dans le marbre de mon dix-huit pouces portatif, il était aproximativement treize heure trente et un, Je tiens tout de même a preciser que treize heure trente et un ne fait pas partie du matin, effectivement, à partir de midi il est conventionnelllement établi qu'il est l'heure de déjeuner, et non pas de petit-déjeuner, comme il est de coutume chez les tenants du temps, d'ailleurs, et c'est hors-sujet, il faut que je la prévienne le referendum pour les cantonnales de dimanche a donné gagnant les bulletins blancs, donnant la voie libre de mesurer le nombre de nationaliste pur et durement attaché à attacher tout imigré même sur leur trente et un où autres contrevenants à ne pas être du même sang, néanmoins le résultat fut déjà prévisible des treize heure trente et un en ce jour dominical, ce qui me permet de me recentrer sur le sujet actuel de ce post traitant de la décentralisation des horaires nécessaires à sa propre survie face au monde externe à l'auto-regularisation bringuebalante de ses circulations urbaines roulant sur les segmentations formatées de l'autoroute de Greenwich quand l'horloge interne de chacun est remise en cause par la régularité des embouteillages métronomes s'agglutinant à des tranches d'horaire incessante quand l'époque matérialise des secondes sur un visage au volant d'un homme s'endormant en déphasage avec sa nécessite photovoltaïque d'être au même tempo robotisé rentrant exténué le soir pour son diner s'affalant ronflant sur son plateau repas, et enfin se reveiller d'une nuit pleine et salvatrice avec sur le front un reste du diner de la veille, alors certe certains(es), pourriez vous argumenter, ont leur propre habitude dûe à un emploi du temps particulier à son style de vie, non-obstant son lot de responsabilités où de dents qui poussent sous les étoiles occasionnant une perte de son renouvellement d'energie lunaire, au profit d'une activité pluri-cellulaires de celluloïds brillants dans des yeux assoiffés de décadence corpusculaire, ce qui, dans le sens d'une pendule interne asynchrone avec une frange des autres tout en sachant très bien que son mouvement hiérarchique est lisible depuis l'univers, décalerait la nuit pour le matin et le matin pour midi, ce qui, secondo, remettrait en cause le système en place si un plus grand nombre vivant alors en décalé etait dans la pratique devenue une masse pouvant faire pression sur ceux voulant absolument que continue l'ordre actuel de l'horloge mondial sous ses différents méridiens, parce que ça les arrange vue qu'eux ils dorment tranquille la nuit, pour se lever entre sept heure du matin pour les plus courageux et onze heure pour les plus ireductibles avec un bon tit dèj et zoner jusqu'à ce que le soleil au Zenith sonne leur midi à l'heure de leurs gargouillis exacts, oui avant sept heure c'est l'aube allumant la dernière étincelle d'un rêve et après onze heure il est généralement dis qu'il est presque midi, alors sans chercher midi à quatorze heure déplacer midi à seize heure fait que l'on goute des apéros à vingt heure moins le quart avec des quatre quart salés genre quiche à déguster sur le canapé avant de diner à minuit pour prendre des forces à ne plus en avoir, et enfin aller occuper ses nuits devenues des débuts de soirée dans des before, comme il est usuel de se la raconter avec des thermes au centre de la mode dans des milieux excentrés, en général souvent sur un trente et un excentrique, en effet une tenue borderline est souhaitable si l'on veut paraitre assez differenciable de ses contemporains, quitte à les faire passer pour des potaches avec leurs habits du dimanche qui se portent même à treize heure trente et un, en soulevant une anedocte du style à cette heure là je prenais mon tit dèj en balladant mes yeux qui se promenaient déjà dans mon coltard en cassant délicatement la coquille de mon œuf à la coque du tit dèj avec un chant de coqs révisionistes transperçant les tympans pour sortir du bulletin de ma tête à une heure trente et un d'une irréalité quantique de ronflements sous la couette imprimée d'un horizon bleu profond encore orangé d'une pulpe de rayons où trois dauphins sautaient comme des salamandres dans la case trente et un d'un calendrier aux lignes s'estompantes dans le dégradé des vagues en orbite s'alternant au pivot de son axe poché au fer rouge de ses explosivités faisant passer des bombes nucléaires comme de simples jouets de seniors perturbés essayant de dresser des atomes sissipares afin de mieux supporter leur mort unique en général due aux effets boomerang de leurs propres perversités consensuelles sous l'oeil semi-ouvert de la plupart des gens lambdas essayant de se conformer aux exigences des attentes pécuniaires estimant que chaque trente et un il serait utile de toucher un salaire pouvant permettre de se mettre sur un trente et un au moins une fois un jour en fin de mois, même à treize heure trente et un.
Je vous dirais donc pour clore, me permettant d'aller finir le chapitre un, ce deuxième chapitre, dédié aux fuseaux horaires de l'individu face aux nomenclatures calendaires si difficiles à définir tant la complexité de la masse des travailleurs de jour croise celle ayant courue la nuit, ce que j'ai répondu à mon amie trompétiste jouant du clairon du matin à treize heure trente et un : je vous souhaite une bonne nuit même si ce devait être de bon matin.
Salamandre
Perdu dans les synapses d'une peste bubonique ton alter égo dandine avec les rats discutant affaire avec des chemises jaunes sur le nombre de morts incalculable au rabais dans un stand de tir où tu danses au rythme des doom-doom à la solde de ton excédent de testotérones
poeteric- Nombre de messages : 933
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Ven 15 Jan - 16:40 par poeteric
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