Re n'être

La peau a son loyer par intérêts en os
Travail robotisé impôts d’âme en négoces
La nuit je rêve aimer de tout ce qu’on s’écosse
De ce cœur étouffé dans ce monde Hugo Boss

Cornée d'ivoire savane aux ombres nues
La courbe accomplie d’un souffle primordial
Au survol d’Icare sur la stèle fendue
D’un prémisse aux circuits de chuchots qu’ambivalent

Teintes dégradées sur chaque mouvement
Soubresaut unique de volupté dansante
Où valse l’acuité des fleurs du firmament
La robe aux tuniques d’évasions caressantes

Vanille où chocolat les peaux ont de biscuits
L’écorce des émois sur miettes d’infini

Palette de la vie aux spectres invisibles
Reformant du néant sa plus belle illusion
Quand se multiplie l’atome indivisible
Du moire recensant les frictions d’expansions

Réel pré établis des rêves délébiles
Sur les pas de géant d’une combinaison
L’armature où se lie au corps de mille exils
Tous les coefficients de recompositions

Comme autant d’inverses trouvent leur opposé
Poudre de sens aux hertz des ondes disloquées
En naît cette osmose par échine palpable

C’est à la renverse d’élans de solutés
Filant aux symbioses de deux corps astrolabes
Hâlant jusqu’où perce leur ultime embardée

Merci Aude...
mince j'ai vu une grosse faute et j'ai pas envie de la corriger maintenant...lol
v dodoter...